Le 11 juillet 2016, le conseil régional de Nouvelle-Aquitaine a
attribué une subvention de 7.000 euros à la compagnie Les Comédiens
voyageurs pour la création de sa pièce de théâtre La neuvième nuit, nous passerons la frontière.
Ce spectacle a pour objectif de « suspendre les jugements hâtifs et de renverser les points de vue » du spectateur qui, lorsqu’il s’agit de migrants, n’a accès « qu’aux images d’actualités angoissantes ». Comme si les médias ayant pignon sur rue présentaient systématiquement une image dévalorisante alors que toutes les enquêtes montrent que c’est exactement l’inverse !
Cette pièce de théâtre a été jouée en 2017 dans neuf établissements scolaires de la Haute-Vienne, de la Creuse et de la Corrèze. Elle s’inscrit dans le cadre plus large d’un projet pédagogique « Parcours d’éducation artistique, culturel et citoyen » pour le moins surprenant. Ce projet pédagogique a été mis en œuvre, entre autres, dans les « gymnases des lycées » et « dans le cadre d’un cours de français ou d’EPS ». Le projet indique qu’il permet d’apprendre « les définitions complètes des mots : migrant, clandestin, réfugié, demandeur d’asile ». Comme si c’était là le vocabulaire de base que ne maîtrisaient pas nos chers collégiens.
Mais cette action pédagogique est aussi faite pour inciter à la réflexion : « D’où vient votre nom ? Avez-vous un aïeul qui vivait dans un autre pays ? Un aïeul qui a immigré ou s’est réfugié ou exilé en France ? Savez-vous pourquoi il a quitté son pays ? » Ben oui, c’est bien connu, nous sommes tous des migrants, et le Corrézien de souche, ça n’existe pas : c’est un mythe, un mensonge. Du pur « fake ».
Le projet donne aussi l’occasion de « prendre conscience de ce que signifie investir un espace ». Les élèves marchent en groupe et s’arrêtent pour « décaler une articulation : le pied en travers, l’épaule relevée ou le bassin en arrière ». L’objectif est que les élèves « partent du ressenti et non d’une image mentale, souvent stéréotypée, et créent un personnage à partir d’un ressenti physique, sans préjugé ».
Sans préjugé ? Il serait plus juste de dire : avec les solides préjugés pro-migrants de la gauche !
Le 9 juillet 2018, l’exécutif socialiste régional mené par Alain Rousset et soutenu par des élus En Marche !, probablement satisfait de la tournée 2017, a renouvelé sa subvention de 7.000 euros. Est-ce la méthode des représentants du « nouveau monde » pour que les élèves maîtrisent les fondamentaux « lire, écrire, compter » ? Amputer les heures de cours au service d’une propagande pro-immigrationniste ne s’apparenterait-il pas plutôt à un non-respect de la liberté d’opinion doublé d’un endoctrinement de la jeunesse ?
Organiser l’immigration clandestine avec l’argent public et lobotomiser sans scrupules nos chères petites têtes blondes : voilà le « Projet » des ayatollahs de la bien-pensance et du bien vivre ensemble.
Ce spectacle a pour objectif de « suspendre les jugements hâtifs et de renverser les points de vue » du spectateur qui, lorsqu’il s’agit de migrants, n’a accès « qu’aux images d’actualités angoissantes ». Comme si les médias ayant pignon sur rue présentaient systématiquement une image dévalorisante alors que toutes les enquêtes montrent que c’est exactement l’inverse !
Cette pièce de théâtre a été jouée en 2017 dans neuf établissements scolaires de la Haute-Vienne, de la Creuse et de la Corrèze. Elle s’inscrit dans le cadre plus large d’un projet pédagogique « Parcours d’éducation artistique, culturel et citoyen » pour le moins surprenant. Ce projet pédagogique a été mis en œuvre, entre autres, dans les « gymnases des lycées » et « dans le cadre d’un cours de français ou d’EPS ». Le projet indique qu’il permet d’apprendre « les définitions complètes des mots : migrant, clandestin, réfugié, demandeur d’asile ». Comme si c’était là le vocabulaire de base que ne maîtrisaient pas nos chers collégiens.
Mais cette action pédagogique est aussi faite pour inciter à la réflexion : « D’où vient votre nom ? Avez-vous un aïeul qui vivait dans un autre pays ? Un aïeul qui a immigré ou s’est réfugié ou exilé en France ? Savez-vous pourquoi il a quitté son pays ? » Ben oui, c’est bien connu, nous sommes tous des migrants, et le Corrézien de souche, ça n’existe pas : c’est un mythe, un mensonge. Du pur « fake ».
Le projet donne aussi l’occasion de « prendre conscience de ce que signifie investir un espace ». Les élèves marchent en groupe et s’arrêtent pour « décaler une articulation : le pied en travers, l’épaule relevée ou le bassin en arrière ». L’objectif est que les élèves « partent du ressenti et non d’une image mentale, souvent stéréotypée, et créent un personnage à partir d’un ressenti physique, sans préjugé ».
Sans préjugé ? Il serait plus juste de dire : avec les solides préjugés pro-migrants de la gauche !
Le 9 juillet 2018, l’exécutif socialiste régional mené par Alain Rousset et soutenu par des élus En Marche !, probablement satisfait de la tournée 2017, a renouvelé sa subvention de 7.000 euros. Est-ce la méthode des représentants du « nouveau monde » pour que les élèves maîtrisent les fondamentaux « lire, écrire, compter » ? Amputer les heures de cours au service d’une propagande pro-immigrationniste ne s’apparenterait-il pas plutôt à un non-respect de la liberté d’opinion doublé d’un endoctrinement de la jeunesse ?
Organiser l’immigration clandestine avec l’argent public et lobotomiser sans scrupules nos chères petites têtes blondes : voilà le « Projet » des ayatollahs de la bien-pensance et du bien vivre ensemble.