Nasser (1904-1970) admirateur du Maréchal Pétain et anti-frères musulmans
Instructeur au Collège Militaire (1942), Médaille Militaire dans la Guerre de Palestine (1949).
Né le 15 janvier 1918 à Alexandrie ,fils d’un postier ayant suivi l’école islamique et l’école copte et obtenu ainsi une place par son certificat d’études, Gamal (prononciation égyptienne de djemel, « beau ») Abd el Nasser (le victorieux) Hussein, bientôt orphelin de mère deux ans après, décédé au Caire le 28 septembre 1970 , époux d’une femme de père iranien, Taha Kazem (1920-1992), fonda une Société ou Comité patriotique en 1939 et réorganisé en 1942, hospitalisé après deux blessures, dans « la Guerre de Palestine » achevée en février 1949.
Les armées arabes venues au secours de Palestiniens n’avaient qu’à peine entamé, à la frontière syrienne, la part juive du découpage onusien de la Palestine, et n’ont donc jamais, comme le répètent nos perroquets, menacé l’existence du nouvel État juif, dont le tyran Staline avait le premier proposé en 1947, aux Nations-Unies, par son ambassadeur André Gromyko, la formation. Mais, mis à part l’honnête Syrie et la Jordanie dont le roi Abdallah sera assassiné, la volonté des États de la coalition, jouets de l’Angleterre et des États-Unis, n’était pas de vaincre, mais de céder devant l’adversaire, en illusionnant leur opinion publique. Ce qu’ils continuent de faire.
Le capitaine Nasser ainsi décoré pour faits d’arme de la Médaille Militaire, se révolta contre cette trahison, en tirant les nécessaires conséquences politiques de cette défaite et de la faiblesse de l’État.
« On observait, écrit-il, un manque total de coordination entre les armées arabes, l’exercice du commandement, au plus haut niveau, était quasi inexistant et nos armées se révélaient impuissantes. Au plus fort du combat, les corps des ingénieurs de l’armée reçut l’ordre d’entreprendre la construction d’un chalet de plaisance pour le roi Farouk à Gaza. Il était clair que tout ce qui intéressait le Haut-Commandement était de s’emparer de la plus grande superficie de terrain, sans tenir compte de sa valeur stratégique ou de son aptitude à favoriser nos chances de gagner la bataille. J’ai été extrêmement indigné contre ces commandants de flottilles et ceux des bureaux qui ignoraient tout du champ de bataille et de ce qu’enduraient les combattants .La goutte qui fit déborder le vase arriva lorsque je fus chargé de conduire le 6e bataillon d’infanterie vers le village d’Iraq Suwaydan, objet des attaques israéliennes. Avant même de nous y mouvoir, tous les plans de déplacement avaient été divulgués par la presse égyptienne. Ensuite a eu lieu le siège de Falloujah dont j’ai vécu les combats et durant lequel les forces égyptiennes ont continué de résister, en dépit de la supériorité en nombre des troupes israéliennes, jusqu’à ce que l’armistice imposé par les Nations-Unies mit fin à la guerre, le 24 février 1949. »
Ce Comité des « Officiers Libres » qui, en 1952, trois ans après
la première défaite militaire égyptienne devant Israël, imposa au
Souverain comme Premier Ministre le général Néguib, mettant fin au bout
d’un an à la monarchie de lignée albanaise du roi Farouk (1918-1965)
décédé en Italie. Ce dernier, qui fut très populaire avant guerre,
maintint l’Égypte longtemps dans la neutralité pendant la Seconde Guerre
Mondiale, favorable, en effet, comme son peuple, à l’Allemagne et à
l’Italie, et qui, par ailleurs, fort dévot, se laissa, abuser par la
secte crypto-maçonnique des Frères Musulmans, machine de guerre
anglaise jusqu’à ce jour ! Il finit par la condamner mais n’eut point la
capacité de l’extirper.
Nasser qui était l’âme de ce Comité des Officiers Libres, fit destituer Néguib qui avait tenté, de concert avec le Roi, de le faire assassiner par les Frères Musulmans, dont cela est toujours le métier, et demeura 14 ans au pouvoir.
Le 26 octobre 1954, il échappa à une tentative d’assassinat par les Frères Musulmans qui s’étaient mêlés aux révolutionnaires. Et dans la vidéo ci-dessous qu’il faut bien suivre dans le détail, Nasser démonte le mécanisme de ce que, pour sacrifier au langage d’après-guerre, et tenir compte de l’influence communiste, et attirer la sympathie de « l’opinion publique internationale », il nomme « un Gouvernement fasciste » mais qui ne l’est pas, étant au service permanent des intrigues anglaises qui affectent parfois de le combattre mais l’alimentent, comme elles le font maintenant avec ce Daech instruit et préparé entre autres lieux d’entraînement, a-t-on dit, dans un camp de la couronne britannique d’ Irlande du Nord. Son analyse est utile à connaître, car elle prend le contre-pied de cette organisation qui met à feu et à sang la Syrie et veut s’étendre à l’Afrique et à l’Asie, comme il s’est vu naguère aux Philippines et en Birmanie, en entretenant le fanatisme, prétendant, à parler théologie avec René Descartes, « entrer dans le Conseil de Dieu et régir avec lui les affaires du monde », suivant les termes d’une lettre du 15 septembre 1645 à une princesse allemande, Elizabeth de Bohème, son élève !
