Né en 1911, Jamin fut collaborateur de Hergé au journal « Le Petit
Vingtième » au début des années 1930. À l’époque, il y signait ses
dessins avec les pseudonymes « Jam » ou « Oncle Jo ».
En 1936, il quitte Le Petit Vingtième pour suivre Léon Degrelle. Il devient l’illustrateur et le caricaturiste de l’organe de presse du parti rexiste, Le Pays Réel. Lorsque survint la guerre, il travaille pour le journal Le Soir, alors sous contrôle de l’occupant allemand ainsi que pour le Brüsseler Zeitung.
À la Libération, il est condamné à mort en raison de sa collaboration au Soir volé pendant la guerre où il avait réalisé de très nombreuses caricatures considérées comme antisémites, tout comme dans le Brüsseler Zeitung.
Libéré en 1952, il travaille essentiellement pour l’hebdomadaire satirique Pan dont il devint l’inamovible caricaturiste, sous le pseudonyme ‘Alidor’.
Il créa d’autre part en 1962, sous le pseudonyme d’Alfred Gérard, une bande dessinée dans le journal Spirou sous le titre de Ernest Lecrac.
Source
En 1936, il quitte Le Petit Vingtième pour suivre Léon Degrelle. Il devient l’illustrateur et le caricaturiste de l’organe de presse du parti rexiste, Le Pays Réel. Lorsque survint la guerre, il travaille pour le journal Le Soir, alors sous contrôle de l’occupant allemand ainsi que pour le Brüsseler Zeitung.
À la Libération, il est condamné à mort en raison de sa collaboration au Soir volé pendant la guerre où il avait réalisé de très nombreuses caricatures considérées comme antisémites, tout comme dans le Brüsseler Zeitung.
Libéré en 1952, il travaille essentiellement pour l’hebdomadaire satirique Pan dont il devint l’inamovible caricaturiste, sous le pseudonyme ‘Alidor’.
Il créa d’autre part en 1962, sous le pseudonyme d’Alfred Gérard, une bande dessinée dans le journal Spirou sous le titre de Ernest Lecrac.
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