Olivier Pichon reçoit Philippe Schleiter spécialiste du
changement en entreprise consultant depuis 15 ans, chef d’entreprise,
pour son livre (VA Editions) :
« Management le grand retour du réel »
Préface d’Hervé Juvin.
1 Le retour du chef ?
– Qu’est-ce qu’un manageur ?
– Une charge d’âmes.
– Un livre qui ne partage pas la conformité du discours sur le management.
– Le plébiscite pour le chef
– Ceux qui en parlent de loin : syndicalistes « institutionnels » presse de la pensée unique etc.
– Chefs ou petits chefs ? Une certaine idée du « Boss ».
– L’ultra court terme et financiarisation de l’économie.
– Le problème du lien social et de la non performance.
– Excès de zèle et de mode en tous genres.
– Sortir de la prison du présent.
– Le capitalisme a changé, y faire face par le management.
– L’équarrissage d’Asthom, une logique financière.
– Le problème du capitalisme français.
2. Que la mondialisation heureuse n’existe pas.
– Un livre humaniste et cultivé.
– Vaincre ou mourir face à la mondialisation.
– L’entreprise et son territoire.
– L’hyper-classe mondiale.
– Les leviers de motivation.
– Les sacrifices des manageurs.
– Redonner du sens et de l’envie, métiers territoires et identité dans l’entreprise.
– Dans le conteste de désocialisation général (famille école nation Etat) l’entreprise comme lieu de d’identité et de souveraineté.
– Retrouver le héro qui sommeille en vous.
– Le syndicalisme hors sol en voie de disparition, le problème du nouveau dialogue social.
– Le MEDEF comme les autres : le conformisme institutionnel depuis 1945.
– La montée de l’islam dans l’entreprise.
– Si grandes écoles si petites élites.
– L’oubli du bien commun par les élites.
– Les erreurs de la droite aussi sur l’entreprise.
3. l’Entreprise comme identité face au marché.
– L’entreprise est certes le vecteur du marché.
– Mais elle est aussi une identité forte, en tant qu’organisation.
– L’entreprise façonne son marché.
– Au passage, les abandons du politique.
– Le bonheur au travail, contresens et fariboles.
– Maternalisation sociale et délires du BNB (bonheur national brut).
– La mondialisation postule le retour de la virilité.
– Les usines cathédrales de l’économie réelle.
– Trente Glorieuses et trente laborieuses.
– Une société de cocagne ? Regarder vers l’avenir.
CONCLUSION Un plaidoyer pour le rôle social des manageurs, le parallèle avec le discours de Lyautey, une noble tâche, le retour du made in France.
« Management le grand retour du réel »
Préface d’Hervé Juvin.
1 Le retour du chef ?
– Qu’est-ce qu’un manageur ?
– Une charge d’âmes.
– Un livre qui ne partage pas la conformité du discours sur le management.
– Le plébiscite pour le chef
– Ceux qui en parlent de loin : syndicalistes « institutionnels » presse de la pensée unique etc.
– Chefs ou petits chefs ? Une certaine idée du « Boss ».
– L’ultra court terme et financiarisation de l’économie.
– Le problème du lien social et de la non performance.
– Excès de zèle et de mode en tous genres.
– Sortir de la prison du présent.
– Le capitalisme a changé, y faire face par le management.
– L’équarrissage d’Asthom, une logique financière.
– Le problème du capitalisme français.
2. Que la mondialisation heureuse n’existe pas.
– Un livre humaniste et cultivé.
– Vaincre ou mourir face à la mondialisation.
– L’entreprise et son territoire.
– L’hyper-classe mondiale.
– Les leviers de motivation.
– Les sacrifices des manageurs.
– Redonner du sens et de l’envie, métiers territoires et identité dans l’entreprise.
– Dans le conteste de désocialisation général (famille école nation Etat) l’entreprise comme lieu de d’identité et de souveraineté.
– Retrouver le héro qui sommeille en vous.
– Le syndicalisme hors sol en voie de disparition, le problème du nouveau dialogue social.
– Le MEDEF comme les autres : le conformisme institutionnel depuis 1945.
– La montée de l’islam dans l’entreprise.
– Si grandes écoles si petites élites.
– L’oubli du bien commun par les élites.
– Les erreurs de la droite aussi sur l’entreprise.
3. l’Entreprise comme identité face au marché.
– L’entreprise est certes le vecteur du marché.
– Mais elle est aussi une identité forte, en tant qu’organisation.
– L’entreprise façonne son marché.
– Au passage, les abandons du politique.
– Le bonheur au travail, contresens et fariboles.
– Maternalisation sociale et délires du BNB (bonheur national brut).
– La mondialisation postule le retour de la virilité.
– Les usines cathédrales de l’économie réelle.
– Trente Glorieuses et trente laborieuses.
– Une société de cocagne ? Regarder vers l’avenir.
CONCLUSION Un plaidoyer pour le rôle social des manageurs, le parallèle avec le discours de Lyautey, une noble tâche, le retour du made in France.