Il est aujourd’hui malvenu de parler de la nation, seule la république est citée. Or, la république, comme la monarchie, est un système politique qui est au service de la nation. Il est utile de rappeler que sans nation, pas d’État, pas de république, pas de démocratie, pas de citoyens, pas de solidarité, pas d’électeurs et pas d’élus…
Au nom du monde libre, Macron permettra aux spéculateurs internationaux de piller l’économie de la France, comme il l’a déjà fait lors de son passage comme ministre.
Pour éviter la rébellion, avec les « élites » il poursuivra la déstructuration de la cohésion du peuple et de la nation pour créer le chaos en accélérant :
– L’immigration massive et incontrôlée, qui a pour objet de détruire la cohésion du peuple de l’intérieur par la création d’une société multiculturelle. Présentée comme tolérante et généreuse, cette stratégie pernicieuse et perverse a pour objet de diviser pour régner.
– Le laisser-faire de la délinquance, marginalisant les nouveaux arrivants qui ne pourront jamais s’intégrer et, moins encore, s’assimiler.
– Le terrorisme psychologique, qui interdit toute velléité de rébellion du peuple si peu souverain, nie l’existence d’une identité nationale qui ne serait que le fait de « beaufs » racistes, esclavagistes, colonisateurs, franchouillards, incultes et picoleurs. Cette image n’incite pas les nouveaux arrivants à prendre une telle identité. Pourtant, la nation est par excellence l’espace dans lequel s’expriment l’identité et la culture fondées sur une histoire, bases du vivre ensemble.
– L’acharnement policier, juridique, fiscal et administratif vis-à-vis des citoyens laborieux.
La république et la nation sont en danger. La poursuite de l’endettement public justifiera la nécessité de vendre le patrimoine, y compris stratégique, aux « copains ».
L’Homme est d’une espèce grégaire.
Il a un besoin d’appartenir à un groupe, qu’il soit religieux, ethnique, tribal ou national. Sans identité, que la nation française n’a bientôt plus, et sans repères, des jeunes en recherche vont se réfugier dans des extrémismes qui leur donnent une illusion d’être. Cette stratégie du chaos est au service d’une gouvernance mondiale qui ne pourra plus être contrée par des nations et des peuples déstructurés.
Cette stratégie mortifère a déjà été engagée avec les révolutions colorées qui, aujourd’hui, ensanglantent le Moyen-Orient. Les musulmans, dont on stimule le fanatisme, sont utilisés pour « faire le boulot », pour reprendre la formule de notre ex-ministre des Affaires très « étrangères ».
Stop au vol et au viol de la démocratie ! Les manipulations engagées par le pouvoir pour cette élection mettent en évidence qu’il ne faut pas confier le pouvoir à la gauche : elle refuse de le restituer.
La justice et la presse sont, en principe, des piliers de la démocratie. Ils devraient être les ultimes remparts contre les coups d’État et non pas les organisateurs. Nous constatons que des juges et des journalistes, enfermés dans leurs certitudes, abusent de leur indépendance pour nous imposer leurs dogmes, oubliant leurs devoirs de servitude vis-à-vis de la démocratie. Il nous faut faire respecter les principes de notre Constitution.
La république, c’est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. La souveraineté nationale appartient au peuple… Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.
Serge Grass
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