En poursuivant imperturbablement
son offensive anti-immigration, la Hongrie de Viktor Orbán – dont le
gouvernement est le seul de l’UE à avoir supprimé toutes les aides aux
réfugiés – fait tousser leur Europe. Qu’est-ce qui perturbe la
Commission européenne ? Un amendement prévoyant une taxe de 25 % sur les
financements perçus pour toute activité « de soutien à l’immigration ».
Votée le 20 juillet dernier par le
Parlement hongrois, cette loi (qui fait partie de la campagne lancée
contre George Soros, milliardaire américain né en Hongrie,
pro-immigration et militant acharné en faveur d’une « société
ouverte »), dite « taxe spéciale sur l’immigration », doit entrer en
vigueur à la fin du mois d’août. Elle prévoit notamment de taxer toutes
les activités pro-immigrationnistes, qu’il s’agisse de scolarisation des
enfants de clandestins ou de campagnes médiatiques pour l’accueil des
réfugiés. Ces activités sont financées pour l’essentiel grâce à des dons
des ONG, de l’Union européenne ou de fondations privées permettant à
des milliardaires, comme Soros, de défiscaliser leurs revenus.
En février dernier, Viktor Orbán précisait que « l’UE
ne doit pas concentrer son attention sur la redistribution dans les
différents pays des réfugiés à qui a été concédé le droit d’asile mais
sur la protection des frontières ». D’où l’idée de cette taxe
visant les organisations qui assistent les demandeurs d’asile et autres
réfugiés, et dont les sommes ainsi perçues vont servir à la protection
des frontières hongroises. Une situation que les ONG pro-immigrés jugent
intolérable et une taxe qui fait s’étrangler d’indignation la
Commission européenne qui, la veille de l’adoption de cette loi baptisée
« taxe spéciale sur l’immigration », avait décidé de former un recours
devant la Cour de justice de l’UE pour dénoncer les décisions de
Budapest en matière d’immigration.
Contrairement à ce qu’affirme un
quotidien du soir, il ne s’agit pas d’une atteinte à la liberté
d’enseignement. La loi ne concerne que les formations au profit des
seuls migrants.
Le gouvernement de Viktor Orbán,
accuse à juste titre les associations d’encourager l’immigration
illégale, le trafic d’êtres humains, et de mettre en danger la sécurité
des citoyens hongrois. Il s’agit donc de protéger la Hongrie et les
Hongrois d’une immigration irrégulière que l’Europe ne parvient plus à
contrôler.
Article paru dans les colonnes du quotidien .
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