Son successeur le colonel Anouar El Sadate tomba sous les coups de cette même organisation subversive en 1981, durant un défilé des troupes, et l’on peut voir distinctement le corps du Président égyptien mourant piétiné par l’Ambassadeur des U.S.A !
Nasser lui avait adressé cet éloge dans sa préface au livre Révolte Sur le Nil paru en français (Paris, chez Pierre Amyot, en 1957, 219pp.) p.8 :
« La figure d’Anouar El Sadat inspire sympathie et respect. Ses vertus militaires, courage et sang froid, loyauté et dévouement, force de caractère et désintéressement absolu, enfin son amour de l’équité, le destinaient à jouer un rôle de premier plan dans la préparation et le triomphe de la Révolution égyptienne du 23 juillet 1952. »
Contre ces fanatiques que le MI6 britannique agite comme les guignols du théâtre lyonnais entre les mains de batteurs de foire, Nasser eut aussi une réponse spirituelle et cinglante, dans cette même vidéo, sur son refus de céder à leurs instances d’imposer le voile par décision politique, mais aussi, plus généralement, sur la fausseté et l’hypocrisie de cette organisation terroriste maçonnique. Toutes ses paroles sur eux disent la vérité sur ce terrorisme manipulé qui infecte aujourd’hui le monde.
Nous disons, comme ancien maître de philosophie, à l’intention première de nos jeunes lecteurs nationalistes, par notre connaissance modeste, mais réaliste de l’Islamité depuis quarante ans, débutée après la mort de Nasser et la journée de deuil qui suivit, veille de notre prise de poste au Lycée Carnot de Tunis, parmi des élèves arabes généralement pieuses, dans des classes mixtes, non voilées, comme nos collègues féminines, et tout autant à l’Université où nous étions chargé de cours en troisième année de psychologie, en 1971, que le port du voile n’est pas, contrairement aux allégations des hypocrites Frères Musulmans et autres prêcheurs obscurantistes, à la vie quelquefois dissolue, l’esprit souvent vide et les poches toujours pleines, une obligation religieuse, mais une marque distinctive des femmes du Prophète, d’après l’Histoire Sainte contée dans ce Koran qui cite bien plus souvent le nom de Jésus que celui de Mahomet (qui est un titre élogieux et non pas un patronyme !), et ne saurait donc être un des cinq piliers de la foi comme :
Instructeur au Collège Militaire (1942), Médaille Militaire dans la Guerre de Palestine (1949).
Né le 15 janvier 1918 à Alexandrie ,fils d’un postier ayant suivi l’école islamique et l’école copte et obtenu ainsi une place par son certificat d’études, Gamal (prononciation égyptienne de djemel, « beau ») Abd el Nasser (le victorieux) Hussein, bientôt orphelin de mère deux ans après, décédé au Caire le 28 septembre 1970 , époux d’une femme de père iranien, Taha Kazem (1920-1992), fonda une Société ou Comité patriotique en 1939 et réorganisé en 1942, hospitalisé après deux blessures, dans « la Guerre de Palestine » achevée en février 1949.
Les armées arabes venues au secours de Palestiniens n’avaient qu’à peine entamé, à la frontière syrienne, la part juive du découpage onusien de la Palestine, et n’ont donc jamais, comme le répètent nos perroquets, menacé l’existence du nouvel État juif, dont le tyran Staline avait le premier proposé en 1947, aux Nations-Unies, par son ambassadeur André Gromyko, la formation. Mais, mis à part l’honnête Syrie et la Jordanie dont le roi Abdallah sera assassiné, la volonté des États de la coalition, jouets de l’Angleterre et des États-Unis, n’était pas de vaincre, mais de céder devant l’adversaire, en illusionnant leur opinion publique. Ce qu’ils continuent de faire.
Le capitaine Nasser ainsi décoré pour faits d’arme de la Médaille Militaire, se révolta contre cette trahison, en tirant les nécessaires conséquences politiques de cette défaite et de la faiblesse de l’État.
