Philippe Delbauvre
La notion de « Système » - j’ai déjà évoqué le fait –
reste méconnue. Ce n’est en aucun cas le gouvernement en place voire
même les institutions. Si ces dernières ont été modifiées depuis 1958,
la Politique menée pourrait très bien être la même dans un cadre
juridique différent. C’est ainsi que fustiger la droite au simple motif
que l’on est de gauche ou la gauche parce que l’on est de droite,
représente deux erreurs majeures.
1/ Si de par le passé, le référentiel droite/gauche était pertinent, force est de constater que ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les Français, pourtant dans leur majorité peu férus de politique, probablement parce que écoeurés par la politique toujours menée, constatent bien que si les alternances droite/gauche se succèdent, en aucun cas la politique menée par les uns et par les autres ne diffère. Naguère, comme par exemple en 1981, les quatre principaux candidats (Pc, Ps, Udf, Rpr) proposaient au corps électoral quatre modèles différents de société. Aujourd’hui, choisir entre Ump, Ps, ou centre – le parti communiste n’existe plus qu’à l’état résiduel – c’est simplement accepter la structure générale – justement ce que l’on appelle « Système » - tout en émettant en son sein une nuance spécifique. Il n’y a donc plus de raisons aujourd’hui, de s’exprimer de façon véhémente dans le cadre d’un débat entre un Ump et un Ps et à fortiori d’en venir aux mains. Force est pourtant de constater que certains ne l’ont pas compris, continuant de vouer aux gémonies ou la droite, ou la gauche, comme si ces deux notions étaient comme de par le passé toujours opérantes, alors même qu’elles ne sont plus valides.
2/ Maintenir une distinction majeure entre droite et gauche, c’est aussi favoriser la structure en place qui justement cherche à maintenir aux yeux des Français, l’idée que le Système est démocratique alors qu’il ne l’est plus. Si en effet, les politiques menées par la droite, le centre et la gauche sont les mêmes, c’est qu’alors le choix effectué entre les trois tendances est factice, d’où l’absence de démocratie, cette dernière supposant pluralité. Autre angle d’analyse, la télévision est elle aussi sujette au même mode de fonctionnement : s’il y a pluralité des chaines - toute comme il y a droite, centre et gauche – il nous faut bien constater que l’information délivrée est la même. Le fait est flagrant lorsque de façon comparative, on s’informe sur certains sites du web où le son de cloche est radicalement différent. Quant aux structures politiques alternatives, et je songe ici tout particulièrement au Front National, il suffit de constater le traitement qui lui est réservé, notamment par les journalistes, on ne peut que constater qu’elles font l’objet d’un traitement discriminatoires. Autrement exprimé, le corps électoral a le choix entre droite, centre et gauche – rien d’autre sous peine d’être fustigé – ce qui ne signifie absolument pas pluralité puisque ces trois composantes sont interchangeables. Dans les faits, il existe plus de différences et d’ailleurs d’opposition entre deux groupements d’extrême droite ou d’extrême gauche, pourtant réunis sous la même dénomination, qu’entre l’aile droite de l’ump et l’aile gauche du ps. L’erreur est de prendre au sérieux l’opposition – quelle qu’elle soit – qui ne s’oppose que pour la forme. A titre d’exemple, le mariage homosexuel dénoncé par les dirigeants de la droite, était accepté par ces mêmes dirigeants, quelques années plus tôt. Ce n’est pas qu’ils aient changé d’avis entre temps, mais qu’ils se prononcent en fonction de leur intérêt partisan et politicien du moment : à long terme, si la gauche n’avait pas voté la loi, la droite l’eut fait par la suite…
On ne peut dans le cadre d’un simple article, définir le « Système ». Celui-ci pourrait faire l’objet de très nombreux ouvrages selon l’angle choisi par l’essayiste. Pour autant, il possède plusieurs caractéristiques, peu difficiles à percevoir.
1/ Si les plus jeunes n’ont pas connu la France d’il y a plusieurs décennies, les plus anciens savent, parce qu’ils ont perçu l’involution, l’omniprésence du fait économique. Cela à un point tel que les impératifs économiques sont au préalable posés, postulés à tort comme incontournables, la Politique ne venant qu’après, et toujours conformes au diktat économique.
