Vous pensez que l'Allemagne donneuse de leçons de
l'Europe, ne connaît pas la crise ? Détrompez-vous. Derrière les
chiffres flamboyants et la gestion à la teutonne, il y des millions
d'emplois précaires, et une situation pas très reluisante. C'est ce
qu'on appelle les « mini-jobs » rémunérés à 450 euros maximum par mois,
quel que soit le nombre d'heures travaillées. Ils ont largement
contribué à faire baisser le chômage, mais à quel prix ?
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