
Lorsque nous parlons de « souvenir », nous
 parlons aujourd’hui principalement du souvenir de la Shoah, de la 
déportation des juifs, du courage des « justes » et blablabla…En ces 
temps ou l’on nous bassine de l’intérêt primordial du devoir de mémoire,
 nous, nationalistes européens, avons fait le notre.
En effet nous ne sommes pas partis chialer
 les morts d’un peuple qui nous hait (voir photo ci-dessus…), mais 
commémorer le GÉNOCIDE perpétré par les Alliés contre la population 
Allemande.
« Génocide », nous avons osé prononcer LE 
mot ! Étant généralement employé exclusivement à des fins de propagande 
antiraciste et attribué seulement aux « victimes » de l’holocauste, ce 
terme, nous nous l’approprions. Nous nous l’approprions pour dénoncer le
 crime le plus atroce commis durant la seconde guerre civile européenne :
Le bombardement massif et intensif de la 
ville de Dresden du 13 au 15 février 1945, « Le pire massacre de l’homme
 » ,comme dirait l’historien Richard Odorfer, fit entre 250 000 et 400 
000 décès en seulement deux jours !
Dresden était une ville-hôpital de 650.000
 âmes, auxquelles s’ajoutait 750 000 réfugiés. Aucune installation 
militaire n’existait et aucun soldat n’était présent. L’opération de 
bombardement n’était donc pas d’ordre militaire, mais bel et bien une 
volonté de la part des anglo-américains de raser la ville et d’anéantir 
sa population.