Le gouvernement français – c’est à dire
la représentation nationale temporaire des intérêts et stratégies de la
finance internationale – est à l’agonie, du moins dans son actuelle
version « libérale gauchiste » cornaquée par l’ectoplasme Hollande.
Celle-ci, en effet, parvient de moins à moins efficacement à masquer son
inutilité politique absolue et son rôle de simple bureau
d’enregistrement des consignes du FMI et des holdings financiers. D’où
la multiplication des opérations d’enfumage et des psychodrames «
sociétaux » tentant désespérément de détourner l’attention des derniers
citoyens éveillés de la réalité des problématiques de fond et des enjeux
fondamentaux. Du « mariage pour tous » à la « quenelle Dieudonnesque »
en passant par « Léonarda », le grand guignol Elyséo-matignonesque a
véritablement fait feu de tous bois sans craindre ni le ridicule ni le
pathétique. La stratégie « Marions les fiottes pendant qu’on encule les
travailleurs » a notamment assez bien fonctionné puisque, pendant que la
France conservatrice se déversait dans les rues pour empêcher quelques
centaines d’invertis de se ridiculiser devant monsieur le Maire, on
consacrait la disparition du CDI, le droit des patrons à baisser les
salaires, le licenciement facilité et la mobilité forcée.
Cependant, malgré quelques succès ponctuels, ces politiques de diversion semblent arriver aujourd’hui à bout de souffle, ce qui explique l’actuel désarroi du gouvernement obligé d’essayer, de toutes ses forces anémiées, de transformer un histrion à demi africain en réincarnation du Grand Satan nazi.
Le Roi est nu et cela commence à drôlement se voir.
Pour espérer se sauver en attendant que leurs maîtres aient préparé une jolie « alternance » libérale-droitarde, les fantoches dits « socialistes », n’ont désormais plus beaucoup de possibilités hors celle de recourir au bon vieux filon du « complot d’extrême droite ». « Certes nous sommes nuls, incompétents, surpayés et corrompus, veules, inaptes à vous défendre contre la violence, qu’elle soit économique ou de rue, incapables de vous offrir des perspectives et un avenir à vos enfants… mais nous pouvons encore vous sauver de la menace fasciste ! »Et les égouts du pouvoir commencent donc à exhaler de très sales et émétiques remugles de machination et de manipulation… Après le coup manqué de « l’affaire Méric » et la tambouille mal engagée du « Dieudogate » (la France « black, blanc, beur » qui entoure le comédien ne peut pas être véritablement « fasciste » ni dénoncée comme telle…), on sent nos apprentis sorciers des divers « services » forts tentés d’en appeler aux auspices de « Carpentras », cet exemple archétypal d’un coup fourré magistralement orchestré et d’une diabolisation parfaitement réussie.
Bien sûr, aujourd’hui, au vu de l’état de décrédibilisation du (faux)pouvoir Hollandien, il convient que le coup soit de grande ampleur ! Un « complot » liant certains éléments de l’armée et des « groupes d’extrême droite» remplirait, par exemple, parfaitement cet office ! Un tel scénario parlerait à notre mémoire collective, reprendrait les clichés courants sur les militaires et serait l’aboutissement des divers« faits divers », généreusement relayés par les médias, sur tel militaire portant sur son uniforme une devise « nazie » ou tel officier ayant exprimé sa sympathie pour le mouvement « factieux » de la Manif pour tous…
Mais quel que soit la mise en scène finalement retenue, il est évident que la période actuelle doit être – encore plus que d’ordinaire- celle de la plus grande prudence dans les milieux activistes et radicaux. Tout encouragement à « l’action directe », toute hagiographie du « coup de force », toute invitation à la violence doivent être analysés à l’aune de ce que nous venons d’évoquer et rejetés avec le dédain et l’assurance du militant politique qui garde la tête froide et voit très bien à qui profiteraient les « actions» qu’on l’encourage à exécuter ou du moins à « préparer ». Le temps est au travail, à la formation, à la construction d’alternatives associatives et sociales, à la solidarité communautaire, au développement d’espaces autonomes, à la production intellectuelle et artistique, pas au complots d’opérettes ni aux fantasmes post-adolescents !
Afin de ne pas devenir les idiots utiles en même temps les victimes immolées d’un semi-pouvoir aux abois, d’évidence prêt aux plus infâmes bassesses pour continuer à justifier son existence.
Cependant, malgré quelques succès ponctuels, ces politiques de diversion semblent arriver aujourd’hui à bout de souffle, ce qui explique l’actuel désarroi du gouvernement obligé d’essayer, de toutes ses forces anémiées, de transformer un histrion à demi africain en réincarnation du Grand Satan nazi.
Le Roi est nu et cela commence à drôlement se voir.
Pour espérer se sauver en attendant que leurs maîtres aient préparé une jolie « alternance » libérale-droitarde, les fantoches dits « socialistes », n’ont désormais plus beaucoup de possibilités hors celle de recourir au bon vieux filon du « complot d’extrême droite ». « Certes nous sommes nuls, incompétents, surpayés et corrompus, veules, inaptes à vous défendre contre la violence, qu’elle soit économique ou de rue, incapables de vous offrir des perspectives et un avenir à vos enfants… mais nous pouvons encore vous sauver de la menace fasciste ! »Et les égouts du pouvoir commencent donc à exhaler de très sales et émétiques remugles de machination et de manipulation… Après le coup manqué de « l’affaire Méric » et la tambouille mal engagée du « Dieudogate » (la France « black, blanc, beur » qui entoure le comédien ne peut pas être véritablement « fasciste » ni dénoncée comme telle…), on sent nos apprentis sorciers des divers « services » forts tentés d’en appeler aux auspices de « Carpentras », cet exemple archétypal d’un coup fourré magistralement orchestré et d’une diabolisation parfaitement réussie.
Bien sûr, aujourd’hui, au vu de l’état de décrédibilisation du (faux)pouvoir Hollandien, il convient que le coup soit de grande ampleur ! Un « complot » liant certains éléments de l’armée et des « groupes d’extrême droite» remplirait, par exemple, parfaitement cet office ! Un tel scénario parlerait à notre mémoire collective, reprendrait les clichés courants sur les militaires et serait l’aboutissement des divers« faits divers », généreusement relayés par les médias, sur tel militaire portant sur son uniforme une devise « nazie » ou tel officier ayant exprimé sa sympathie pour le mouvement « factieux » de la Manif pour tous…
Mais quel que soit la mise en scène finalement retenue, il est évident que la période actuelle doit être – encore plus que d’ordinaire- celle de la plus grande prudence dans les milieux activistes et radicaux. Tout encouragement à « l’action directe », toute hagiographie du « coup de force », toute invitation à la violence doivent être analysés à l’aune de ce que nous venons d’évoquer et rejetés avec le dédain et l’assurance du militant politique qui garde la tête froide et voit très bien à qui profiteraient les « actions» qu’on l’encourage à exécuter ou du moins à « préparer ». Le temps est au travail, à la formation, à la construction d’alternatives associatives et sociales, à la solidarité communautaire, au développement d’espaces autonomes, à la production intellectuelle et artistique, pas au complots d’opérettes ni aux fantasmes post-adolescents !
Afin de ne pas devenir les idiots utiles en même temps les victimes immolées d’un semi-pouvoir aux abois, d’évidence prêt aux plus infâmes bassesses pour continuer à justifier son existence.
Zentropa