Bernard Plouvier ♦
Auteur, essayiste.
Tout le monde raisonnable en est d’accord : la situation en France (et aux ex-colonies devenues Dom-Tom) est explosive.
L’existence de zones de non-droit, l’explosion des actes de violence physique sont infiniment plus graves que les « incivilités » et les cambriolages que les journalistes ont l’ordre de mettre en avant, de façon à ce que l’arbuste cache la forêt des véritables menaces.
Et l’on a l’impression qu’il en va de même partout en Europe occidentale et scandinave. On parle des vols à la tire et du racket, pour camoufler les viols et les assassinats ; on évoque les « incivilités » pour masquer le racisme effarant des extra-Européens envahissant notre continent.
Tout d’un coup, notre ministre de l’Intérieur, chaudement applaudi par ses confrères ministres et notre Président, se lance dans un effet d’annonce. Il va réduire « l’insécurité » par son remède miracle : la police de proximité.
Nous prendrait-il pour des amnésiques ? Car, du temps du grandiose Mitterrand, le Président de l’entrée dans l’économie globale et le brassage des races, et du non moins grandiose Chirac, le Président Black-Beur, on nous a promis que tout irait mieux grâce aux « ilotiers »… et l’on parlait déjà de « police de proximité ».
De nos jours et pour faire plus sérieux, on use non seulement du comique de répétition mais aussi du pléonasme et on lance le slogan de « police de proximité au quotidien » !
En réalité, si l’on prenait l’avis des Français de souche européenne, on obtiendrait des avis qui ne pourraient que terroriser nos vrais maîtres : rétablissement de la peine de mort pour les assassins, castration des violeurs, tir à balles réelles en cas d’émeute ou d’agression des forces de l’ordre, refus d’accueillir le moindre « réfugié-immigré » d’origine extra-européenne et retour massif au continent d’origine des sans-travail, délinquants, mahométans faisant dans l’import-export du Djihâd. Enfin, il paraîtrait logique de se séparer de tous les territoires exotiques, à l’exception de ceux peuplés d’Européens qui peuvent difficilement se plaindre de notre prétendu « racisme colonialiste ».
Certes, la situation est explosive, mais vouloir faire semblant de les résoudre avec des petits moyens déjà essayés sans le moindre succès – ce qui est logique : on n’éteint pas un incendie avec une cuillere à café d’eau, fût-elle sucrée -, c’est à la fois se moquer du bon peuple, celui des contribuables, et faire preuve d’absence de sens moral.
Lorsque l’on est à la tête d’un État, le premier devoir est d’y assurer l’Ordre, ce qui commence par la sécurité des personnes et ensuite celle des biens.
Source
Tout le monde raisonnable en est d’accord : la situation en France (et aux ex-colonies devenues Dom-Tom) est explosive.
L’existence de zones de non-droit, l’explosion des actes de violence physique sont infiniment plus graves que les « incivilités » et les cambriolages que les journalistes ont l’ordre de mettre en avant, de façon à ce que l’arbuste cache la forêt des véritables menaces.
Et l’on a l’impression qu’il en va de même partout en Europe occidentale et scandinave. On parle des vols à la tire et du racket, pour camoufler les viols et les assassinats ; on évoque les « incivilités » pour masquer le racisme effarant des extra-Européens envahissant notre continent.
Tout d’un coup, notre ministre de l’Intérieur, chaudement applaudi par ses confrères ministres et notre Président, se lance dans un effet d’annonce. Il va réduire « l’insécurité » par son remède miracle : la police de proximité.
Nous prendrait-il pour des amnésiques ? Car, du temps du grandiose Mitterrand, le Président de l’entrée dans l’économie globale et le brassage des races, et du non moins grandiose Chirac, le Président Black-Beur, on nous a promis que tout irait mieux grâce aux « ilotiers »… et l’on parlait déjà de « police de proximité ».
De nos jours et pour faire plus sérieux, on use non seulement du comique de répétition mais aussi du pléonasme et on lance le slogan de « police de proximité au quotidien » !
En réalité, si l’on prenait l’avis des Français de souche européenne, on obtiendrait des avis qui ne pourraient que terroriser nos vrais maîtres : rétablissement de la peine de mort pour les assassins, castration des violeurs, tir à balles réelles en cas d’émeute ou d’agression des forces de l’ordre, refus d’accueillir le moindre « réfugié-immigré » d’origine extra-européenne et retour massif au continent d’origine des sans-travail, délinquants, mahométans faisant dans l’import-export du Djihâd. Enfin, il paraîtrait logique de se séparer de tous les territoires exotiques, à l’exception de ceux peuplés d’Européens qui peuvent difficilement se plaindre de notre prétendu « racisme colonialiste ».
Certes, la situation est explosive, mais vouloir faire semblant de les résoudre avec des petits moyens déjà essayés sans le moindre succès – ce qui est logique : on n’éteint pas un incendie avec une cuillere à café d’eau, fût-elle sucrée -, c’est à la fois se moquer du bon peuple, celui des contribuables, et faire preuve d’absence de sens moral.
Lorsque l’on est à la tête d’un État, le premier devoir est d’y assurer l’Ordre, ce qui commence par la sécurité des personnes et ensuite celle des biens.
Source