2/ Lorsque les « Système » fait preuve de tolérance, c’est toujours lorsque la voix discordante est futile aux yeux de la Structure. C’est ainsi qu’en matière de liberté individuelle, beaucoup a été fait en l’espace d’une quarantaine d’années. Ce surcroît de liberté vise d’une part à donner l’impression d’une certaine bienveillance, d’autre part à dynamiter la cohérence du groupe en favorisant l’autonomie des parties. Réciproquement, mais aussi à contrario, le Système se fait autrement plus répressif que de par le passé, y compris récent. La dissolution de groupes politiques en est un exemple. Tout comme l’est l’abusive répression exercée dans le cadre de manifestations pourtant pacifiques. Très récemment, la volonté d’interdire les spectacles de Dieudonné en est aussi la marque. Tout comme la volonté de faire disparaitre l’anonymat de la sphère internétique.
3/ Le système n’est nullement national ou continental. Il a des ramifications presque partout. C’est ainsi que ses dirigeants ne sont nullement des nationaux quand bien même ont-ils été élus localement. Qu’on le nomme Occident est là encore une arnaque, un abus de langage. Le terme nous fait songer au passé que l’on connait alors même que le présent et radicalement différent : l’occident aujourd’hui n’est que la caricature de celui d’hier.
Fatalement donc, l’opposant au Système se doit d’agir selon ces trois axes qui se doivent d’être contrecarrés. Ils sont nombreux ceux qui se veulent des opposants, mais qui dans le même temps, quoique sincères, se prennent les pieds dans le tapis.
1/ Ainsi par exemple, ceux qui prônent une plus grande libéralisation de l’économie alors que justement l’un des objectifs majeurs du Système dont Bruxelles est le chef d’orchestre. Progressivement l’Etat central se désinvestit comme il l’a fait pour les industries – que de dénationalisations/privatisations depuis le début des années 80 – comme pour les services publics (poste, telecom, électricité, gaz, …). L’opposant réel au Système est donc celui qui tente de freiner cette dynamique et non de la favoriser, comme le font tant qui, de bonne fois, croient bien faire.
2/ L’opposant réel au Système est très circonspect quant à la notion de liberté. Il cherche à remonter aux origines quant à l’octroi d’une nouvelle liberté ou à son recul. A qui profite réellement cette nouvelle liberté ou son interdiction ? Ainsi, l’antifa qui se veut opposant réel et qui se réjouit de la dissolution d’un mouvement nationaliste, se trompe : il sera tôt ou tard victime d’une nouvelle purge. Très fréquemment les nouvelles libertés ne sont accordées qu’à un groupe voire à titre individuel. On doit alors agir avec circonspection et bien prendre en compte que ces apports aux groupes minoritaires favorisent l’affaiblissement de l’ensemble.
3/ La France, compte tenu de ses dirigeants successifs, ne doit en aucun cas entrainer chez l’opposant réel, un réflexe d’ordre affectif. Elle n’est – au même titre que pour l’occident – que l’ombre d’elle-même. En ce sens, elle se doit d’être combattue puisque membre de la grande internationale systémique. Je sais les difficultés pour les patriotes qui ont la patrie charnelle chevillée au corps : il n’empêche…
Le cas particulier mais aussi emblématique de Riposte laïque
La laïcité, on sait l’analyse de René Rémond, est une des caractéristiques originelles de la gauche. A moins d’être contre-révolutionnaire, nul vice rédhibitoire. Encore faut-il avoir bien conscience des grands enjeux de la problématique. Alors que de par le passé, les politiques s’adressaient à la totalité du corps électoral, ils font aujourd’hui leur marché sociologique, additionnant les différents segments de façon à franchir le seuil fatidique de 50% des suffrages. C’est d’ailleurs une des techniques de prédilection du Système que de faire s’opposer différents groupes qui ainsi se neutralisent, permettant donc au pouvoir en place de ne pas être inquiété.
