À
travers les points de vue de plusieurs personnages issus de deux camps
différents, les Bleus et les Chouans, ce film inédit nous plonge dans
l’histoire des guerres de Vendée, entre 1793 et 1796. Six comédiens, en
costume d’époque, donnent vie à ces différents personnages.
Le film est émaillé d’extraits de fictions, de gravures d’époque et de reproduction de vitraux.
Ce film est tout le contraire d'une
oeuvre de fiction car tout y est rigoureusrment exact et Jean-Louis
Cassarino, est presque traumatisé par son rôle de conventionnel...
Selon Patrick Buisson, la guerre de
Vendée est terminée. La guerre de tranchée pour l'occulter ou la faire
reconnaître se termine par la victoire des vaincus. L'exécution du plan
d'extermination intervient sans aucune nécessité de défense nationale.
Plus personne ne conteste désormais que ce crime de masse fut
idéologique et génocidaire. L'existence du génocide vendéen n'est
juridiquement plus contestable. Le débat s'est déplacé du terrain
historique au terrain juridique et les crimes commis en Vendée répondent
en tout point aux critères définis pour qualifier un génocide. Camille
Desmoulins qualifiait les Vendéens d'animaux à face humaine. Ce n'est
pas balance ton porc mais égorge ton porc ! La lutte de la Convention
contre la Vendée fut une guerre de religion. Celle de la déesse raison
contre "l'obscurantisme"...
Ce soulèvement populaire, ce Non Possumus d'un peuple de géants est le leg de la Vendée martyr.
Jeudi 27 juin, alors que les bobos
parisiens se préparent à subir l'immonde GayPride à grand renfort de
propagande jusque sur le Palais Bourbon, plus d'un millier de personnes
se pressaient au Grand Rex, accueillis par le choeur Montjoie en voix,
pour assister à l'avant première.
Diffusion sur la chaine Histoire à partir du 4 juillet.
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