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jeudi 31 mai 2018

Affiche d’Erdoğan : Le Point ne dit pas tout

La semaine dernière, Le Point titre, en une, « Erdogan, le dictateur », avec le portrait du président turc. En sous-titre, une question : « Jusqu’où ira Erdogan ? » Et l’annonce des principaux thèmes de l’enquête réalisée par l’hebdomadaire : « Sa folie des grandeurs, ses réseaux en France, son offensive sur l’Algérie, ses crimes… » Une affichée sur les kiosques à journaux. 

Vendredi dernier, au Pontet, dans le Vaucluse, près d’Avignon, la réaction de la communauté turque ne se fait pas attendre. Attroupement autour du kiosque des partisans d’Erdoğan, qui somme le brave kiosquier de retirer l’affiche. Ce dernier n’a pas les clés. C’est un employé de la société prestataire qui vient, l’après-midi, de Marseille pour retirer l’affiche. Le lendemain, en tout début d’après-midi, le maire du Pontet, Joris Hébrard, dans un communiqué à la presse, explique les actions qu’il a entreprises. C’est ainsi qu’il a demandé au directeur régional de la société Decaux de « faire remettre l’affiche au plus tôt » en lui assurant que pour « garantir la sécurité de l’afficheur », il « mettra les forces de police municipale nécessaires lors de son intervention » et qu’il « sollicitera si besoin les forces de gendarmerie par l’intermédiaire du préfet ». L’après-midi, c’est chose faite, sous le contrôle et la présence effective du directeur de cabinet du maire. Une trentaine d’individus hostiles, d’origine turque, se rassemblent alors autour du kiosque, certains proférant des menaces de mort à l’encontre de Xavier Magnin – c’est le nom du directeur de cabinet – qui a raconté les faits lundi au micro de Boulevard Voltaire. Voilà donc comment les faits se sont déroulés.
Voici, maintenant, comment Le Point les relate dans son édition Internet de dimanche matin. Sous le titre « Quand les soutiens d’Erdogan s’en prennent au Point », on lit : « La campagne d’affichage du Point est maintenue sur tout le territoire. Dès samedi, Le Point a demandé le rétablissement dans les kiosques précités [un incident similaire a eu lieu à Valence, dans la Drôme], ce qui fut fait dans les deux heures. Le kiosque du Pontet est désormais placé sous la protection des gendarmes. » Rien sur l’action du maire, un maire qui, le matin même dans son communiqué, déclarait : « On ne transige pas avec la liberté d’expression en France, et encore moins au Pontet. » Rien sur la prise de risque physique de son plus proche collaborateur. Rien sur les menaces. À lire Le Point, on comprend que le rétablissement de l’affiche du Pontet est lié à la seule action du Point.

Pourquoi ces omissions, ces imprécisions ? Est-ce parce que le maire du Pontet est Front national. On n’ose l’imaginer.

Lundi, l’affaire a pris une tournure nationale et c’est très bien. Le président de la République a déclaré dans un tweet : « Il est parfaitement inacceptable que des affiches du Point soient retirées des kiosques de presse au motif qu’elles déplaisent aux ennemis de la liberté, en France comme à l’étranger. La liberté de la presse n’a pas de prix : sans elle, c’est la dictature. » Les commentateurs, les politiques se relaient devant les caméras pour défendre la liberté de la presse et prononcent des phrases définitives magnifiques. Un petit mot pour ceux qui la défendent, loin des caméras, sur le terrain, ici en France, quelque part dans le Vaucluse, ne serait pas superflu…

On ne transige pas avec la liberté de la presse. On ne devrait pas transiger, non plus, avec la vérité. Et ne pas dire toute la vérité, est-ce bien dire la vérité ?

Georges Michel

Source 

Notre université d’été 2018 : Inscriptions ouvertes !

Notre université catholique d’été 2018 se déroulera selon le programme établi dont on trouvera ci-après le résumé. Comme toujours par le passé il pourra bien sûr être légèrement modifié ou adapté en fonction des attentes des participants et des circonstances.

Mais cette année, tout particulièrement, nous accorderons de surcroît toute la place nécessaire à notre réplique, à l’incessant bombardement idéologique, politique et culturel, de haute et constante intensité médiatique, pour conditionner notre peuple à l’acceptation d’un immigrationnisme délirant.
Moins que jamais je ne regrette d’avoir, dès 1976 dans la revue Itinéraires, décrit sous le titre « le génocide français » la tragique évolution de la France que je percevais. Depuis, plusieurs autres talentueux écrivains ont pu parler du « suicide français » ou du « grand remplacement ». Ce qui est hélas nouveau aujourd’hui c’est la collaboration accrue à cet immigrationnisme non seulement de biens des clercs de l’Église catholique mais de son chef lui-même, François. Et avec l’autoritarisme que l’on sait.
Nous allons traiter naturellement de cela dans La Griffe car il en va de la survie de notre identité culturelle que défend l’Agrif.
Saint Jean-Paul II, dans son testament spirituel et politique « Mémoire et identité » ne nous adjurait-il pas ainsi : « Tenez à l’identité culturelle de vos nations comme à la prunelle de vos yeux » ?
Or, ne nous fait-on pas actuellement un tour de passe-passe de dialectique théocratique en faisant glisser le sens de « Tu aimeras ton prochain » ou de « Tu accueilleras l’étranger » en une injonction de nature différente : « Tu aimeras l’immigration » ?
Je définissais en 1976 la volonté génocidaire autour de ces trois visées :
- Sur le plan spirituel : que les Français soient de moins en moins chrétiens
- Sur le plan culturel et politique : que les Français se sentent de moins en moins français
- Sur le plan démographique : que les Français soient de moins ne moins nombreux en France.
Et ce dernier point est évidemment réalisé par la conjonction de l’avortement et de l’immigration. C’est ce que j’appelais aussi un « génocide par substitution ».
Or certains, s’ils voient, avec raison, un grand mal individuel et social dans l’avortement, croient naïvement, utopiquement que, face à ce mal l’immigration est en soi un bien.
Désormais, fi donc de rappeler que l’immigration est avant tout un phénomène de double déracinement (des immigrés et des populations autochtones poussées hors de chez elles) et que, comme l’a magnifiquement  exposé la philosophe Simone Weil dans son livre « L’enracinement », le déracinement est un mal.
De plus, désormais, fi du discernement,  il n’est même plus question de préciser de quelle sorte d’immigration il s’agit.
Pour aujourd’hui, restons-en là. Dans notre université, nous fourbirons nos arguments de réplique.


