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lundi 20 janvier 2014

Les prix nobels de l'économie contre l'euro


Paul Krugman, Joseph Stiglitz, Maurice Allais, Milton Friedman pour les plus connus avaient dés le début tirés la sonnette d'alarme.
Maurice Allais qui est le seul prix Nobel d'économie que la France ait eu en 1988 n'a jamais eu le droit d'expliquer au Français son point de vue. C'est d'autant plus regrettable qu'il a su parfaitement identifier les problèmes de la construction européenne et de l'euro.

Le Prix Nobel iconoclaste et bâillonné
La « Lettre aux Français » que le seul et unique prix Nobel d’économie français a rédigée pour Marianne aura-t-elle plus d’écho que ses précédentes interventions ? Il annonce que le chômage va continuer à croître en Europe, aux États-Unis et dans le monde développé. Il dénonce la myopie de la plupart des responsables économiques et politiques sur la crise financière et bancaire qui n’est, selon lui, que le symptôme spectaculaire d’une crise économique plus profonde : la déréglementation de la concurrence sur le marché mondial de la main-d’œuvre. Depuis deux décennies, cet économiste libéral n’a cessé d’alerter les décideurs, et la grande crise, il l’avait clairement annoncée il y a plus de dix ans.



Et puis nous avons également le prix Nobel qui était pour l'euro qui devient contre aujourd'hui.


Christopher Pissarides, prix Nobel d’économie 2010

http://www.observatoiredeleurope.com/Le-prix-Nobel-qui-aimait-l-euro-et-qui-le-voit-maintenant-en-train-de-detruire-l-Europe_a2128.html

La question est : pourquoi les Français n'ont pas été mis au courant des travaux de leur prix Nobel ? Pourquoi est-il toujours question de catastrophe, par les mêmes qui nous ont promis un bel avenir avec l'euro et qui se sont trompés sur tout, lorsqu'il s'agit de débattre sur la sortie de l'euro ?

D'ailleurs quelles seraient les conséquences d'une sortie de l'euro ?