La « négligence » avait été révélée en juin dernier par Le Canard enchaîné et concernait des
travaux de rénovation et d’agrandissement, sans autorisation, au siège
arlésien de la maison d’édition Actes Sud qu’elle dirigeait à l’époque,
en 2012. Madame le ministre avait alors regretté une « négligence » et
avait dû régler ce qu’elle devait au fisc. Et rebelote !
On a beau dire « chat échaudé… », avec Françoise Nyssen le proverbe ne fonctionne pas.
Une « étourderie » qui concerne des
travaux de rénovation et d’agrandissement – 150 mètres carrés en plus,
avec ajout de mezzanines, plateaux, rambardes et d’escaliers (il n’est
pas précisé si la reine de la déco à l’éco télévisée Valérie Damidot
s’est chargée de la décoration) – d’un hôtel particulier, acquis
en 2012, et siège parisien de la maison d’édition Actes Sud situé rue
Séguier, dans le très chic et bobo quartier parisien de
Saint-Germain-des-Prés. Une opération immobilière non déclarée auprès du
fisc et qui, toujours selon l’hebdomadaire satirique, aurait permis de réaliser une économie de 50 000 euros au ministre de la Culture et à son mari Jean-Paul Capitani, qui a pris la direction de la maison d’édition. [...]"