PROGRAMME


Jeudi 2 août

 14 h à 17 h : Accueil et installation des participants – visite des lieux
17 h : réunion générale
Présentation des participants et du programme
18 h : « Le génocide français » : qu’entend-on par là ?
Introduction par Bernard Antony et Pierre Henri
Table ronde et questions.
 Vendredi 3 août
Thème de la matinée : « Rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ».
8 h 45 :  La « Chrétienté » : les différents sens du mot, hier et aujourd’hui
Ni théocratie ni cléricalisme : la réplique au laïcisme
Introduction par Guillaume de Thieulloy
Table ronde et questions
10h15 : Un propos totalitaire : « Pas de loi religieuse au-dessus de la loi de la République » (Jacques Chirac)
Introduction par Cécile Montmirail.
Table ronde et questions.
de 16 h 30 à 19 h : Aspects du communisme.
Introduction par Constantin Télégat
Table ronde et questions
  

Samedi 4 août

Thème de la journée : les grandes idéologies

 8h45 :     L’islam : la personne du Christ et le personnage de Mahomet
Introduction par Christophe Bilek
Table ronde et questions
10h15 :   Les principales erreurs sur le phénomène islamique
Introduction par Yann Baly
Table ronde et questions
de 16h 30 à 19 h :
La grande continuité totalitaire et génocidaire :
Jacobinisme, Jeunes-Turcs, Nazisme, communisme
Introduction par Michel Léon, Pierre Henri, Bernard Antony
Table ronde et questions.
  

Dimanche 5 août

10h Messe à la basilique de Lourdes  ( dans la forme extraordinaire du rite romain) et prières à la grotte .
Après-midi à préciser (selon la météo)
17 h :  L’antiracisme, nouvelle idéologie totalitaire
La nouvelle inquisition judiciaire et médiatique
par Jérôme Triomphe
Table ronde et questions

 Lundi 6 août

 8h 45 : Pourquoi les grandes défaites catholiques de la Révolution française à nos jours ?
Introduction par Marc Froidefont
Table ronde et questions avec Marie-Liesse Rochard, François de la Selve
16h 30 : Les grands antagonismes mondiaux
Introduction par Jeanne Smits
Table ronde avec Quentin Henric, Olivier Figueras
18 h : « L’Orient compliqué »
Introduction par Pierre Henri
Table ronde avec Didier Rochard

Mardi 7 août
Randonnée dans les Pyrénées (vallée de Cauterets ou vallée d’Ossau – 2 niveaux de marche)
Soirée : éléments d’histoire de la Bigorre, du Béarn, du Pays basque et de la Navarre.

Mercredi 8 août

8 h 45 : Valeurs et propositions de la droite de conviction : l’écologie à repenser.
Introduction par Pierre Henri
Table ronde et questions.
10 h 15 : « L’éducation nationale à libérer »
Introduction par Marc Froidefont
Table ronde avec les enseignants du Centre Charlier
16 h 30 : La mondialisation, l’idéologie mondialiste, les mondialismes.
Introduction par Jeanne Smits.
Table ronde et questions.
18 h : Etat actuel des persécutions antichrétiennes. Le cas de l’Inde et de l’hindouisme  par Didier Rochard
 

Ignace – Nouveau super-héros

Ignace - Nouveau super-héros
Ignace – Nouveau super-héros
Source

Europe de l’Ouest : 84% contre l’immigration


Selon l’étude « Être chrétien en Europe de l’Ouest » du Pew Research Center, une très large majorité d’Européens (84% en moyenne) souhaite que l’immigration soit stoppée (« que le nombre d’immigrants dans le pays reste à son niveau actuel » : 43%) ou inversée (« que le nombre d’immigrants dans le pays soit diminué » : 38%). En France, cela concerne 83% de la population, dont 30% souhaitant une diminution du nombre d’immigrants.


