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vendredi 10 août 2018

Encore un Français égorgé, de 50 ans cette fois, dans un bus parisien !

Encore un Français égorgé, de 50 ans cette fois, dans un bus parisien !

Chaque jour ils nous tuent au moins l’un des nôtres ou essaient de le faire. Le dernier en date, c’est ce matin. Un homme d’une cinquantaine d’années est dans le bus, à 7 heures du matin ( on peut considérer qu’il va travailler, à cette heure… ) ; un autre veut à tout prix monter avec son vélo dans le bus ( ce qui est interdit par le réglement de la RATP ), le premier proteste. Le cycliste n’accepte pas qu’un quidam lui fasse une remontrance, ils sort son couteau et égorge le passager.

Naturellement, les medias aux ordres se gardent bien de parler d’égorgement, il aurait été « poignardé au cou »… Drôle d’expression, n’est-ce pas ?

Une altercation entre deux personnes s’est terminée dans le sang, ce mercredi 8 août vers 7 heures du matin, dans un bus parisien qui circulait aux alentours de la rue de Clignancourt, dans le XVIIIe arrondissement de la capitale. Un homme a été poignardé mortellement et son agresseur est en fuite, a-t-on appris de sources policières.
L’affaire a débuté lorsqu’un homme est monté avec son vélo au départ d’un bus de la ligne 255 reliant la porte de Clignancourt à Stains (Seine-Saint-Denis). Cette intrusion avec un deux-roues a provoqué la protestation d’un passager de 50 ans, selon des témoignages recueillis par la police.

La situation a dégénéré et une altercation a éclaté entre les deux hommes, selon des sources policières, confirmant une information du ParisienLe cycliste a alors sorti un couteau et poignardé le passager au niveau du cou. Le quinquagénaire est décédé sur place tandis que l’auteur du coup de couteau s’est enfui. Le quartier a été bouclé après les faits et la brigade criminelle de la police judiciaire a été saisie de l’enquête.


Naturellement, une fois de plus également, il n’est pas question d’attentat, ni de terrorisme, et encore moins de djihad.
Or, ce qui se passe chaque jour c’est le djihad. Ils nous tuent les nôtres, un à un… Les jeunes, les vieux, ceux dans la force de l’âge, ils essaient même d’égorger les gardiens de prison.