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dimanche 30 avril 2017

« LE NATIONALISME C’EST LA GUERRE », MACRO INEPTIE DU CANDIDAT À LA VOIX DE FAUSSET





Emmanuel Macron qui est socialistement et radicalement inculte s’est époumoné hier avec une voix de chat écorché à ressortir une vieille rengaine de l’indigence politique. Il a repris une phrase de François Mitterrand qui, lors de sa venue au Parlement européen pour la dernière fois, avait en effet lancé : « Le nationalisme c’est la guerre ». Et il a opposé patriotisme et nationalisme.

Notons que jusqu’ici dans ses textes de doctrine politique, l’Église catholique ne réprouvait que le nationalisme « exacerbé ». Et que patriotisme bien compris et nationalisme mesuré, c’est quasiment la même chose.

Aussi il faudrait apprendre à l’ignare qui prétend gouverner la France qu’il y eut en effet un nationalisme pervers, celui de l’idéologie des révolutionnaires jacobins de 1793 lançant la France pour des années contre toute l’Europe !

Il faudrait apprendre à M. Macron qu’il y a eu un nationalisme impérialiste raciste pervers, celui du laïciste et affairiste Jules Ferry, appelé « Ferry-Tonkin » lors des scandales financiers de la classe politique radicale de la IIIe République.

Il faudrait apprendre à M. Macron que ce n’est pas Charles Maurras mais Lénine, cher à Robert Hue, qui s’exclama ravi lors du déclenchement du premier conflit mondial : « La guerre, cet incomparable accélérateur de l’histoire ».

Il faudrait apprendre à M. Macron que ce fut Léon Blum, si admiré par son téléguideur François Hollande, qui, en 1935, commit le crime de refuser, après l’affaire du Brenner, suite à l’assassinat du chancelier autrichien de droite Dolfuss, d’en finir avec la peste nazie comme le voulait à l’époque l’Italien Mussolini que ce refus pousserait ensuite, irresponsablement certes, dans les bras d’Hitler.

Il faudrait apprendre à M. Macron que ce fut en effet par antinationalisme que ce même Léon Blum refusait l’augmentation des crédits militaires. Il proférait alors l’énormité de sa conviction à propos d’Hitler que « ce caporal autrichien ayant connu dans les tranchées les horreurs de la précédente guerre ne voudrait en aucun cas en commencer une nouvelle ».

Il faudrait apprendre à M. Macron que les nationalismes qui furent en effet désastreux aussi, ce furent notamment ceux des guerres d’Indochine et d’Algérie, nationalismes révolutionnaires alors manipulés par le communisme international. Alors qu’un bon nationalisme à la française éclairait dans un cas comme dans l’autre des solutions de bien commun.

L’Institut du Pays Libre, institution de culture politique qui a appelé fermement à voter pour Marine Le Pen, sans inconditionnalité par ailleurs pour toutes ses positions ou ses propositions insuffisantes, se fait un devoir de dénoncer les énormités politiques de l’inculture franc-macronique.