Pour FdeSouche, nous avons calculé la moyenne pour les pays interrogés (correspondant à l’Europe de l’Ouest) à l’aide des populations de chacun des pays concernés et de la figure de l’étude de ce lien. Le tableau suivant présente les pourcentages par pays de personnes pensant que le nombre d’immigrés (de leur pays)…


…devrait être augmenté …devrait rester à son niveau actuel …devrait être diminué Ne se prononce pas Population du pays
Autriche 6 52 39 3 8751820
Belgique 9 36 48 7 11469204
Danemark 11 39 45 5 5745547
Finlande 12 50 35 3 5475000
France 10 53 30 7 65233271
Allemagne 9 51 38 2 82521653
Irlande 15 47 31 7 4630000
Italie 5 36 52 7 60494118
Pays-Bas 13 40 42 5 17084459
Norvège 21 43 30 6 5194000
Portugal 17 42 29 12 10291196
Espagne 13 32 39 16 46397452
Suède 16 40 39 5 10135303
Suisse 8 58 31 3 8544034
Royaume-Uni 7 57 32 4 65110276
EUROPE
(moyenne)
9.45 46.34 37.95 6.26 407077333


L’étude montre aussi que pour 53% des Français, il est important d’avoir des ancêtres français pour être réellement français. Le chiffre s’élève à 72% pour les chrétiens pratiquants. Il est sensiblement le même dans le reste de l’Europe de l’Ouest.
« (…) Environ la moitié ou plus dans la plupart des pays disent qu’il faut avoir des ancêtres dans le pays, ou qu’il faut être né dans le pays, pour vraiment partager l’identité nationale. Au Portugal, au moins huit adultes sur dix disent qu’il faut être né dans le pays (81 %) et partager son ascendance (80 %) pour être véritablement portugais. »

Pew Research Center

Merci à Virgile

Source 

Joseph de La Porte du Theil – Le chant

« Le chant est un dérivatif et un tonique. Il nous rend plus fort parce qu’il sème la joie dans notre cœur et quand autour du feu de camp, nous chantons vers la flamme qui monte vers le ciel, notre âme devient plus légère et notre cœur bondit. »

Joseph de La Porte du Theil

Nouveauté : Antidote – Jean-Jacques Stormay

2018, Reconquista Press, 402 pages, 28 €


Préface de Jérôme Bourbon.

Pour l’homme de droite, il existe un ordre des choses dont la liberté ne décide pas et auquel elle a vocation à se conformer. La politique est science architectonique dans l’ordre pratique, la métaphysique est science architectonique dans l’ordre spéculatif. Et c’est encore un principe de la pensée traditionnelle ─ ainsi de la « philosophia perennis » expressive de l’ordre des choses ─ que la pratique soit subordonnée à la contemplation. Or l’ordre dit la disposition des choses en vue d’une fin ; c’est donc l’activité spéculative, voulue pour elle-même, qui, en droit, fixe leurs contenus et leurs limites aux autres activités humaines, mais qui en retour, s’anticipant en elles de manière obligée, se fait conditionner par leurs exigences propres. Le politique admet ainsi des limites que lui prescrit son essence, et dont le respect est la garantie de sa rectitude et de son efficacité. Tout ne relève pas par essence du politique, maints domaines lui échappent. Mais tout est dépendant du politique, soit qu’il le prépare et s’y ordonne (auquel cas le politique s’anticipe en lui en le conditionnant), soit qu’il le transcende (auquel cas c’est lui qui s’anticipe dans le politique en le déterminant par les fins qu’il lui prescrit, non sans se faire affecter par ce à quoi il se rend immanent), et dans les deux cas le politique marque de ses besoins spécifiques les sphères avec lesquelles il est en relation. C’est pourquoi il existe une manière propre à l’esprit de droite de résoudre les questions relevant de l’esthétique, de la connaissance scientifique, de la morale, de l’économie, de la pédagogie, de l’évolution des techniques, de la religion, du langage, des relations intersubjectives et des différents thèmes évoqués par l’étude de la psychologie des facultés. Afin d’illustrer la manière dont un homme de droite s’efforce à penser quand il ne fait pas directement de la politique, l’auteur s’est plu ici à traiter, dans un climat libéré de toute contrainte académique ─ c’est-à-dire, concrètement, du joug de la « political correctness » ─ des sujets de dissertations et de commentaires de philosophie générale. Veuille le lecteur lui faire l’honneur de prendre part au plaisir qu’il a pris à les rédiger.

Disponible sur la Boutique Nationaliste.

Source 

Militant – Mai 2018 – Afrique du Sud : de l’Apartheid au racisme anti-blanc (vidéo)

L’Autriche durcit sa législation sur l’immigration

L’Autriche durcit sa législation sur l’immigration

Le gouvernement autrichien a annoncé, mardi 29 mai 2018, la mise en place de nouvelles mesures relatives à l’immigration, instituant de nouvelles conditions à remplir pour l’admission sur le territoire et le séjour.

Le gouvernement admet lui-même que ces mesures sont ‘’très difficiles à remplir’’ mais qu’elles seraient de nature à endiguer les vagues d’immigration dans le pays. Les mesures annoncées feront l’objet d’une loi qui sera présentée au parlement à l’automne prochain.


D’après les données disponibles, il s’agira de réduire l’accès des immigrants aux prestations sociales, d’exiger une bonne connaissance de l’allemand pour tout demandeur de séjour ou demandeur d’aides sociales. Le texte envasagé réduit également de 863 à 563 euros le montant de l’indemnité allouée aux réfugiés, avec obligation de justifier de cinq ans de séjour effectif pour bénéficier de cette aide et avoir accès aux prestations sociales et de santé.

Source 

Quadragesimo Anno et la véritable justice sociale (3)


L’abbé Xavier Beauvais poursuit son étude de l’encyclique Quadragesimo Anno.