L’ennemi politique est donc le Système et pas autre chose. Beaucoup focalisent sur le fait arabo-musulman en France. On peut comprendre. Pour autant, le Système n’est nullement de manière essentielle arabo-musulman. Plus grave, en focalisant sur le sujet, on rentre justement dans le piège tendu par le Système qui se réjouit que deux communautés s’affrontant, se neutralisent. Autre angle, ce fait arabo-musulman est une des plaies contemporaines hors instrumentalisation. S’agit-il de s’opposer au Système de façon frontale ou de remédier à l’un de ses maux ?
Dès lors où Riposte laïque se réjouit par l’intermédiaire d’un article de Pierre Cassen (1) d’avoir été invité au dernier salon du B’nai B’rith, il y a motif aux plus vives inquiétudes. Faut-il rappeler l’opposition radicale, pas récente, de cette structure à Jean-Marie le Pen ? Faut-il rappeler les liens privilégiés de cette même structure à des associations ou des événements connus qui furent toujours nos adversaires :
(Printemps des Droits de l’Homme et de la Fraternité, Fête des Lumières contre l’Obscurantisme, Collectif Agir Ensemble (avec Ni putes ni soumises, SOS Racisme, Berbères de France, UEJF, Conseil représentatif des associations noires de France, Amitiés judéo-noires, Amitités Judéo-musulmanes, Amitiés Judéo-chrétiennes…), Universités d’été, Salon des écrivains , Journée Européenne de la Culture Juive (Portes ouvertes sur le Patrimoine juif), Remise du Prix des Droits de l’Homme. Promotion et production de films et d'émissions de télévision favorables de façon avérée ou non aux intérêts d'Israël.
Faut-il aussi rappeler qu’Israël est le bras armé du Système au proche et moyen-orient ?
Que le fait arabo-musulman constitue un problème indépendamment du Système, je le reconnais et plus grave, je pense qu’il va aller en amplifiant. Mais pour autant, s’en aller se prosterner – prendre connaissance du ton de l’article (1) – cela devient de l’hystérie obscurantiste. C’est aussi choisir d’écoper plutôt que de réparer l’avarie. Ce fait arabo-musulman n’existe en France que parce qu’il a été voulu et planifié par le Système, structure démo-libérale.
1/ Si de par le passé, le référentiel droite/gauche était pertinent, force est de constater que ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les Français, pourtant dans leur majorité peu férus de politique, probablement parce que écoeurés par la politique toujours menée, constatent bien que si les alternances droite/gauche se succèdent, en aucun cas la politique menée par les uns et par les autres ne diffère. Naguère, comme par exemple en 1981, les quatre principaux candidats (Pc, Ps, Udf, Rpr) proposaient au corps électoral quatre modèles différents de société. Aujourd’hui, choisir entre Ump, Ps, ou centre – le parti communiste n’existe plus qu’à l’état résiduel – c’est simplement accepter la structure générale – justement ce que l’on appelle « Système » - tout en émettant en son sein une nuance spécifique. Il n’y a donc plus de raisons aujourd’hui, de s’exprimer de façon véhémente dans le cadre d’un débat entre un Ump et un Ps et à fortiori d’en venir aux mains. Force est pourtant de constater que certains ne l’ont pas compris, continuant de vouer aux gémonies ou la droite, ou la gauche, comme si ces deux notions étaient comme de par le passé toujours opérantes, alors même qu’elles ne sont plus valides.
