Attentats
islamiques obligent, les pays européens, sans mettre un terme toutefois
à l’immigration-invasion et à la visibilité de l’islam sur le sol du
Vieux Continent, émettent de petites lois sensées rassurer leur
concitoyens. C’est comme mettre un sparadrap sur une plaie encore
ouverte !
La
coalition arrivée au pourvoir en Autriche a décidé, afin de lutter
contre l’immigration et les dérives fondamentalistes, de serrer la vis :
la burqa et autre voile qui couvrent le visage des femmes en public
seront interdits ainsi que la distribution de copie du Coran en public
par les groupes salafistes. D’autre part les demandeurs d’asile devront
participer à des cours d’allemand et de culture autrichienne, autrement
leurs allocations sociales seront réduites.
« Seulement ainsi ces personnes pourront obtenir le respect de la majorité de la population »
a
expliqué le ministre des Affaires Étrangères et de l’Intégration,
Sebastian Kurz. Message adressé aux milieux islamistes que l’on espère
décourager ainsi avec ces mesurettes.
L’initiative
viennoise apparaît aussi comme un renforcement du message envoyé
précédemment à Bruxelles le lendemain des fêtes commémorant le Traité de
Rome : l’Autriche souhaite obtenir une dérogation sur le plan européen
par rapport au relogement des migrants. La réponse des technocrates
bruxellois ne s’est pas fait attendre : c’est un Niet comme au temps des
soviets.
« L’Autriche doit respecter ses engagements, aucun pays ne peut se retirer de manière unilatérale d’une décision qui est contraignante. Il peut choisir d’agir en-dehors de la loi, chose que nous trouverons déplorable, mais ce serait un comportement qui ne restera pas sans conséquences »
a
déclaré le porte-parole de la Commission européenne, Natascha Bertaud.
Avec de tels diktats comminatoires et menaçants, qui ne respectent
aucunement le droit des peuples à se protéger contre l’invasion, on
comprend mieux le Brexit !
Vienne ne s’est cependant pas laissée démonter et a répliqué :
«Nous croyons qu’une exception soit nécessaire pour l’Autriche, parce qu’elle a accompli son devoir. Nous en discuterons avec la Commission et nous enverrons au plus vite une lettre, puis les discussions commenceront »
a
ajouté le chancelier autrichien, Christian Kern, qui estime que son
pays a fait ce qu’il pouvait pour les « migrants » et ne peut faire
plus.
Le
problème est que tous les pays européens ont fait plus qu’ils ne le
peuvent et sont saturés, spécialement l’Italie et la Grèce où débarque
la majeur partie des clandestins en provenance d’Afrique. Ce n’est donc
pas la répartition de ces immigrés hors-la-loi dans les différents pays
européens qui réglera le problème de l’invasion migratoire mais le
rapatriement des clandestins chez eux et le refoulement de leurs bateaux
de fortune vers leur point de départ, souvent libyen.
Mais
cela Bruxelles ne veut l’entendre et continue, par complaisance
coupable envers les financiers et les grandes entreprises en recherche
de main d’œuvre à bon marché et par idéologie mondialiste, à promouvoir
une immigration-invasion qui asphyxie les nations européennes et
provoque un Grand Remplacement.
Francesca de Villasmundo