Nouveau parti suédois : L’islam n’a pas sa place en Suède – L’immigration détruit notre société

Nouveau parti suédois : L’islam n’a pas sa place en Suède – L’immigration détruit notre société


Avec ses protestations et ses rassemblements publics révolutionnaires, le parti Alternative for Sweden (AfS) gagne beaucoup d’attention. Le nouveau parti, fondé par Gustav Kasselstrand en mars de cette année, a une position très ferme sur la migration et l’islam.

Samedi, l’AfS a organisé une réunion à Stockholm. Sur la place publique de Stureplan, le président Gustav Kasselstrand et huit membres du parti se sont adressés au public, rapporte Fria Tider en Suède.

Suite et Video 

23 juin 2018 à Bayonne – Rosaire pour la Vie avec le Dr Xavier Dor

Rosaire pour la Vie
à Bayonne
le samedi 23 juin, 14h30
à l’esplanade de Verdun 
 
Nous aurons cette fois-ci un invité de marque, car le Dr Dor, fondateur du mouvement SOS Tout Petits nous fera l’honneur d’être parmi nous !
 
Il fera une petite conférence à la suite du rosaire.

 Source

Ignace – L’auteur de l’attentat de Liège s’était radicalisé en prison

Ignace - L'auteur de l'attentat de Liège s'était radicalisé en prison
Ignace – L’auteur de l’attentat de Liège s’était radicalisé en prison

Les photos de la manifestation du Bastion Social à Aix-en-Provence


Le 26 mai, le Bastion Social organisait une petite manifestation à Aix-en-Provence sur le thème de la préférence nationale.





Source

Créer un incident sous « faux pavillon » !

C’est non sans un certain effarement qu’on avait vu, début janvier le lobbyiste Patrick Clawson déclarer, lors d’une intervention au très sérieux think-tank pro-sioniste américain Washintgon Institue, qu’Israël devrait créer un incident sous faux pavillon pour amener les USA à entrer en guerre contre l’Iran !

Comme il se plait à le dire : « Le Washington Institute cherche à promouvoir une compréhension équilibrée et réaliste des intérêts américains au Moyen-Orient et à promouvoir les politiques qui les protègent. »



Toute la question est donc de savoir s’il s’agit, avec Israël, de protéger les intérêts américains au Moyen Orient ou de jouer les idiots utiles des sionistes…Voire carrément, comme le souhaite Nétanyahu, de leur faire faire cette guerre tant souhaitée contre l’Iran à leur place…

La question reste ouverte…

Donald Trump se donne énormément de mal pour éviter la paix et ses efforts pourraient bien finir par être couronnés de succès…
L’annulation surprise du sommet de Singapour avec la Corée du nord – sous un prétexte des plus fallacieux – est symptomatique de cet état d’esprit : entretenir et développer à tout prix un climat de tension internationale.

Paradoxalement le climat général est plutôt à l’apaisement depuis la quasi liquidation des milices islamiques en Syrie.

C’est donc le moment où Israël fait de la surenchère par la voix du ministre du renseignement Katz qui annonce qu’Israël va proclamer l’annexion du Golan


Mais cela sonne aussi le glas des ambitions kurdes, ce qui ne fait pas du tout l’affaire des Israéliens pour qui la création du grand Kurdistan est la clef de la balkanisation à leur profit de toute cette zone, conformément au plan Yinon qui reste d’une brulante actualité, quoi qu’ils en disent !
C’est en effet à la fois la garantie à terme du démantèlement de la Turquie, de l’Irak, et de l’affaiblissement durable de la Syrie et de l’Iran


Après les mesures douanières drastiques prises contre l’Europe au prétexte de « protéger l’industrie américaine », après la dénonciation de l’accord nucléaire et le retour au blocus iranien, Trump, via l’Otan qui tient l’Europe en otage, menace aujourd’hui directement la Russie, non seulement par son soutien au régime ukrainien dans la guerre du Donbass qui s’enlise, mais aussi en poussant la Suède à remilitariser et plus récemment en envoyant en Pologne par le port d’Anvers toute une division blindée…