2/ Maintenir une distinction majeure entre droite et gauche, c’est aussi favoriser la structure en place qui justement cherche à maintenir aux yeux des Français, l’idée que le Système est démocratique alors qu’il ne l’est plus. Si en effet, les politiques menées par la droite, le centre et la gauche sont les mêmes, c’est qu’alors le choix effectué entre les trois tendances est factice, d’où l’absence de démocratie, cette dernière supposant pluralité. Autre angle d’analyse, la télévision est elle aussi sujette au même mode de fonctionnement : s’il y a pluralité des chaines - toute comme il y a droite, centre et gauche – il nous faut bien constater que l’information délivrée est la même. Le fait est flagrant lorsque de façon comparative, on s’informe sur certains sites du web où le son de cloche est radicalement différent. Quant aux structures politiques alternatives, et je songe ici tout particulièrement au Front National, il suffit de constater le traitement qui lui est réservé, notamment par les journalistes, on ne peut que constater qu’elles font l’objet d’un traitement discriminatoires. Autrement exprimé, le corps électoral a le choix entre droite, centre et gauche – rien d’autre sous peine d’être fustigé – ce qui ne signifie absolument pas pluralité puisque ces trois composantes sont interchangeables. Dans les faits, il existe plus de différences et d’ailleurs d’opposition entre deux groupements d’extrême droite ou d’extrême gauche, pourtant réunis sous la même dénomination, qu’entre l’aile droite de l’ump et l’aile gauche du ps. L’erreur est de prendre au sérieux l’opposition – quelle qu’elle soit – qui ne s’oppose que pour la forme. A titre d’exemple, le mariage homosexuel dénoncé par les dirigeants de la droite, était accepté par ces mêmes dirigeants, quelques années plus tôt. Ce n’est pas qu’ils aient changé d’avis entre temps, mais qu’ils se prononcent en fonction de leur intérêt partisan et politicien du moment : à long terme, si la gauche n’avait pas voté la loi, la droite l’eut fait par la suite…
On ne peut dans le cadre d’un simple article, définir le « Système ». Celui-ci pourrait faire l’objet de très nombreux ouvrages selon l’angle choisi par l’essayiste. Pour autant, il possède plusieurs caractéristiques, peu difficiles à percevoir.
1/ Si les plus jeunes n’ont pas connu la France d’il y a plusieurs décennies, les plus anciens savent, parce qu’ils ont perçu l’involution, l’omniprésence du fait économique. Cela à un point tel que les impératifs économiques sont au préalable posés, postulés à tort comme incontournables, la Politique ne venant qu’après, et toujours conformes au diktat économique.
2/ Lorsque les « Système » fait preuve de tolérance, c’est toujours lorsque la voix discordante est futile aux yeux de la Structure. C’est ainsi qu’en matière de liberté individuelle, beaucoup a été fait en l’espace d’une quarantaine d’années. Ce surcroît de liberté vise d’une part à donner l’impression d’une certaine bienveillance, d’autre part à dynamiter la cohérence du groupe en favorisant l’autonomie des parties. Réciproquement, mais aussi à contrario, le Système se fait autrement plus répressif que de par le passé, y compris récent. La dissolution de groupes politiques en est un exemple. Tout comme l’est l’abusive répression exercée dans le cadre de manifestations pourtant pacifiques. Très récemment, la volonté d’interdire les spectacles de Dieudonné en est aussi la marque. Tout comme la volonté de faire disparaitre l’anonymat de la sphère internétique.
3/ Le système n’est nullement national ou continental. Il a des ramifications presque partout. C’est ainsi que ses dirigeants ne sont nullement des nationaux quand bien même ont-ils été élus localement. Qu’on le nomme Occident est là encore une arnaque, un abus de langage. Le terme nous fait songer au passé que l’on connait alors même que le présent et radicalement différent : l’occident aujourd’hui n’est que la caricature de celui d’hier.
Fatalement donc, l’opposant au Système se doit d’agir selon ces trois axes qui se doivent d’être contrecarrés. Ils sont nombreux ceux qui se veulent des opposants, mais qui dans le même temps, quoique sincères, se prennent les pieds dans le tapis.
1/ Ainsi par exemple, ceux qui prônent une plus grande libéralisation de l’économie alors que justement l’un des objectifs majeurs du Système dont Bruxelles est le chef d’orchestre. Progressivement l’Etat central se désinvestit comme il l’a fait pour les industries – que de dénationalisations/privatisations depuis le début des années 80 – comme pour les services publics (poste, telecom, électricité, gaz, …). L’opposant réel au Système est donc celui qui tente de freiner cette dynamique et non de la favoriser, comme le font tant qui, de bonne fois, croient bien faire.
