L’ex-associé de la Banque Rothschild qui
aujourd’hui porte le titre de président de la République, se fait une
gloire d’utiliser la langue anglaise de préférence à la langue française
à chaque fois qu’il le peut. Et quand il ne le peut pas, -car il faut
bien que de temps à autre il se fasse comprendre de ses administrés- ,
il tente d’imposer un jargon franglais bien à lui, que même les Anglais
doivent avoir du mal à comprendre. En son temps le général de Gaulle se
faisait une gloire de ne parler que le français, la langue officielle de la diplomatie [qui
le rappelle ?], alors qu’il avait passé quatre ans durant la guerre à
Londres. Jusqu’à Macron, ses prédécesseurs ne parlaient que la langue de
Molière et cela leur suffisait. C’était la moindre des choses pour
faire la promotion de notre si belle langue. Il ne suffit pas à Emmanuel
Macron de faire reculer la langue française, il veut insuffler l’idée
que la France pour réussir doit se convertir en : « Station France in the New France »,
comme si ce n’était pas en exportant sa langue dans toutes les cours
d’Europe et aux quatre coins du monde que la Civilisation française
avait gagné ses galons. Mais on le sait, Macron n’aime pas la nation
France! Voilà l’homme qui avait déclaré au Burkina Faso que «le français
sera la première langue» en Afrique d’ici à 2050, selon certaines
prévisions, mais que «La langue française est autant, voire davantage,
africaine que française»… Mais de quelle « langue française » parle-t-il
?
Ci-dessus M. Macron en photo en
compagnie du couple présidentiel américain au restaurant à Paris, en
compagnie duquel il s’était fait gloire de parler leur langue lors de
leur première visite en France… avec un traducteur à ses côtés pour les
Français ?