«J'ai toujours eu une relation exemplaire avec les journalistes étrangers, encore faut-il qu'ils soient journalistes». «Quand des organes de presse répandent des contre-vérités infamantes, ce ne sont plus des journalistes, ce sont des organes d'influence. Russia Today et Sputnik ont été des organes d'influence durant cette campagne qui ont à plusieurs reprises produit des contrevérités sur ma personne et ma campagne. Et donc j'ai considéré qu'ils n'avaient pas leur place, je vous le confirme, à mon quartier général».«La totalité de tous les journalistes étrangers professionnels, y compris Russes, ont eu accès à ma campagne. C'est simple. Les règles sont ainsi et ce sera toujours les mêmes. Avant de renchérir: «Et c'est en cela qu'il était grave que des organes de presse étrangers, sous quelque influence que ce soit, aient interféré en répandent des contrevérités graves dans une campagne démocratique. Et à cela, je ne céderai rien». «Donc on va se dire les choses en vérité: Russia Today et Sputnik ne se sont pas comportés comme des organes de presse et des journalistes, mais ils se sont comportés comme des organes d'influence et de propagande mensongère, ni plus ni moins»
Comment lui expliquer...