Le 19 mars 2018 la DILCRAH (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT), véritable Tchéka du judaïsme politique, en charge de la censure des opinions et du lavage de cerveau des Français, a lancé jusqu’au 25 mars sa « semaine d’éducation et d’action contre le racisme et l’antisémitisme ».
Le même jour, le premier ministre Édouard Philippe, lui aussi bon élève du judaïsme politique, présentait le énième « Plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ». Ce plan sera – à n’en pas douter comme tous les autres –, une nouvelle occasion pour la clique de stipendiés qui nous gouvernent de faire couler à flots les millions de subventions aux officines dites « antiracistes », en réalité spécialisées dans la délation et la répression des Français non-reniés qui refusent de laisser se dérouler en silence le génocide des Européens et la disparition des nations.
Nous livrons donc à nos lecteurs le texte suivant rédigé par M. Pierre Sidos, qui avait décelé dès 1983 toute la subversion et le racisme à rebours, anti-blanc et anti-français, qui se cache derrière le concept à usage des gogos et autres dérécébrés du prétendu « antiracisme ».
LEUR BUT est de parvenir au triomphe du cosmopolitisme, par l’utilisation de toutes les formes intellectuelles et matérielles de la subversion.
LEUR PLAN comporte la négation de l’essence chrétienne de notre existence nationale et la contestation de la source européenne de notre identité française.
LEUR TACTIQUE consiste à accuser systématiquement les Français de bonne souche, qui se défendent, de « fascisme » et de « nazisme ». C’est ce qu’ils appellent « la lutte contre le racisme », « l’anti-racisme ».
Par la répétition de formidables campagnes d’intimidation, de désinformation, d’intoxication, qu’ils mènent en partant de l’exploitation ignoble d’épisodes falsifiés de l’histoire contemporaine et de l’amplification démesurée de faits divers interprétés faussement (quand ils ne les inventent pas ou n’en sont pas eux-mêmes les auteurs occultes), ils cherchent à empêcher nos compatriotes français de réagir; alors qu’ils les coupent des racines de leur histoire et qu’ils les dépossèdent des biens de leur patrimoine.
LE PRÉTEXTE invoqué c’est la pseudo-philosophie des « droits de l’homme », l’idéologie de la prétendue « libération », la frénésie de la supposée « résistance », que ce soit au-dedans comme au-dehors, maintenant ou à un autre moment; aboutissant à l’anomalie d’une nouvelle doctrine d’État : l’anti-racisme, lequel conduit à la haine de toute société normale, c’est-à-dire hiérarchisée, traditionnelle et nationale.
LA MÉTHODE utilisée, c’est en particulier le fonctionnement dévoyé d’une partie de la Justice, contrainte à l’application de lois scélérates, liberticides et anti-nationales ; notamment celle de juillet 1972, dite loi Pleven, qui sous l’allégation de « lutte contre le racisme » (lequel n’est même pas défini dans le texte) confère à des associations partisanes, sous couvert « d’anti-racisme », la faculté outrée d’entretenir une atmosphère de haine assortie de terreur intellectuelle, ou encore de provoquer de nouveaux procès en sorcellerie.
LE RÉSULTAT escompté par l’anti-racisme c’est une France occupée, défigurée, dénaturée; c’est un hexagone cosmopolite, qui ne serait plus la France historique, la France des Français.
L’anti-racisme, voilà l’ennemi de nos libertés, de nos emplois, de l’avenir des nôtres; l’ennemi de la paix civile à l’intérieur et de la coopération fructueuse entre les États à l’extérieur.
Le même jour, le premier ministre Édouard Philippe, lui aussi bon élève du judaïsme politique, présentait le énième « Plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ». Ce plan sera – à n’en pas douter comme tous les autres –, une nouvelle occasion pour la clique de stipendiés qui nous gouvernent de faire couler à flots les millions de subventions aux officines dites « antiracistes », en réalité spécialisées dans la délation et la répression des Français non-reniés qui refusent de laisser se dérouler en silence le génocide des Européens et la disparition des nations.
Nous livrons donc à nos lecteurs le texte suivant rédigé par M. Pierre Sidos, qui avait décelé dès 1983 toute la subversion et le racisme à rebours, anti-blanc et anti-français, qui se cache derrière le concept à usage des gogos et autres dérécébrés du prétendu « antiracisme ».
L’ANTI-RACISME, VOILÀ L’ENNEMI !
L’anti-racisme international c’est la négation du patriotisme national.
Au gouvernement, dans l’Église, au parlement, dans les partis, dans l’information et le spectacle, dans l’appareil judiciaire, dans la rue, l’insolence et la malfaisance de ceux qui se disent « anti-racistes » semblent ne plus avoir de bornes.LEUR BUT est de parvenir au triomphe du cosmopolitisme, par l’utilisation de toutes les formes intellectuelles et matérielles de la subversion.
LEUR PLAN comporte la négation de l’essence chrétienne de notre existence nationale et la contestation de la source européenne de notre identité française.
LEUR TACTIQUE consiste à accuser systématiquement les Français de bonne souche, qui se défendent, de « fascisme » et de « nazisme ». C’est ce qu’ils appellent « la lutte contre le racisme », « l’anti-racisme ».
Par la répétition de formidables campagnes d’intimidation, de désinformation, d’intoxication, qu’ils mènent en partant de l’exploitation ignoble d’épisodes falsifiés de l’histoire contemporaine et de l’amplification démesurée de faits divers interprétés faussement (quand ils ne les inventent pas ou n’en sont pas eux-mêmes les auteurs occultes), ils cherchent à empêcher nos compatriotes français de réagir; alors qu’ils les coupent des racines de leur histoire et qu’ils les dépossèdent des biens de leur patrimoine.
L’anti-racisme c’est le contraire de la France française.
Le soi-disant anti-racisme est une idéologie internationaliste qui utilise abusivement les faux bons sentiments humanitaires, pour faciliter l’invasion de la vie intérieure nationale, au détriment de la santé physique et morale de la France. C’est la négation du droit naturel – jusqu’alors indiscuté – pour les Français, de vivre tranquilles et maîtres chez eux, selon le génie de leur sang, la nature de leur sol, la foi de leur ciel.LE PRÉTEXTE invoqué c’est la pseudo-philosophie des « droits de l’homme », l’idéologie de la prétendue « libération », la frénésie de la supposée « résistance », que ce soit au-dedans comme au-dehors, maintenant ou à un autre moment; aboutissant à l’anomalie d’une nouvelle doctrine d’État : l’anti-racisme, lequel conduit à la haine de toute société normale, c’est-à-dire hiérarchisée, traditionnelle et nationale.
LA MÉTHODE utilisée, c’est en particulier le fonctionnement dévoyé d’une partie de la Justice, contrainte à l’application de lois scélérates, liberticides et anti-nationales ; notamment celle de juillet 1972, dite loi Pleven, qui sous l’allégation de « lutte contre le racisme » (lequel n’est même pas défini dans le texte) confère à des associations partisanes, sous couvert « d’anti-racisme », la faculté outrée d’entretenir une atmosphère de haine assortie de terreur intellectuelle, ou encore de provoquer de nouveaux procès en sorcellerie.
LE RÉSULTAT escompté par l’anti-racisme c’est une France occupée, défigurée, dénaturée; c’est un hexagone cosmopolite, qui ne serait plus la France historique, la France des Français.
L’anti-racisme, voilà l’ennemi de nos libertés, de nos emplois, de l’avenir des nôtres; l’ennemi de la paix civile à l’intérieur et de la coopération fructueuse entre les États à l’extérieur.
Pierre Sidos