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mardi 31 décembre 2013

Et vous pleurez devant La Rafle ?!



Et vous pleurez devant La Rafle ?!
Lorsque nous parlons de « souvenir », nous parlons aujourd’hui principalement du souvenir de la Shoah, de la déportation des juifs, du courage des « justes » et blablabla…En ces temps ou l’on nous bassine de l’intérêt primordial du devoir de mémoire, nous, nationalistes européens, avons fait le notre.

En effet nous ne sommes pas partis chialer les morts d’un peuple qui nous hait (voir photo ci-dessus…), mais commémorer le GÉNOCIDE perpétré par les Alliés contre la population Allemande.
« Génocide », nous avons osé prononcer LE mot ! Étant généralement employé exclusivement à des fins de propagande antiraciste et attribué seulement aux « victimes » de l’holocauste, ce terme, nous nous l’approprions. Nous nous l’approprions pour dénoncer le crime le plus atroce commis durant la seconde guerre civile européenne :

Le bombardement massif et intensif de la ville de Dresden du 13 au 15 février 1945, « Le pire massacre de l’homme » ,comme dirait l’historien Richard Odorfer, fit entre 250 000 et 400 000 décès en seulement deux jours !

Dresden était une ville-hôpital de 650.000 âmes, auxquelles s’ajoutait 750 000 réfugiés. Aucune installation militaire n’existait et aucun soldat n’était présent. L’opération de bombardement n’était donc pas d’ordre militaire, mais bel et bien une volonté de la part des anglo-américains de raser la ville et d’anéantir sa population.