Pierre Dominique Costantini est né le 16 février 1889 à Sartène en Corse.
Il combat en tant qu’officier dans l’armée de l’air durant la Première Guerre mondiale. Il en ressort invalide à cent pour cent.
Dans l’entre-deux guerres, il participe à la Croisière Jaune et milite dans les Ligues.
En 1940, il fonde la Ligue française d’épuration, d’entraide sociale et de collaboration européenne, appelée couramment Ligue française, mouvement politique collaborationniste français. Il dirige le journal L’Appel, organe de la Ligue française.
Il écrit aussi un certain nombre de livres et brochures : La Grande pensée de Bonaparte (Paris, Éditions Baudinière, 1940), La Haute signification de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (Paris, L.V.F., circa 1942) et Ode au masque de Napoléon (Paris, Éditions Baudinière, 1943).
Il combat en tant qu’officier dans l’armée de l’air durant la Première Guerre mondiale. Il en ressort invalide à cent pour cent.
Dans l’entre-deux guerres, il participe à la Croisière Jaune et milite dans les Ligues.
En 1940, il fonde la Ligue française d’épuration, d’entraide sociale et de collaboration européenne, appelée couramment Ligue française, mouvement politique collaborationniste français. Il dirige le journal L’Appel, organe de la Ligue française.
Il écrit aussi un certain nombre de livres et brochures : La Grande pensée de Bonaparte (Paris, Éditions Baudinière, 1940), La Haute signification de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (Paris, L.V.F., circa 1942) et Ode au masque de Napoléon (Paris, Éditions Baudinière, 1943).
Départ
d’un contingent de la LVF pour le front russe. Au centre, de g. à dr. :
Costantini, Doriot, Montagnon et Darnand. En uniformes : le commandant
Lacroix et le capitaine Château. Paris, Gare de l’Est. Juin 1942.
Le 8 juillet 1941, il cofonde avec Jean
Boissel, Marcel Déat, Pierre Clementi et Eugène Deloncle la Légion des
volontaires français contre le bolchevisme (LVF).
La LVF fut reconnue d’utilité publique et le Maréchal Pétain déclare que ses soldats détienent « une part de notre honneur militaire »
Pierre Costantini fonde en 1943 l’Union des journalistes anti-maçons.
Il se repli à Sigmaringen en 1944.
Capturé il est jugé irresponsable par la justice, et séjourne quelques années en milieu psychiatrique.
Libéré, il poursuit une carrière de journaliste et publie plusieurs essais dont : Bonaparte en Palestine (Paris, D’Hallium & Co Éditeurs, 1967).
Il décède le 30 juin 1986 et est inhumé prés de Sartène.
Source
Pierre Costantini fonde en 1943 l’Union des journalistes anti-maçons.
Il se repli à Sigmaringen en 1944.
Capturé il est jugé irresponsable par la justice, et séjourne quelques années en milieu psychiatrique.
Libéré, il poursuit une carrière de journaliste et publie plusieurs essais dont : Bonaparte en Palestine (Paris, D’Hallium & Co Éditeurs, 1967).
Il décède le 30 juin 1986 et est inhumé prés de Sartène.
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