Henri Roques est né à Lyon le 10 novembre 1920. Il s’engagea dans
plusieurs mouvements nationalistes, depuis le Rassemblement national
populaire (RNP) de Marcel Déat durant la guerre, le mouvement Citadelle
et les Phalanges françaises, dont il fut le secrétaire général, durant
les années cinquante, jusqu’au Front national (FN). Il y milita avec son
épouse durant les années 1980.
Ingénieur agronome, il s’est intéressé aux études révisionnistes à partir de 1955, date à laquelle il découvrit Le Mensonge d’Ulysse de Paul Rassinier. C’est ce dernier qui lui parla du « rapport Gerstein » dont il est devenu le meilleur spécialiste. Après son départ à la retraite, il a présenté avec succès une brillante thèse universitaire en littérature comparée en 1985 à l’université de Nantes. Il y disséquait les différentes versions proposées du « témoignage » de Kurt Gerstein et concluait à l’impossibilité d’utiliser ce document dans le cadre des études historiques, comme le faisaient sans vergogne les prétendus historiens juifs.
Il obtint cette thèse malgré de multiples obstacles : son premier directeur de thèse ne put former de jury, tous se récusant malgré l’excellence de la thèse, apeurés par le caractère explosif de la thèse remettant en cause le dogme de la “Shoah”. L’obtention de la thèse, avec la mention « très bien » et les félicitations du jury, mobilisa toute l’anti-France : le Dr Roques fut l’objet d’une violente campagne de haine.
Le docteur Henri Roques a poursuivi les années suivantes son travail d’étude historique. Il dirigea la Revue d’Histoire révisionniste de
1990 à 1992, qui fut interdite par la dictature après l’adoption de la
loi juive liberticide Fabius-Gayssot après deux années de persécutions
(dès le premier numéro en 1990, le ministre de l’Intérieur Pierre Joxe
la fit interdire de distribution aux mineurs, de publicité, etc.). Il a
également publié plusieurs ouvrages, notamment sous le pseudonyme
d’André Chelain.
Le Dr Henri Roques était hospitalisé depuis une semaine à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes pour une double embolie pulmonaire. Il s’y est éteint dimanche, à l’âge de 93 ans, le 16 mars 2014.
Source
Ingénieur agronome, il s’est intéressé aux études révisionnistes à partir de 1955, date à laquelle il découvrit Le Mensonge d’Ulysse de Paul Rassinier. C’est ce dernier qui lui parla du « rapport Gerstein » dont il est devenu le meilleur spécialiste. Après son départ à la retraite, il a présenté avec succès une brillante thèse universitaire en littérature comparée en 1985 à l’université de Nantes. Il y disséquait les différentes versions proposées du « témoignage » de Kurt Gerstein et concluait à l’impossibilité d’utiliser ce document dans le cadre des études historiques, comme le faisaient sans vergogne les prétendus historiens juifs.
Il obtint cette thèse malgré de multiples obstacles : son premier directeur de thèse ne put former de jury, tous se récusant malgré l’excellence de la thèse, apeurés par le caractère explosif de la thèse remettant en cause le dogme de la “Shoah”. L’obtention de la thèse, avec la mention « très bien » et les félicitations du jury, mobilisa toute l’anti-France : le Dr Roques fut l’objet d’une violente campagne de haine.
« Mon premier but est très simple :
servir la vérité. J’ai voulu offrir aux historiens des textes intégraux
auxquels ils puissent accorder leur confiance. J’ai voulu leur éviter de
tomber dans les erreurs de leurs prédécesseurs. Mon second but :
contribuer quelque peu à ce que l’école révisionniste, qui se consacre à
mettre l’histoire de la Seconde Guerre mondiale en accord avec les
faits, se voit reconnaître un droit de cité dans l’Université »
avait-il déclaré lors de la soutenance de sa thèse, publiée par la suite par la librairie Ogmios.
« Céline, notre grand Louis-Ferdinand
Céline, a trouvé un magnifique adjectif pour qualifier les chambres à
gaz […] Il a parlé des ‘magiques chambres à gaz’. En effet pour pénétrer
dans le monde des chambres à gaz, il fallait un maître magicien et
Gerstein fit parfaitement l’affaire. […] J’ai considéré et étudié le
document Gerstein dans six versions comme n’importe quel autre document
auquel on prétend donner une valeur historique ».
Le Dr Henri Roques était hospitalisé depuis une semaine à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes pour une double embolie pulmonaire. Il s’y est éteint dimanche, à l’âge de 93 ans, le 16 mars 2014.
Source