
Merde à la fin. Ils nous égorgent nos jeunes, nos vieux, nos policiers, nos gardiens de prison…
Et l’autre salopard de Macron se contente d’envoyer la bétasse-belloubet pour calmer le jeu. Calmer le jeu ? Faire croire aux surveillants qui se sont mis en grève qu’on les a entendus, qu’on va faire des efforts…
Que va-t-elle leur promettre ? Un jour de congé supplémentaire ? Un euro de plus l’heure supplémentaire ?
Quand la seule solution est la « double peine ». L’expulsion des délinquants étrangers, y compris ceux qui ont la double nationalité. Mais évidemment ni Macron ni Belloubet ne proposeront une telle chose, eux qui ne sont même pas fichus d’expulser les djihadistes de retour de Syrie et les fichés S !
Or, comme l’explique Cyrano dans le dernier édito de Riposte laïque, la double peine, pour l’heure, ce sont les Français qui la subissent :
La double peine, c’est pour les Français : agressions musulmanes et Sécurité routière
La
bataille contre la double peine a été menée par la gauche, politique,
syndicale et associative. Ces braves gens considéraient qu’un étranger
qui avait commis un délit et se retrouvait en prison ne devait pas être
expulsé, ensuite, une fois sa peine accomplie. Il paraît que cela était
une discrimination. En 2003, alors ministre de l’Intérieur, Sarkozy
finit par réduire drastiquement son application, si bien que dans la
majorité des cas, un étranger délinquant qui avait terminé sa peine
(quand il l’exécutait) était alors inexpulsable.
Quinze
ans plus tard, dans la France de Macron, un jeune Français de 26 ans,
Adrien Perez, est mort, poignardé dans une boîte de l’Isère où il fêtait
son anniversaire. Il a juste voulu défendre un couple d’amis,
importuné, puis agressé, par deux « chances pour la France », comme ils
disent, les frères Younes et Yanis El Habib. Il y a encore quelque
temps, on trouvait les enfumeurs de service qui, sur les plateaux de
télévision, venaient pleurnicher qu’en fait, dans une telle histoire, il
y avait trois victimes, renvoyant de manière crapuleuse dos-à-dos
victimes et assassins. Mais à présent, c’est tellement répétitif, ce
type de scénario, avec des jeunes Français poignardés à mort par des
musulmans (qui, selon la version officielle des médias, ne respectent
pas l’islam), qu’il ne se trouve plus personne pour défendre une
ignominie pareille.
Il
n’empêche que les médias, si démonstratifs avec Théo, les frères Traoré
ou la racaille de Nantes tuée par un policier, demeurent totalement
silencieux sur l’accumulation de ces crimes racistes, qui brisent
définitivement une famille. Faut-il rappeler les paroles du père du
jeune Adrien : « Ils sont rentrés en boîte de nuit avec des couteaux
sur eux, ils avaient l’intention de s’en servir ! Moi, mon fils n’a
jamais été armé. Ces dernières années, dans l’agglomération grenobloise,
il y a eu des jeunes qui sont morts pour rien. Kevin et Sofiane,
Grégory… A chaque fois, il y a eu des marches blanches. Ça n’a servi à
rien ! Il y a une minorité violente et on a l’impression que l’Etat ne
fait rien. »
Et la mère : « Je
veux vous parler de mon petit, mon trésor, la chair de ma chair. J’ai
retrouvé un questionnaire de Proust auquel il avait répondu. A la
question, quel est votre rêve de bonheur? Adrien avait répondu : « Une femme, deux ou trois gosses, un chien et une belle maison au soleil.» Vous
voyez ça ? C’était le souhait de ma vie. Avoir des petits-enfants, m’en
occuper, profiter de la vie avec eux. Ils nous ont enlevé tout ça ! Ils
ont brisé une famille entière, des amis ! C’est impardonnable! »
Dans le
même temps, un autre drame se jouait à Annemasse. Un crime tout aussi
sordide. Une figure locale, Michel Masson, entrepreneur, qui, à 87 ans,
avait consacré toute sa vie à son entreprise, et avait trimé comme un
fou avec sa femme, a été lâchement massacré, devant l’ascenseur de son
appartement, par un homme qui n’a pas encore été retrouvé, mais qui, à
99 % de chances, aura le profil traditionnel de ce genre d’agresseurs. A
noter que le malheureux, qui à 87 ans avait consacré sa vie à sa boîte,
ne vivait qu’avec 700 euros de retraite, moins que ce qu’on donne aux
clandestins, la plupart du temps musulmans africains, qui viennent nous
envahir.
Et ce
n’est que la face visible de l’iceberg, comme les assassinats musulmans
de Charlie Hebdo, du Bataclan, de Nice ou d’ailleurs. Dans la vie de
tous les jours, il suffit de lire la chronique quotidienne de Manuel
Gomez, ou le relevé effectué par Maxime Lepante, de 2015 à 2017, pour
comprendre l’ampleur des agressions quotidiennes que subissent les
nôtres, et principalement nos forces de l’ordre.
Les
ordures qui nous dirigent laissent les Français jeunes, adultes ou
anciens, se faire régulièrement massacrer par ceux qu’ils implantent par
dizaines de milliers, et imposent aux nôtres. Cela ressemble à un
véritable génocide, où des barbares arriérés tuent en toute impunité des
gens civilisés, qui sont chez eux, et n’ont aucun droit de se défendre.
Tout le monde sait que les racailles musulmanes et les clandestins
possèdent presque tous des couteaux, et n’hésitent pas à s’en servir,
parfois entre eux, souvent contre des agressés qu’ils veulent dévaliser,
parfois pour violer d’innocentes victimes, considérées comme des
proies.
Or, que
fait ce régime contre cela ? Organise-t-il des fouilles systématiques
contre ceux qui ont ce profil ? Les renvoie-t-il chez eux ? C’est tout
le contraire. Macron passe son temps à insulter Matteo Salvini, qui, sur
l’invasion migratoire, donne l’exemple à l’Europe toute entière. La
police française préfère traquer des patriotes qui s’organisent contre
un possible chaos, et les faire passer pour des terroristes aussi
dangereux que les islamistes. Politiques et journalistes s’en foutent
que nos jeunes et nos vieux meurent tous les jours, et que nos
compatriotes vivent dans la peur d’une agression qui les touche, eux ou
leurs enfants. Ces pourritures ont sur les mains le sang d’Adrien, de
Michel et de toutes les victimes des envahisseurs et des terroristes
musulmans. Villiers, sur ce sujet, avait raison, et il ferait bien de le
dire à Macron, puisqu’il paraît que les deux hommes seraient devenus
potes…