Un arrêt de la Cour de justice de l’Union Européenne du 7 novembre 2013 reconnaît l’homosexualité comme étant un motif valable pour obtenir le droit d’asile. Depuis, les demandes ont explosé et les clandestins semblent s’en servir comme prétexte.
Car l’homosexualité est une condition sine qua none qui a permis à plusieurs milliers d’étrangers d’entrer sur le territoire européen. L’Ofpra, l’office français de protection des réfugiés et apatrides a profité de la journée mondiale contre l’homophobie pour s’auto congratuler quant à son implication.
Et l’Ofpra a du boulot car depuis cet arrêt, les demandes de ce type se sont multipliées. 85 726 demandes d’asile ont été étudiées en 2016 pour des réfugiés venant de 133 pays. Et surprise… le motif de l’orientation sexuelle concerne un nombre élevé des demandes.
Pas étonnant lorsque l’on sait qu’aucune vérification n’est possible. En effet, le test de phallométrie, qui consiste à analyser les réactions physiques des candidats devant un film pornographique, et la preuve matérielle, vidéo ou photo, de leur activité sexuelle ont été interdits par la cour de justice de l’union européenne invoquant le respect de la dignité humaine et de la vie privée et familiale.
Ainsi, les agents de l’Ofpra ne peuvent se fier qu’à la bonne parole et l’honnêteté des candidats. Des petits malins semblent donc profiter de ce laxisme. Au fil des années, le nombre de demandes fondées sur une appartenance à la communauté LGBTI est en hausse, en particulier en Afrique Noir. Le Cameroun, le Sénégal, la Gambie, le Nigeria, l’Ouganda et la Tanzanie sont en pole position quant à ces demandes.
Mais afin de démasquer les candidats dont la sexualité est trompeuse, l’Ofpra a décidé d’agir. Ainsi, une section spéciale – le groupe « orientation sexuelle et identité du genre – a vu le jour. Elle sera composée d’une vingtaine de membres, épaulée par l’Ardhis, l’association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et transsexuelles à l’immigration et au séjour.
Avec un tel intitulé, pas de doute, ils sauront être objectif et contenir les migrations injustifiées…
Article paru sur le site Breizh Info.