« On observait, écrit-il, un manque total de coordination entre les armées arabes, l’exercice du commandement, au plus haut niveau, était quasi inexistant et nos armées se révélaient impuissantes. Au plus fort du combat, les corps des ingénieurs de l’armée reçut l’ordre d’entreprendre la construction d’un chalet de plaisance pour le roi Farouk à Gaza. Il était clair que tout ce qui intéressait le Haut-Commandement était de s’emparer de la plus grande superficie de terrain, sans tenir compte de sa valeur stratégique ou de son aptitude à favoriser nos chances de gagner la bataille. J’ai été extrêmement indigné contre ces commandants de flottilles et ceux des bureaux qui ignoraient tout du champ de bataille et de ce qu’enduraient les combattants .La goutte qui fit déborder le vase arriva lorsque je fus chargé de conduire le 6e bataillon d’infanterie vers le village d’Iraq Suwaydan, objet des attaques israéliennes. Avant même de nous y mouvoir, tous les plans de déplacement avaient été divulgués par la presse égyptienne. Ensuite a eu lieu le siège de Falloujah dont j’ai vécu les combats et durant lequel les forces égyptiennes ont continué de résister, en dépit de la supériorité en nombre des troupes israéliennes, jusqu’à ce que l’armistice imposé par les Nations-Unies mit fin à la guerre, le 24 février 1949. »

Première guerre israélo-arabe de 1948-1949 au cours de laquelle eut lieu le premier exode Palestiniens (la « Nakba »)
Nasser qui était l’âme de ce Comité des Officiers Libres, fit destituer Néguib qui avait tenté, de concert avec le Roi, de le faire assassiner par les Frères Musulmans, dont cela est toujours le métier, et demeura 14 ans au pouvoir.
Le 26 octobre 1954, il échappa à une tentative d’assassinat par les Frères Musulmans qui s’étaient mêlés aux révolutionnaires. Et dans la vidéo ci-dessous qu’il faut bien suivre dans le détail, Nasser démonte le mécanisme de ce que, pour sacrifier au langage d’après-guerre, et tenir compte de l’influence communiste, et attirer la sympathie de « l’opinion publique internationale », il nomme « un Gouvernement fasciste » mais qui ne l’est pas, étant au service permanent des intrigues anglaises qui affectent parfois de le combattre mais l’alimentent, comme elles le font maintenant avec ce Daech instruit et préparé entre autres lieux d’entraînement, a-t-on dit, dans un camp de la couronne britannique d’ Irlande du Nord. Son analyse est utile à connaître, car elle prend le contre-pied de cette organisation qui met à feu et à sang la Syrie et veut s’étendre à l’Afrique et à l’Asie, comme il s’est vu naguère aux Philippines et en Birmanie, en entretenant le fanatisme, prétendant, à parler théologie avec René Descartes, « entrer dans le Conseil de Dieu et régir avec lui les affaires du monde », suivant les termes d’une lettre du 15 septembre 1645 à une princesse allemande, Elizabeth de Bohème, son élève !
Son successeur le colonel Anouar El Sadate tomba sous les coups de cette même organisation subversive en 1981, durant un défilé des troupes, et l’on peut voir distinctement le corps du Président égyptien mourant piétiné par l’Ambassadeur des U.S.A !
Nasser lui avait adressé cet éloge dans sa préface au livre Révolte Sur le Nil paru en français (Paris, chez Pierre Amyot, en 1957, 219pp.) p.8 :
« La figure d’Anouar El Sadat inspire sympathie et respect. Ses vertus militaires, courage et sang froid, loyauté et dévouement, force de caractère et désintéressement absolu, enfin son amour de l’équité, le destinaient à jouer un rôle de premier plan dans la préparation et le triomphe de la Révolution égyptienne du 23 juillet 1952. »
Contre ces fanatiques que le MI6 britannique agite comme les guignols du théâtre lyonnais entre les mains de batteurs de foire, Nasser eut aussi une réponse spirituelle et cinglante, dans cette même vidéo, sur son refus de céder à leurs instances d’imposer le voile par décision politique, mais aussi, plus généralement, sur la fausseté et l’hypocrisie de cette organisation terroriste maçonnique. Toutes ses paroles sur eux disent la vérité sur ce terrorisme manipulé qui infecte aujourd’hui le monde.
Nous disons, comme ancien maître de philosophie, à l’intention première de nos jeunes lecteurs nationalistes, par notre connaissance modeste, mais réaliste de l’Islamité depuis quarante ans, débutée après la mort de Nasser et la journée de deuil qui suivit, veille de notre prise de poste au Lycée Carnot de Tunis, parmi des élèves arabes généralement pieuses, dans des classes mixtes, non voilées, comme nos collègues féminines, et tout autant à l’Université où nous étions chargé de cours en troisième année de psychologie, en 1971, que le port du voile n’est pas, contrairement aux allégations des hypocrites Frères Musulmans et autres prêcheurs obscurantistes, à la vie quelquefois dissolue, l’esprit souvent vide et les poches toujours pleines, une obligation religieuse, mais une marque distinctive des femmes du Prophète, d’après l’Histoire Sainte contée dans ce Koran qui cite bien plus souvent le nom de Jésus que celui de Mahomet (qui est un titre élogieux et non pas un patronyme !), et ne saurait donc être un des cinq piliers de la foi comme :
- La confession de l’unicité de Dieu prêchée par Mahomet,
- La prière
- La Zakat ou charité
- Le jeûne
- Le pèlerinage selon ses moyens
« Il vient, le Fanatisme est son horrible nom
Enfant dénaturé de la religion (quatre syllabes!)
Armé pour la défendre, il cherche à la détruire,
Et reçu dans son sein, l’embrasse et la déchire.
(Poème épique, La Henriade, chapitre V)