.

.

lundi 20 janvier 2014

Le Conseil d’Etat est-il (devenu) un Tribunal rabbinique ?



Il y a quelques jours Vu de France nous apprenait que le bras d’honneur révisé en “quenelle” par Dieudonné était promu unilatéralement par la grâce de la communauté « acte nazi »…

Ce mensonge grotesque a aussitôt été exploité par le ministre Valls – dont les liens avec la communauté ne sont plus à démontrer – pour déclarer sur les ondes que : « la quenelle est un geste antisémite »

Avec les conséquences que l’on sait sur l’interdiction des spectacles de Dieudonné.

Un feuilleton politico-judiciaire en forme de tragi-comédie qui a son point d’orgue avec l’arrêt du Conseil d’Etat établi en moins d’une heure l’après-midi même du spectacle…

(Avant évidemment les recours attendu auprès des Instances Européennes des Droits de l’Homme où cela ne sera sans doutes pas la même chanson…)

Tout cela pose au citoyen lambda un certain nombre de questions, surtout quand on a vu la bienveillante collaboration de l’opposition en la matière.

Plus que jamais l’UMPS mérite son nom d’Union Militante Philosémite et Sioniste.

C’est que cette belle unanimité a pour origine non pas Manuel Valls, mais bien… Jean François Copé !

C’est ce qui est révélé par un “commentateur courageux” Denis Jeambar, ancien de l’Express, sur la Chaîne LCP (Public Sénat). Il précise très clairement que c’est Jean François Copé qui a appelé Manuel Valls pour lui demander d’intervenir contre Dieudonné en l’assurant en la matière du soutien de l’opposition ! (sic !)

Inutile de préciser le point commun entre ces trois personnages…
Et cela ne s’arrête pas là !

bernard Stirn 

Lorsque le Tribunal administratif saisi par Dieudonné a très logiquement autorisé son spectacle malgré la circulaire liberticide de Valls, celui-ci a aussitôt saisi en référé le Conseil d’Etat qui a rendu son arrêt dans l’heure ( ???) Qui croira à cela ?

Il est évident que le coup était prévu de longue date par les amis et comparses de Valls…

Car ce n’est pas une coïncidence non plus si le juge des référés saisi se nommait… Stirn ! Bernard Stirn, énarque, arrière petit neveu du capitaine Dreyfus !

C’est aussi le frère cadet d’Olivier Stirn, ancien ministre de Mitterrand et membre successivement de tous les partis politiques de la Veme : un homme de conviction aussi celui-là !

Arnaud Klarsfeld 

Ajoutons que le premier juge du Conseil d’Etat – qui s’est publiquement manifesté dès l’annonce de cette manipulation judiciaire – a été… Arnaud Klarsfeld, un “binational israélien” récemment promu juge au Conseil d’Etat, encore par Sarkozy, dont le papa bien connu Serge vient de récupérer le grand ruban rouge de la médaille en chocolat décerné par Hollande…

Dès le départ, la fameuse “quenelle” s’est naturellement imposée comme signe de ralliement “anti-système”…

Quand on voit la sur représentation numérique des membres d’une communauté – qui ne représente pas 1% de la population – dans tous les compartiments de la vie politique, on comprend brusquement pourquoi certains d’entre eux sont tentés d’amalgamer anti-système et anti-sémitisme !

On comprend aussi pourquoi dans ce contexte un risque de dérive réellement anti-sémite n’est pas absurde à imaginer pour certains…
On comprend enfin, à contrario, que les mêmes cherchent taxer d’antisémitisme toute manifestation d’opposition au système – et au régime – auquel ils participent aussi largement !

Jules Moch 

Et c’est bien entendu la stratégie de Valls, en tant que Ministre de l’Intérieur du gouvernement le plus impopulaire jamais vu, qui est visée…

On avait déjà eu un aperçu de cette stratégie avec la déclaration comminatoire du sinistre Bergé : « Etre opposé au mariage homo, c’est de l’antisémitisme ! » (sic !)

Valls a donc de beaux jours devant lui… Enfin, sa haute suffisance le suppose.

Rêve-t-il de voler sur les traces de son “illustre” prédécesseur Jules Moch, le dernier ministre de l’Intérieur (un socialiste juif !) à avoir fait tirer sur la foule… C’était lors des grèves de mineurs de 1948, sous le premier gouvernement de Queuille (qui fut 3 fois président du conseil et 18 fois ministre sous la IV eme !) qui est, selon ses propres dires, le modèle politique avoué de… François Hollande ! Tout un programme !

La “mise à mort” de Dieudonné n’est donc ni le fruit d’un hasard circonstanciel, ni le résultat d’une manœuvre occasionnelle : c’est la conséquence de la mise en place d’un système ethno-centré programmé de longue date qui dépasse les contingences politiques locales et les clivages des partis : la mise en goyitude de la France… par la censure… pour commencer !

On se souviendra voici près d’un siècle de la déclaration d’un membre influent du B’nai Brith’ Coudenhove-Kalergi en 1923 :

« Nous nous efforcerons d’obtenir dans le futur une Europe orientalisée par un métissage euro-asiatique négroïde. Cette future race métissée sera en apparence semblable à la race de l’ancienne Egypte. Les chefs en seront les Juifs en tant que nouvelle noblesse grâce à leur esprit communautaire. »

Déclaration qui s’avèrerait aujourd’hui prophétique ?

