La décision
du président italien, Sergio Mattarella, de ne pas agréer le
gouvernement proposé par la coalition M5S et la Ligue fait parler d’elle
à l’étranger.
Dans
le camp des eurosceptiques Marine Le Pen, en France, et Nigel Farage,
en Grande-Bretagne, évoquent un complot et la dénoncent comme
scandaleuse. Ils y voient la confiscation du vote des Italiens et un
coup d’État de la part des instances européennes et financières pour
empêcher un gouvernement contraire aux diktats bruxellois.