Ils osent, sans complexe.
Il faut admirer la campagne « vacances propres » de 2017, affiche à nouveau utilisée dans la campagne 2018 « gestes propres » et à nouveau collée partout. Celle-ci a été photographiée hier à Rochefort…
http://www.gestespropres.com/wp-content/uploads/2018/03/CP_GestesPropres_grandes-vacances-val.pdf
Cibler le Français d’origine, celui qui est le plus souvent, parce qu’éduqué, parce qu’attaché à son territoire, à son pays, prend la peine de ramasser ses déchets et, parfois, ceux des autres.
Qu’il y ait des salopiauds et autres salopards parmi les Français d’origine, c’est évident… Mais prendre comme exemple le vieux prénom Marie et non un prénom plus multiculturel, plus « moderne », tiré des séries à la mords-moi-le-noeud de TF1, par exemple, ce n’est pas neutre du tout.
Et ce n’est pas un hasard :
Une Léa Mamont, patronyme lui aussi bien franco-français, a été aussi désignée à la vindicte populaire
Et même un Paul Héfard :
L’équivalent
de six Tour Eiffel ! C’est ce que Vacances Propres a recensé comme
déchets sauvages en France en 2016. Plus précisément, ce sont environ
63.000 tonnes de détritus qui n’ont pas trouvé leur bonne destination
finale. Contre 81.000 tonnes en 2015. Les Français n’ont toujours pas
acquis les bons gestes. Et bim, une canette passée par la fenêtre sur
l’autoroute ! Et bam, un emballage de fast-food abandonné sur la
chaussée ! Voilà là où le bât blesse certainement le plus.
Il est urgent de réagir car « 43.000 tonnes de ces déchets ont été répertoriés sur les routes de France »
confie Jean-François Molle, président de Vacances Propres. Mais le
problème n’est pas seulement là. Ce sont aussi les 20.100 tonnes de
déchets trouvés dans les cours d’eau et jonchant les plages qui
ennuient. Et les 140 tonnes retrouvées en montagne. « Il faut néanmoins reconnaître qu’il y a eu une amélioration des comportements sur les plages »
atteste Jean-François Molle. De quoi lancer la nouvelle campagne de
sensibilisation, nommée Gestes Propres, sur une bonne note.
Vacances Propres sort l’artillerie lourde
L’année
dernière, la campagne de sensibilisation a été un réel succès. Au total,
les 16.000 affiches diffusées auraient été vues un milliard de fois
dans toute la France. Le renfort de l’Association des Maires de France
(AMF) et des 1.100 collectivités locales partenaires a largement
contribué à l’atteinte des objectifs. Une mission que l’AMF prend
particulièrement à cœur. Elle déplore ainsi le manque de civisme probant
de certains de nos concitoyens.
« Une
majorité de la population se fout royalement de ce qui peut se passer,
cette rupture environnementale devient un véritable fléau » alerte
André Flajolet, vice-président de l’AMF et maire de Saint-Venant (62).
Ce dernier est également effaré par ce que les déchets sauvages coûtent
aux communes. « Chaque année, la ville de Cannes dépense 427.000€
pour les déjections canines, et le département de la Seine-et-Marne
662.000€ pour assainir les bords de ses routes » alerte M. Flajolet. Et il résume le problème ainsi : « cette nouvelle économie de la déperdition vient impacter la réelle économie ».
« Vacances propres » a semble-t-il reçu l’aval du gouvernement, et Vacances propres c’est la société Adocom… au chiffre d’affaires de plus de deux millions d’euros
ADOCOM RP – AGENCE DOGNIN COMMUNICATION, société par actions simplifiée est active depuis 30 ans.
Implantée à PARIS 11 (75011), elle est
spécialisée dans le secteur d’activité du conseil en relations publiques
et communication. Son effectif est compris entre 6 et 9 salariés.
Sur l’année 2016 elle réalise un chiffre d’affaires de 2 503 600,00 €.
Le total du bilan a augmenté de 8,56 % entre 2015 et 2016.
Societe.com recense 1 établissement actif et le dernier événement notable de cette entreprise date du 08-01-2015.
Arnault NARCY, est président de l’entreprise ADOCOM RP – AGENCE DOGNIN COMMUNICATION.
Arnault
Narcy ferait-il partie du tout-paris où évolue un Macron ? En tout cas
il fait partie de ces dirigeants de grosses entreprises aux ordres, qui
font leur beurre en obtenant des contrats juteux… à condition de servir
idéologiquement leurs payeurs.
Si vous voulez les interpeller sur leurs drôles de choix, leurs drôles de sous-entendus :