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samedi 8 avril 2017

L’imam qui aime le pape François qui défend l’islam


Quoi de mieux pour les mahométans pour blanchir leur Coran de toute responsabilité dans les attentats islamiques qui ensanglantent l’Occident ou pour ouvrir une mosquée en pays chrétien que d’aller courir chercher aide et réconfort au Vatican où ils sont accueillis à bras ouverts par un pape François tout à l’écoute.

Aujourd’hui, mercredi 5 avril, quatre imams britanniques vont être reçus en audience privée par le pape argentin devenu la caution vertueuse d’un islam subitement devenu, après des siècles de violences, une « religion de paix ». Cette duperie spécieuse est répercutée dévotement par bien des médias enchaînés : qu’il est bon l’islam, c’est le pape François qui le dit, est la nouvelle écrite en cœur pour détourner le malheur et combattre la peur ! Avec une telle réponse au terrorisme islamique, pour sûr l’islam gagnera du terrain en nos terres occidentales ! 

Shaykh Ibrahim Mogra, avant cette audience historique, a répondu à quelques questions du quotidien italien Vatican Insider. Voici quelques perles de l’imam trouvées par-ci par-là dans ce long entretien glorifiant François, l’islam, l’islam, François…
«Le pape François est un homme courageux. »
C’est vrai qu’aller dans le sens du politiquement correct demande un courage extraordinaire !
« C’est le seul à avoir eu le courage de dire que l’islam est une religion de paix. »
Le seul, ah bon ? C’est pourtant la ritournelle que les journalistes au collier, les politiciens bien en vue, un bon nombre d’ecclésiastiques chrétiens toutes confessions confondues, ânonnent matin, midi, soir, sur toutes les ondes, sur tous les tons, en toutes les langues…
« Lui, c’est un vrai chrétien, parce qu’il regarde la personne humaine quelle que soit son appartenance religieuse. »
Que connaît-il l’imam du christianisme pour décider si arbitrairement de ce qu’est un vrai chrétien ?
« Les causes de ces attaques, continue l’imam, sont plutôt compliquées. Mais je ne crois pas cependant que la matrice soit religieuse mais elle provient plutôt d’une impasse géo-politique. »
Que la situation géopolitique et les guerres iniques de l’oncle Sam au Moyen-Orient soient à rangées parmi les causes de ces attentats islamistes, difficile de ne pas le voir, et l’imam dit juste, mais cela n’exempte pas la religion mahométane de sa responsabilité ni d’être « la matrice religieuse » qui pousse les djihadistes du croissant à ces actes terroristes.
« La haine entre les religions est une idée terroriste. Il faut démontrer que les religions n’ont pas de problèmes entre elles. Le pape a raison : le dialogue est le premier pas. »
Idée à la mode mais la réalité est autre : le Coran prêche l’universalité de la doctrine de Mahomet par la guerre sainte et la conquête territoriale, là où l’Évangile prêche la conversion des âmes au Christ par la charité.
Concernant la rencontre avec François, l’imam témoigne de son émotion :
« Je suis vraiment ému. C’est un moment vraiment historique parce que ce n’est jamais arrivé auparavant que quatre imams de la Grande-Bretagne rencontrent le pape et c’est un moyen pour établir un engagement commun pour les réfugiés, les SDF, les pauvres et pour les autres activités de charité. »
« Je veux dire au pape merci d’avoir défendu les musulmans. »
Tout est dit ! 

Francesca de Villasmundo