60 000 soldats sont encerclés dans la poche de Tcherkassy depuis le 24 janvier 1944.
Le 16 février 1944 À 23 heures, les unités se mettent en marche silencieusement en direction de Lyssianka, à environ 15km. Le contact avec la première ligne soviétique a lieu une demi-heure plus tard. La SS Sturmbrigade Wallonie de Léon Degrelle tiens l’arrière garde.
Depuis la tête de pont allemande venue au secours des encerclés, une unité légère, le Kampfgruppe Bäke, s’infiltre à la rencontre d’unités en fuite pour leur ouvrir le passage.
À 6 h 30, les premiers éléments atteignent Lysyanka, et au soir la quasi-totalité des unités a fait de même, dans la panique la plus totale sous les attaques bolcheviques.
Le général Koniev a promis à Staline qu’aucun Allemand n’en échapperait. Au 18 février c’est plus de 40 000 soldats qui sont passés ! Le « Stalingrad sur le Diepr » n’a pas eu Lieu.
Léon Degrelle et les quelques généraux rescapés sont célébrés comme des héros.
Source
Le 16 février 1944 À 23 heures, les unités se mettent en marche silencieusement en direction de Lyssianka, à environ 15km. Le contact avec la première ligne soviétique a lieu une demi-heure plus tard. La SS Sturmbrigade Wallonie de Léon Degrelle tiens l’arrière garde.
Depuis la tête de pont allemande venue au secours des encerclés, une unité légère, le Kampfgruppe Bäke, s’infiltre à la rencontre d’unités en fuite pour leur ouvrir le passage.
À 6 h 30, les premiers éléments atteignent Lysyanka, et au soir la quasi-totalité des unités a fait de même, dans la panique la plus totale sous les attaques bolcheviques.
Le général Koniev a promis à Staline qu’aucun Allemand n’en échapperait. Au 18 février c’est plus de 40 000 soldats qui sont passés ! Le « Stalingrad sur le Diepr » n’a pas eu Lieu.
Léon Degrelle et les quelques généraux rescapés sont célébrés comme des héros.
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