Mais tout cela ne donne pas de prétexte immédiat à une guerre, d’où l’idée diabolique de « créer un incident » et de préférence sous « faux pavillon » depuis que les « armes de destruction massive » de Saddam Hussein ou les « armes chimiques » de Bachae El Assad sont apparues plus que sujettes à caution…
Dans ce domaine les Israéliens sont passé maîtres depuis leur indépendance ; même si les supercheries furent ; à chaque fois, rapidement éventées…
Jugez-en :
1954, opération Lavon : un réseau israélien constitué de 13 juifs égyptiens commit une série d’attentats à la bombe incendiaire contre des édifices britanniques et américains au Caire et à Alexandrie. L’objectif était que ces actes de terrorisme soient attribués aux nationalistes égyptiens afin d’empêcher tout rapprochement entre l’Égypte nassérienne et les puissances anglo-saxonnes.
Le 8 juin 1967, une attaque opérée par l’armée israélienne le 8 juin 1967, pendant la guerre des Six Jours, sur l’USS Liberty (navire de l’US Navy qui collectait des informations pour la NSA).
Il s’agissait de simuler une agression égyptienne qui aurait justifiée l’entrée en guerre des États-Unis au côté d’Israël.
L’attaque, menée de manière combinée par des avions de chasse des forces aériennes israéliennes et des vedette-torpilleurs de la marine israélienne, a tué 34 Américains (officiers de marine, marins, deux US Marines et un civil) et a fait 171 blessés. Le bâtiment, qui se trouvait alors à environ 25 milles marins au nord-ouest de la ville égyptienne d’El-Arish, fut gravement endommagé.
Le refus des USA d’exercer des représailles malgré ce désastre délibéré, alors que la responsabilité israélienne a été clairement établie en dit long sur le degré de soumission américain aux manœuvres israéliennes !
Le 17 avril 1986, une jeune irlandaise du nom d’Ann-Marie Murphy embarque, à son insu, 1,5 kilo de Semtex dans un vol Londres-Tel-Aviv. Son fiancé, un Pakistanais du nom de Nezar Hindaoui, est arrêté alors qu’il tente de se réfugier à l’ambassade de Syrie.
Tous deux ont en fait été manipulés par le Mossad, qui obtient ainsi le résultat souhaité : le gouvernement Thatcher rompt ses relations diplomatiques avec la Syrie. Mais la manipulation est éventée en haut lieu (comme Jacques Chirac le confiera au Washington Times).
Le 4 décembre 2002, le Premier ministre d’Israël Ariel Sharon justifia les opérations militaires contre les habitants de la bande de Gaza en prétendant qu’Al-Qaïda y avait établi une base. Mais le 6 décembre, le chef de la Sécurité Palestinienne Rashid Abu Shbak livre, dans une conférence de presse, les traces téléphoniques et bancaires qui prouvent que les services secrets israéliens ont eux-mêmes tenté de créer de fausses cellules Al-Qaïda dans la bande de Gaza, en y recrutant des Palestiniens au nom d’Oussama ben Laden. Les recrues avaient reçu de l’argent et des armes (défectueuses) et, après cinq mois d’endoctrinement, furent chargées de revendiquer un prochain attentat en Israël au nom du « Groupe d’Al-Qaïda à Gaza »
(Les Américains s’y essayèrent aussi :
L’opération Northwoods, un projet de 1962, consistait notamment à l’organisation d’une série d’attentats contre les États-Unis par l’état-major interarmées américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain. Le but était de justifier aux yeux de l’opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d’obtenir l’appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales. Révélée par des documents officiels déclassifiés en 1997, l’opération ne fut jamais mise en œuvre car le président J.F. Kennedy s’y opposa.)
Aujourd’hui toutes les conditions sont réunies pour qu’on fasse éclater un incident majeur, susceptible de déboucher sur une guerre généralisée, orchestré par les USA, selon le vœu d’Israël…
Et les rabbins ne sont pas en reste, comme le proclame le rav Chaya :
« Il y aura une grande guerre et les peuples comprendront qu’elle ne se fera qu’au bénéfice d’Israël, et ils vont tout faire pour éviter de renter en guerre, mais par la tignasse de leur chevelure, de force ils seront pris pour rentrer en guerre. »
Les ministres des états sunnites collabos de la péninsule arabique se sont réunis dans le cadre de la « conférence de l’armée de l’air israélienne »
A cette occasion Europe Israël souligne :
« Le quotidien Al-Akhbar a publié un courriel en avril 2018 évoquant une initiative d’Abdulrahman ben Ibrahim al-Sadhan, conseiller de Mohammed ben Salmane, selon laquelle « il faut transférer la guerre par procuration contre l’Iran du Yémen au Liban ».
« Le quotidien libanais Al-Akhbar a rendu public aussi un courriel de l’ambassadeur des Émirats arabes unis à Washington Youssf al Otteiba selon lequel le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane entendait transférer le conflit du Yémen au Liban. »
Israël entend donc bien poursuivre sa politique d’extension du conflit et susciter au Liban – par-delà le conflit mondial rêvé islamo-chrétien auquel chacun s’emploie – un conflit proprement islamique sunnito-chiite !
Ce sont bien sûr les chrétiens libanais encore sur place qui vont en faire les frais !

Claude Timmerman

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L’Union Européenne et les financiers à l’assaut de l’Italie



La crise institutionnelle italienne persistante à cause de la pression de l’Union européenne et des pouvoirs financiers précipite l’Italie dans une crise politique et financière sans précédent.

Le stop du président Sergio Mattarella au gouvernement de Giuseppe Conte, le premier ministre choisi par la coalition M5S et la Ligue, et son choix de charger un ancien haut fonctionnaire du FMI, Carlo Cottarelli, « M. Austérité », de former le futur gouvernement italien contre l’avis électoral des Italiens, a précipité l’inquiétude sur les marchés boursiers, déstabilise la zone euro mais aussi les finances italiennes. 

La volonté des technocrates bruxellois et des milieux financiers d’imposer leur ligne politique et économique sur les destinées des pays européens est d’autant plus visible avec cette crise italienne. Le commissaire européen au Budget, Gunther Oettinger, interviewé à Strasbourg par DwNews, n’a pas hésité à menacer les Italiens : « Les marchés enseigneront aux Italiens à voter de la bonne manière », ils leur enseigneront « à ne pas voter pour les partis populistes aux prochaines élections ». 

Et ce sont ces belles consciences morales européennes qui ne cessent de parler de liberté, de démocratie, de droit des peuples , etc. 

Ces déclarations foncièrement honteuses ont déchaîné une salve de commentaires scandalisés dans toute l’Italie. « Ces paroles sont d’une gravité inouïe et sont la preuve des évidentes manipulations que la démocratie italienne a subi ces derniers jours » ont déclaré les membres du parti M5S en invitant le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à démentir les paroles du commissaire.

