Le conseil d’état est la
plus haute juridiction de France. En conséquence de quoi il lui
appartient de justifier la censure ou plutôt de fixer les limites de la
liberté d’expression dans notre pays. Autrement dit son poids
institutionnel est considérable lorsque l’on parle d’état de droit. Mais
on est en droit de se demander si il est dirigé par des français ou par
des israéliens ce qui changerait notre point de vue sur son importance
non?
C’était donc couru d’avance et Valls peut se pavaner tel un paon devant les caméras. Le conseil d’état vient de valider sa censure
en à peine deux heures de jugement concernant « l’affaire Dieudonné ».
Ce jugement ultra-rapide pourrait surprendre les esprits non-avertis de
ce qu’est réellement notre pays mais pour ceux qui savent combien
celui-ci est devenu une province israélienne il n’y avait aucune bonne
surprise à attendre sur la liberté d’opinion sur la politique
israélienne ou le poids du lobby juif dans notre pays.
Tout était bien huilé. La justice a fait
son travail en refusant de reconnaître comme légal la circulaire Valls
et le conseil d’état s’est empressé, lui, de corriger. Oui mais voilà le
conseil d’état est juge et partie, ou plutôt devrais-je dire juif et
partie. C’est donc son président, Bernard Stirn, juif comme de bien entendu,
qui a décidé en express qu’il fallait à tout prix interdire la
propagation anti-sioniste et anti-communautarisme dans les esprits des
français.
Oui mais voilà cela pose dorénavant un problème déontologique et philosophique dans le droit de notre pays: les juifs sont-ils les mieux placés pour parler de liberté d’expression sur la politique sioniste et le poids du lobby juif dans notre pays? C’est comme si on demandait à un président du conseil d’état catho tradi de juger une Femen! Nul doute que la presse, juive, se jetterait comme des chiens sur un os pour faire dessaisir le juge. Là dans l’affaire Dieudonné tout le monde trouve ça normal qu’un juif condamne un antisioniste au nom de la liberté d’expression en France!
Oui mais voilà cela pose dorénavant un problème déontologique et philosophique dans le droit de notre pays: les juifs sont-ils les mieux placés pour parler de liberté d’expression sur la politique sioniste et le poids du lobby juif dans notre pays? C’est comme si on demandait à un président du conseil d’état catho tradi de juger une Femen! Nul doute que la presse, juive, se jetterait comme des chiens sur un os pour faire dessaisir le juge. Là dans l’affaire Dieudonné tout le monde trouve ça normal qu’un juif condamne un antisioniste au nom de la liberté d’expression en France!
A
noter que cette haute juridiction française est noyautée par des vrais
militaires israéliens comme Arno Klarsfled et d’autres sionistes bien
entendu. Faut-il accepter cette dictature juive sioniste et talmudique
sur notre pays sans rien faire? Cette république israélienne française
devient écœurante tellement elle est soumise et dénature l’histoire, la
culture et la philosophie de notre pays.