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vendredi 10 août 2018

L’Antiquité revue et corrigée par l’idéologie marxiste

L’Antiquité revue et corrigée par l’idéologie marxiste

Romane Espinette* est une jeune étudiante Identitaire de Toulouse.
Habituée à raser les murs du lycée pour éviter les bébés Black Bloc et les futurs fachos de l’extrême gauche, elle appréhende toutefois sa rentrée universitaire à Toulouse-Jean Jaurès (ex-Le Mirail).

Entre les Sœurs musulmanes de l’UNEF à tchador, les vigiles barbus, les harpies de l’antiracisme intersectionnel, les lesbiennes agressives à crête rose du néoféminisme et les islamo-gauchistes du NPA de Philippe Poutou, pas facile d’étudier sereinement pour une jeune patriote hétérosexuelle, fière de la France d’autrefois et des valeurs de la République…

Elle a donc choisi d’étudier l’Antiquité et d’opter pour une licence d’histoire : là, au moins, pas de repentance au colonialisme, pas de culpabilisation de l’Occident, pas de gauchisme ni de relativisme culturel. Sérieuse, elle décide donc d’acheter un ouvrage recommandé par le corps professoral : « Le Haut-Empire romain en Occident, d’Auguste aux Sévères » par l’historien Patrick Le Roux.
Et patatras, dès l’introduction, Romane Espinette déchante : même l’Antiquité succombe à la mode du politiquement correct et à l’idéologie marxiste.

« Cela n’excluait pas la glorification parallèle des héros indigènes qui, tels Vercingétorix ou Calgacus, avaient opposé au conquérant leur idéal national d’indépendance et de refus de la servitude. L’idée de résistance, suggérée par l’histoire récente des sociétés colonisées et des mouvements anticolonialistes, a permis de réflechir aux limites de la romanisation, comme les analyses marxistes ont favorisé une meilleure attention aux indigènes, à l’exploitation économique, aux élites romanisées. »

* Les prénom et noms ont été changés