Bernard Plouvier
Pour
tout individu rationnel, le racisme est une stupidité statistique,
alors que la répartition des groupes de populations par continent
d’origine est une réalité, un fait d’observation.
Il
n’existe pas d’ethnie ou de groupe d’ethnies supérieurs… tant pis pour
certain « peuple élu » qui se croit ontologiquement supérieur au reste
de l’humanité : nul n’est issu de la cuisse ou de la tête d’une
divinité, en laquelle nul n’est obligé de croire, d’autant qu’en matière
de « seul vrai dieu », il existe énormément de concurrence. De la même
façon, il n’existe pas d’ethnie inférieure.
Un
seul surdoué infirme la notion d’ethnie inférieure ; une poignée de
crétins s’inscrit en faux contre la notion de peuple supérieur… et dans
tous les continents, il y eut au XXesiècle tellement de marxistes de toutes les chapelles que l’on peut abandonner la notion grotesque d’ethnie supérieure.
Pourtant,
le racisme existe. Bien des gens en sont quotidiennement les victimes.
Or, nos brillantissimes élus du peuple viennent de biffer le mot
« race » de leur vocabulaire, déjà assez pauvre, pour raison de « langue
de bois ». Que nos démagogues à la Chambre ou au Sénat ne soient pas,
en majorité, des surdoués, on le savait déjà. On ignorait qu’ils étaient
tous délirants et inconséquents.
Rejeter
l’évidence du fait racial (un crâne d’Africain se différencie
considérablement d’un crâne de sujet européen ou d’asiatique) est
délirer. Si l’on supprime le mot « race », il est logique de supprimer
l’accusation de « racisme ».
En outre, la motion de retrait du mot « race » de la Constitution française (celle de la VeRipoublique)
a été votée « à l’unanimité »… des présents, soit environ 150 élus
surmenés. On ne savait pas que, pour envisager une modification de la
Loi fondamentale d’un État, il fallait si peu d’élus. Un populiste, soit
un lépreux selon la définition de Grand Président Macron, estimerait
qu’il faut prendre l’avis du seul souverain légitime de l’État :
l’ensemble des citoyens-électeurs, en un mot la Nation.
Génial
Président-Dictateur Général sait ce qu’il fait : il organise à la
sauvette, entre Tour de France et coupe du monde & en période
estivale, un escamotage de la réalité pour complaire à ses sponsors qui
veulent métisser l’Europe occidentale et la faire envahir par des
étrangers avides et brutaux, qui ne demandent qu’à obéir (au moins pour
l’instant) à ceux qui leur proposent de mieux vivre en Europe que chez
eux, sans trop se tuer au travail.
Les
avantages sont évidents pour Grand Président Immigrationniste. Qu’un
policier noir tabasse un détenu blanc est d’autant moins du « racisme »
que la notion de « race » disparaît de la nouvelle langue
franco-macronienne. Qu’une excitée mahométane ait transformé le
néologisme « souchiens » - censé désigner les Français de souche
européenne – en « sous-chiens » n’est plus du racisme puisque le mot
« race » disparaît. Idem, les termes de « cul blanc », de « face de
craie » etc. ne sont pas racistes… et pour deux raisons aussi
excellentes l’une que l’autre : il n’y a plus de « race » dans le
dictionnaire franco-macronien et seul le Blanc est « raciste »
(prononcer wouaaaciste, pour respecter le rhotacisme de certaines
ethnies exotiques).
Nier
l’existence des faits, c’est-à-dire la réalité des races au sein de
l’espèce Homo sapiens sapiens, est la définition même du mot « délire »
et ce mot-là, non seulement il existe bien dans le dictionnaire, mais on
peut affirmer qu’il est d’un usage ultra-courant en France macronienne.