Il est pourtant certain que la période pourrait ne pas s’avérer être politiquement la plus favorable à deux mois des élections municipales pour espérer mettre la France sous régime de goyitude, mais les collabo-sionistes (goyabos) sont si nombreux aujourd’hui, la propagande hystérique anti-musulmane si active dans les milieux catholiques et ceux classiquement supposés traditionnellement conservateurs, que les meneurs aux ordres de Tel Aviv doivent se sentir très sûrs de leur coup !

Et des goyabos, il s’en révèle tous les jours… là où ne les attendait pas forcément.

Bruno Frappat 

Tel Bruno Frappat qui nous gratifie d’une logorrhée particulièrement immonde dans “La Croix” où son complexe de goyabo-non-encore-reconnu le pousse à des insinuations odieuses et à des rapprochements aussi grotesques que d’une rare stupidité !
Jugez-en à propos de Dieudonné :

« Tel est, hors de la scène où il débite ses rigolades antisémites, le but de cet homme: en finir avec les juifs. C’est une bactérie, à sa manière. Une bactérie qui menace les esprits, l’intelligence, le cœur et la mémoire. Là, décidément, vigilance rouge : le principe de précaution doit s’appliquer sans faiblesse. »

La seule personne qui menace « l’intelligence le cœur et la mémoire » c’est précisément Bruno Frappat vis-à-vis duquel le fameux principe de précaution doit effectivement s’appliquer sans hésitation par hygiène mentale ! Il apparaît comme un avatar particulièrement néfaste du perroquet : celui qui récite sans rien comprendre la leçon qu’on lui a apprise (et qui sait que s’il la débite bien il aura droit à une cacahuète)…

Dire que «Frappat est un danger» serait lui faire trop d’honneur : ce serait lui donner une importance et une audience qu’il n’a pas… La Croix, jadis quotidien catholique, ne doit plus être lu aujourd’hui que par le CRIF, les officines gauchistes, les adeptes de Golias… et malheureusement certainement les fonctionnaires de la Maison Sainte Marthe.

Si je voulais m’abaisser au niveau intellectuel que sa diatribe traduit, je dirai simplement que Frappat est frappé… C’est intellectuellement mauvais, spirituellement faible, sociologiquement nul… Bref cela convient parfaitement !
Beaucoup plus inquiétante est la “circoncision mentale” subie par Philippe Tesson…
Philippe Tesson 

C’est un éditorialiste de talent certes, ancien rédacteur en chef de Combat, puis directeur du Quotidien de Paris qui a fait faillite… Espère-t-il aujourd’hui, en crachant comme il le fait, trouver les financements nécessaires pour un nouveau journal ??? On pourrait se poser la question !

Déjà, en novembre, ce curieux personnage – trop sûr de ses nouveaux soutiens – s’était laissé aller sur i-télé à des propos inadmissibles concernant la personnalité du chef de l’état, sans que Morandini (modérateur de l’émission) n’intervienne, ce qui avait amené logiquement une intervention du CSA…

Aujourd’hui Tesson se déchaîne contre Dieudonné allant jusqu’à «demander son exécution par un peloton de soldats ! Je signe et je persiste !» sic ! (Radio classique), 9 janvier 2014.

Devant l’énormité de la chose, même la communauté s’est émue…
C’est que le risque n’est effectivement pas mince de voir maintenant se cristalliser autour de Dieudonné une mobilisation des goyim contre l’oppression dont il devient volontairement ou non symbolique !

Le « Monde Juif » est donc évidemment monté au créneau pour tenter de minimiser les effarantes déclarations de Tesson… Mais sans pour autant vraiment les condamner : il faut bien le souligner !
Il titre d’ailleurs ingénument (?) : «Philippe Tesson a-t-il appelé au meurtre de Dieudonné ? »
 
Il y en a-t-il qui croiraient vraiment qu’il l’a invité à prendre un verre quand ce fou furieux rajoute : « Je persiste et je signe » (resic !) ?

Aujourd’hui la quenelle est devenue le signe de ralliement qui cristallise tous les mécontentements face à une classe politique qui se caractérise par une unanimité dans ses choix idéologiques aux antipodes des aspirations populaires… Dieudonné devient un symbole de la liberté d’expression et un martyr de l’oppression.
L’autoritarisme exacerbé de Valls et de ses comparses de l’UMPS a été une grave erreur politique en cette période particulièrement difficile politiquement et économiquement !

Croire que le désordre public possible ou provoqué (?) sera susceptible par sa répression de ressouder les couches populaires derrière le gouvernement est au mieux une invraisemblable naïveté, certainement une insupportable suffisance, et au pire une totale stupidité… Talleyrand n’aurait pas hésité politiquement à le qualifier selon sa fameuse formule: « Pire qu’une erreur, c’est une faute ! »

Les prochaines manifestations où vont se retrouver ensemble « La Manif pour tous », la « Marche pour la vie », les « Bonnets rouges », les opposants à la théorie du genre à l’école et les « quenelliers » pourraient bien réserver des surprises…

Le peuple de France se lève et s’unit face à l’oppression idéologique annoncée et programmée qui s’instaure…

Et les goyabos comme Philippe Tesson ou Bruno Frappat, n’y pourront absolument rien !

Nous ne sommes plus en 1948, et la contestation n’est plus cantonnée aux carreaux des mines…
Espérons seulement, que face aux quenelles, aux poussettes, « ils » en resteront aux gazages et aux canons à eau !
Enfin… dans un premier temps…