« Folie. A Bruxelles ils n’ont aucune honte ! » a clamé Matteo Salvini, de la Ligue. « Et ce n’est pas une menace, par hasard… Mais je n’ai pas peur. » 

Francesca de Villasmundo


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Trois morts et plusieurs policiers blessés dans l’attaque terroriste à Liège


Belgique – A Liège, à peine libéré de prison, un individu présenté comme auteur de délits de droit commun « qui se serait radicalisé en prison » a commis une attaque meurtrière au cri de « Allah Akbar ». L’individu a poignardé à mort deux policières puis s’est emparé de leurs armes, a abattu un passager d’un véhicule, et a pris une personne en otage. A l’issue de cette attaque qualifiée de terroriste par les autorités judiciaires, l’individu a fait une sortie en tirant sur les policiers autour de lui, blessant plusieurs d’entre eux avant d’être abattu.

Attentat islamique à Liège en Belgique


Il hurlait « Allah Akbar » et a tué trois personnes. Aujourd’hui a eu lieu en Belgique un attentat à Liège.

Le terroriste a assailli deux agents de police et des passants, avant d’être abattu par la police. Selon les premières reconstitutions, après un contrôle de routine par la police, le tueur aurait réussi à désarmer un des agents, et aurait commencer à tirer et à assaillir le Café des Augustins dans le centre de Liège, tuant deux policiers et un passant. Enfin, dans la fuite, il aurait pris en otage une femme du lycée voisin. L’homme racontent les témoins cités par la Dernier Heure et Vtm Niews était en possession de deux armes et criait « Allak Akbar » durant l’attaque.

Le terrorisme islamique semble s’installer comme une normalité en Europe… 

La dimension européenne de la crise italienne

L’Europe est mal faite. Voilà que la France, dotée d’un Président français volontariste, s’engage pour la faire avancer, à l’heure où l’Allemagne freine des quatre fers. Merkel a peur de l’extrême droite, mais accepte que Viktor Orbán siège sur les mêmes bancs que ses propres amis politiques au Parlement européen de Strasbourg. De même, elle ne dit un traître mot à l’encontre de son homologue autrichien qui, au sein d’une nouvelle coalition, gouverne avec un parti qui n’a pas encore entièrement fait le deuil de l’idéologie nationale-socialiste dont il est issu.

Aux Pays-Bas, cette même extrême droite, que l’on avait peut-être trop vite enterrée, refait surface. Avec son nouveau et jeune leader, au nom très français de Thierry Baudet, elle concocte un programme, composé d’un savant et dangereux mélange aux saveurs pseudo-intellectuelles, amalgame nauséabond d’anti-européanisme, d’anti-multiculturalisme et de xénophobie à peine déguisée. Alors que Paris, Bruxelles et le Luxembourg semblent mieux résister, les trois autres pays fondateurs de l’intégration européenne, soit la moitié d’entre eux, ont maille à partir avec les fossoyeurs de la démocratie européenne.


Si l’Allemagne saura vraisemblablement y faire face, c’est l’Italie qui fait peur. Elle est entrée dans une phase de décomposition politique, où la faillite de son système n’est pas simplement due aux dirigeants qui la gouvernent, mais aussi et surtout aux dirigeants qui veulent la gouverner. N’ayant que trop choisi des hommes politiques à la lisière de la légalité et aux confins de la morale, la péninsule n’a toujours pas su reconnaître la loyauté de ses autres femmes et hommes qui ont fait la fierté du pays. A contrario d’une idée trop largement répandue, l’Italie n’a pas à rougir de l’ensemble de son personnel politique. Si certains noms restent en mauvaise mémoire, d’autres ont fait honneur à leur mandat. Qu’ils aient, pour n’en citer que quelques-uns, pour patronymes Mariano Rumor, Emilio Colombo, Guiseppe Saragat, Sandro Pertini, Aldo Moro, Enrico Berlinguer, Emma Bonino, Romano Prodi, Giuliano Amato, Giorgio Napolitano, Mario Monti, Enrico Letta ou Matteo Renzi, tous ont œuvré pour une Italie européenne. C’était là leur force, c’était là également la force d’une Italie qui, sortie du fascisme en 1945, est devenue, au fil du temps, et notamment depuis peu après le départ programmé du Royaume-Uni, la troisième puissance de l’Union européenne.
Le drame italien ne se résume pas seulement à l’alliance, contre-nature ou pas, d’une ligue d’extrême droite et d’un mouvement dégagiste, plutôt classé à gauche et dont le lustre de ses cinq étoiles va périr au fil de son incapacité politique. La tragédie romaine est la volte-face anti-européenne d’un pays qui doit sa prospérité à l’Europe. Berceau il y a soixante-et-un ans des traités de la construction européenne qui furent signés le 25 mars 1957 dans sa capitale, l’Italie a perdu, par déraison démagogique, une grande part de sa raison politique. Affaiblie, elle n’a trouvé d’autre solution que de faire confiance à ceux qui font miroiter une force qu’ils ne pourront jamais exercer. Par crainte du lendemain, elle se range alors du côté des faiseurs de peur, alors que par orgueil, elle pèche par un excès de vanité qu’elle sera incapable d’assumer par elle-même.