2/ L’opposant réel au Système est très circonspect quant à la notion de liberté. Il cherche à remonter aux origines quant à l’octroi d’une nouvelle liberté ou à son recul. A qui profite réellement cette nouvelle liberté ou son interdiction ? Ainsi, l’antifa qui se veut opposant réel et qui se réjouit de la dissolution d’un mouvement nationaliste, se trompe : il sera tôt ou tard victime d’une nouvelle purge. Très fréquemment les nouvelles libertés ne sont accordées qu’à un groupe voire à titre individuel. On doit alors agir avec circonspection et bien prendre en compte que ces apports aux groupes minoritaires favorisent l’affaiblissement de l’ensemble.
3/ La France, compte tenu de ses dirigeants successifs, ne doit en aucun cas entrainer chez l’opposant réel, un réflexe d’ordre affectif. Elle n’est – au même titre que pour l’occident – que l’ombre d’elle-même. En ce sens, elle se doit d’être combattue puisque membre de la grande internationale systémique. Je sais les difficultés pour les patriotes qui ont la patrie charnelle chevillée au corps : il n’empêche…
Le cas particulier mais aussi emblématique de Riposte laïque
La laïcité, on sait l’analyse de René Rémond, est une des caractéristiques originelles de la gauche. A moins d’être contre-révolutionnaire, nul vice rédhibitoire. Encore faut-il avoir bien conscience des grands enjeux de la problématique. Alors que de par le passé, les politiques s’adressaient à la totalité du corps électoral, ils font aujourd’hui leur marché sociologique, additionnant les différents segments de façon à franchir le seuil fatidique de 50% des suffrages. C’est d’ailleurs une des techniques de prédilection du Système que de faire s’opposer différents groupes qui ainsi se neutralisent, permettant donc au pouvoir en place de ne pas être inquiété.
L’ennemi politique est donc le Système et pas autre chose. Beaucoup focalisent sur le fait arabo-musulman en France. On peut comprendre. Pour autant, le Système n’est nullement de manière essentielle arabo-musulman. Plus grave, en focalisant sur le sujet, on rentre justement dans le piège tendu par le Système qui se réjouit que deux communautés s’affrontant, se neutralisent. Autre angle, ce fait arabo-musulman est une des plaies contemporaines hors instrumentalisation. S’agit-il de s’opposer au Système de façon frontale ou de remédier à l’un de ses maux ?
Dès lors où Riposte laïque se réjouit par l’intermédiaire d’un article de Pierre Cassen (1) d’avoir été invité au dernier salon du B’nai B’rith, il y a motif aux plus vives inquiétudes. Faut-il rappeler l’opposition radicale, pas récente, de cette structure à Jean-Marie le Pen ? Faut-il rappeler les liens privilégiés de cette même structure à des associations ou des événements connus qui furent toujours nos adversaires :
(Printemps des Droits de l’Homme et de la Fraternité, Fête des Lumières contre l’Obscurantisme, Collectif Agir Ensemble (avec Ni putes ni soumises, SOS Racisme, Berbères de France, UEJF, Conseil représentatif des associations noires de France, Amitiés judéo-noires, Amitités Judéo-musulmanes, Amitiés Judéo-chrétiennes…), Universités d’été, Salon des écrivains , Journée Européenne de la Culture Juive (Portes ouvertes sur le Patrimoine juif), Remise du Prix des Droits de l’Homme. Promotion et production de films et d'émissions de télévision favorables de façon avérée ou non aux intérêts d'Israël.
Faut-il aussi rappeler qu’Israël est le bras armé du Système au proche et moyen-orient ?
Que le fait arabo-musulman constitue un problème indépendamment du Système, je le reconnais et plus grave, je pense qu’il va aller en amplifiant. Mais pour autant, s’en aller se prosterner – prendre connaissance du ton de l’article (1) – cela devient de l’hystérie obscurantiste. C’est aussi choisir d’écoper plutôt que de réparer l’avarie. Ce fait arabo-musulman n’existe en France que parce qu’il a été voulu et planifié par le Système, structure démo-libérale.
Notes: |