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jeudi 31 mai 2018

À l’étranger : dictature eurocratique à l’italienne.




À la stupéfaction générale, le président de la République italienne, Sergio Mattarella, agissant très contestablement, à l’extrême limite de ses prérogatives constitutionnelles,  a contraint à la démission le président du Conseil voulu par la coalition majoritaire, Giuseppe Conte.
Ce nouvel acte de cynique déni de la légitimité d’un grand peuple de défendre sa souveraineté et ses libertés, montre une fois encore combien les grands discours sur les bienfaits de l’actuelle construction européenne dissimulent de fanatisme idéologique, bien sûr en convergence avec les appétits de domination financière. 
Probablement pourtant, et heureusement, Mattarella va ainsi vers un échec que devrait sanctionner sa démission. On voit mal en effet comment, avec de nouvelles élections, le peuple italien, exaspéré, pourrait revenir sur sa volonté libératrice du carcan capitalo-soviétoïde de la Commission de Bruxelles.
Abortophilie irlandaise.
La propagande de la culture de mort, avec ses formidables groupes de pression médiatiques locaux et surtout internationaux, a donc fini par imposer aux Irlandais aussi le droit de tuer les enfants à naître ; au déni du premier des droits de la personne humaine, celui de naître et de vivre.
On consultera avec profit sur ce point (et sur d’autres) le blog toujours pertinent de notre ami Yves Daoudal, commentant notamment la tiède inertie de l’Église d’Irlande. Celle-ci a été ramollie, décomposée, inhibée, par de longues années de triste et quelquefois criminelle dérive spirituelle et morale. Et aucune réanimation ne vient du sommet de l’Église, à Rome.
L’immigration islamocratique va donc continuer de plus en plus en Irlande, comme en Angleterre, comme chez nous et presque partout en Europe occidentale à être le vecteur essentiel de l’entreprise génocidaire, dont nous avions décrit il y a déjà longtemps la stratégie et les mécanismes.
Gestapo ottomane sur nos kiosques à journaux.
Des commandos de Turcs installés en France, sûrs d’eux et dominateurs, ont mené ces derniers jours des rafles, dans les kiosques, d’un hebdomadaire français qui a indisposé le gouvernement d’Ankara en titrant sur la dictature de Recep Tayyip Erdogan qui entend aussi faire la loi chez nous. Il y a déjà plusieurs années, nous avions ainsi titré Reconquête : « Le grand retour ottoman ».
Pendant longtemps encore, on dut hélas subir les surenchères de turcophilie de l’Allemagne de Merkel mais aussi d’Israël en plein aveuglement, ce que dénonçait la grande historienne juive Bat Ye’Or. Sans oublier antérieurement l’incroyable geste masochiste du pape Paul VI rendant solennellement aux continuateurs des assassins de Constantinople et des génocideurs des Arméniens et assyro-chaldéens, les drapeaux ottomans pris à Lépante. 
Erdogan, comme Lénine, Staline ou Hitler, a, il est vrai, très ouvertement et franchement défini depuis longtemps sa stratégie dans son célèbre discours de 1998 où il déclama des vers du poète impérialiste ottoman Ziya Gökalp avec notamment ces mots : « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques, et les croyants nos soldats ».
Cela hélas n’empêche pas François de marteler en un pur déni de réalité : « L’ Europe se ferme, se ferme, se ferme ». Alors qu’elle n’a jamais été aussi ouverte à l’entrée, par centaines de milliers chaque année, de populations de migrants majoritairement islamiques et dans lesquelles l’islamo-jihâdisme s’épanouit comme le poisson dans l’eau si souvent cité par Mao-Tsé-Toung.
Et comme pour mieux démobiliser ceux qui ne veulent par avance se soumettre, il est des clercs pour asséner sans cesse que l’immigration est « inexorable », « inévitable » et d’assortir cela d’un frauduleux glissement de sens, passant du « tu aimeras ton prochain » à un « tu aimeras l’immigré » et pour finir en un « tu aimeras l’immigration » ; de surcroît assorti d’une pression de subversion théocratique par l’expression papale nouvelle selon laquelle il s’agit là d’une « exigence divine ».
Nous traiterons plus à fond de cela dans La Griffe de mai-juin et dans Reconquête de juin-juillet.