Le cas italien est à la fois l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire et celui de ce qui se passe quand on ne fait pas ce qu’il aurait fallu faire. Si l’Italie a un impérieux besoin d’Europe, l’Europe a aussi un impérieux besoin de réfléchir sur l’Italie. Parce que ne pouvant pas faire l’économie d’un débat sur son propre avenir, l’Union européenne est obligée de poser la question de son désamour auprès de l’un de ses membres fondateurs. De même, elle n’est plus en droit de balayer d’une main les critiques qui, par-delà ses plus irréductibles adversaires, lui sont désormais adressées par celles et ceux qui comptaient naguère parmi des amis. Bien que demeurant en premier lieu endogène, la crise italienne est également exogène. Ce n’est pas en criant aux loups que l’UE récupérera sa part de confiance et de légitimité chez les électeurs transalpins. C’est en restant fidèle à son modèle, en respectant ses propres valeurs et en développant beaucoup plus de solidarité qu’elle ne l’a fait depuis ses crises à répétition, assumées avec plus ou moins de réussite depuis l’échec du projet constitutionnel en 2005, qu’elle retrouvera ce qui lui fait aujourd’hui cruellement défaut, à savoir le chemin de réformes plus justes et plus citoyennes. Mais voilà, l’Europe est mal faite. [Alors que] la France [est] dotée d’un Président français volontariste [qui] s’engage pour la faire avancer…l’Allemagne freine des quatre fers, avec le résultat que l’on sait et que l’on a vu en Italie !


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La sénatrice trinationale Esther Benbassa au travail ! ...


 
http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/05/senatrice-eelv.jpg
La photo ci-dessus a été prise ce week-end dans l’une des manifestations réunissant gauche et extrême gauche !

La dame qui promeut le cannabis drapée de tricolore n’est autre que la sénatrice EELV Esther Benbassa, née à Istanbul dans une famille juive.

Esther Benbassa émigra en Israël à l’âge de quinze ans puis arriva en France en 1972. Elle obtint la nationalité française en 1974, ce qui fait d’elle une trinationale (Turque, Israélienne et Française).
Esther Benbassa obtint une licence (B.A.) de l’université de Tel Aviv (1972), puis une maîtrise de lettres modernes de l’université Paris-VIII (1973) et un diplôme de turc de l’Institut national des langues et civilisations orientales (1982). Elle fit ensuite des études post-doctorales au département d’histoire du peuple juif de l’université hébraïque de Jérusalem en 1988-1989.
Universitaire spécialiste de l’histoire du peuple juif et de l’histoire des minorités et membre d’Europe Écologie Les Verts, elle est depuis 2011 sénatrice, élue dans le Val-de-Marne puis à Paris.
 
Elle est mariée avec Jean-Christophe Attias, également directeur d’étude à l’École pratique des hautes études et Prix Goncourt de la biographie 2015.
Directrice de recherche au CNRS de 1989 à 2000, elle devint en 2000 directrice d’études à la section des sciences religieuses de l’École pratique des hautes études (Sorbonne), première titulaire femme (et laïque) de la chaire d’histoire du judaïsme moderne (chaire créée en 1896). Elle fonda le centre Alberto-Benveniste d’études sépharades et d’histoire socioculturelle des Juifs en 2002.
Esther Benbassa est cofondatrice du « Pari(s) du Vivre-Ensemble ». Engagée pour le dialogue judéo-musulman, elle a publié Juifs et musulmans. Une histoire partagée, un dialogue à construire (Paris, La Découverte, 2006). En mars 2015, suite aux attentats contre Charlie Hebdo et l’hypercacher de Vincennes du mois de janvier, elle a coorganisé, une journée débats qui a débouché en octobre de la même année sur la publication d’un nouveau collectif, Juifs et musulmans. Retissons les liens (Paris, CNRS Éditions, 2016).

Elue sénatrice EELV le 25 septembre 2011, elle est vice-présidente de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale, membre du comité stratégique de l’Agence du service civique, vice-présidente du groupe d’amitié France-Turquie, secrétaire du groupe d’amitié France-Israël, membre du groupe d’amitié France-Palestine, membre de l’Union interparlementaire, et membre du jury du Prix de la thèse du Sénat.

Elle fut aussi rapporteuse de la proposition de loi (socialiste) visant à la prorogation du délai de prescription des propos dits « discriminatoires à caractère homophobe, sexiste et handiphobe » et à son alignement sur celui des propos discriminatoires à caractère racial, ethnique ou religieux, texte, voté à l’unanimité par le Sénat le 30 janvier 2013.

C’est à son initiative que la commission des lois du Sénat créa en 2012 une mission d’information sur les discriminations raciales, ethniques et religieuses.

Elle rédigea également la première proposition de loi déposée en France pour la légalisation d’un usage contrôlé du cannabis ! ...

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Editorial de la 1ère UDT du Pays Réel, par le Père Joseph, O.F.M

« Pour la reconstruction d’une France catholique et française »
Chers amis,
Nous sommes très heureux de vous inviter à la première université du Pays réel, organisée par Civitas, qui se tiendra du 16 au 18 août 2018 près de Poitiers. Nous vous convions à ne pas manquer ce rendez-vous qui sera d’une haute importance pour tous ceux qui aiment la France, qui sont décidés à ne pas la laisser aux mains des bradeurs et des liquidateurs, pour tous ceux qui ont déjà retrouvé des raisons d’espérer ou qui désirent en retrouver.
Si nous nous adressons d’abord aux jeunes, nous souhaitons la présence de tous ceux qui sont résolus de combattre avec nous la secte maçonnique dont le but immuable est de sectionner définitivement les racines chrétiennes de la France.
Aussi notre université d’été, aux antipodes d’un langage convenu, s’emploiera à démontrer comment et pourquoi l’idéologie au pouvoir des droits de l’homme constitue un poison mortel. Sous couvert de liberté, elle a fabriqué un peuple d’esclaves manœuvré par une poignée d’oligarques, imbéciles ou pervers, pour qui la France n’est pas une terre mais une idée que l’on triture à sa guise.
Loin de nous contenter de stigmatiser la guerre que mène le pays légal contre le pays réel (1), nous vous exposerons aussi le programme de nos réponses théoriques et pratiques pour la reconstruction d’une France catholique et française.
Nous ne vous dissimulons pas notre espérance de persuader ceux qui nous ferons l’honneur de leur présence que nous disposons des réponses vraies. Ce n’est point là une prétention exorbitante mais c’est au contraire l’affirmation humble de ceux qui savent que « la civilisation n’est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a , elle est, c’est la civilisation chrétienne, c’est la cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété ». (2)
Connaître, enseigner les principes de l’ordre naturel et surnaturel, nous soumettre et les mettre en pratique : tel est notre programme et telle est aussi notre force. Là se trouve l’explication de la surprenante dynamique d’un mouvement privé de tous les moyens humains pour réussir mais qui progresse peu à peu sur l’échiquier politique. Rejoindre le pays qui ne veut pas mourir et découvrir le Catholicisme vrai, c’est aujourd’hui bien possible par l’intermédiaire de Civitas.
Nous nous adressons aux patriotes, aux catholiques, aux hommes de bonne volonté. Nous misons sur notre langage de vérité pour convaincre vos intelligences, sur notre enthousiasme pour stimuler les vôtres et sur la grâce de Dieu pour toucher vos cœurs.
Quiconque a l’espérance du redressement de notre pays et est fermement disposé à y apporter sa quote-part est le bienvenu à notre université d’été pour nous y entendre et, s’il le veut, s’associer à notre œuvre de reconstruction que nous confions au Coeur Douloureux et Immaculé de Marie.
Père Joseph (3), O.F.M.
Morgon, le 5 mai 2018, en la fête de saint Pie V, Pape et Confesseur.
(1) Thème de cette première UDT : « Les droits de l’homme contre le Pays Réel »
(2)Saint Pie X in « Notre charge apostolique »
(3)Ex-abbé Régis de Cacqueray-Valménier
. Toutes les informations pratiques sont sur le site de la 1ère UDT du Pays Réel : www.udt-du-pays-reel.com
. Vous inscrire à la 1ère UDT du Pays Réel : http://udt-du-pays-reel.com/?page_id=6
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Terreur à Liège : qui sont les responsables ?

NATION condamne bien évidemment l’attentat terroriste qui a frappé la ville de Liège. NATION présente ses condoléances aux familles des victimes et marque sa solidarité avec les hommes et les femmes qui exercent le dur métier de policier.

Au-delà de la motivation réelle de l’intéressé, qui semble être un converti fraichement radicalisé en prison, cet acte a été rendu possible par une convergence du n’importe quoi.
  • Cet individu aurait dû être en train de purger sa peine plutôt qu’être en congé pénitentiaire ou en liberté conditionnelle
  • La haine anti-flic est propagée par les médias et des groupes tels que la Ligue des Droits de l’Homme, il ne faut donc pas s’étonner que la police devienne la cible privilégiée de certains.
  • Les délinquants ont de plus en plus, un sentiment d’impunité
Sans compter que manifestement, les islamistes propagent leur idéologie en prison, sans aucun problème. On parle de plus de 300 prisonniers, radicalisés pendant leur séjour en prison.

Ce monde est de plus en plus sur sa tête ! Il lui faut un sérieux électrochoc. Avec NATION, aidez-nous à lui appliquer !

Comment se débarrasser du terrorisme ? Votez NATION !

Elections locales 2018 : NATION sera présent !

NATION se fixe l’objectif d’être présent aux prochaines élections locales.

Au niveau communal, NATION vise à se présenter dans les communes suivantes :
  1. Evere
  2. Anderlecht
  3. Namur
  4. Fernelmont
  5. Ans
  6. Huy
  7. Verviers
  8. Tournai
  9. Peruwelz
  10. Beloeil
  11. Binche
  12. Viroinval
  13. Couvin
  14. Gerpinnes
  15. Liège (en collaboration avec la Coordination Patriotique)
  16. Charleroi (en collaboration avec la Coordination Patriotique)
Il y a encore 7 communes où nous espérons présenter une liste.
L’objectif de NATION serait de présenter au moins 20 listes communales et 7 au niveau provincial.

Pour illustrer le développement du Mouvement, il faut rappeler qu’en 2012, nous avions présenté 3 listes communales et 1 liste provinciale.

Nous demandons à tous nos sympathisants habitant les communes nommées ci-dessus de soutenir les listes de NATION par leur vote bien entendu mais aussi :
  • En aidant à diffuser nos tracts et nos affiches
  • En se portant comme candidat pour aider à étoffer nos listes.
Si vous aimeriez que NATION soit aussi présent dans votre commune, aidez-nous à y monter une liste. N’hésitez pas à nous contacter au plus vite, soit au 0495 73 56 22 soit par mail via secretariat@nation.be

Pour les élections provinciales, il suffit d’habiter dans les provinces du Hainaut, de Namur, de Liège et du Luxembourg pour pouvoir être présent sur les listes.