En ce 21 juin, jour de la fête de la musique, Infos-Toulouse vous propose nos meilleurs articles sur cet art immortel.
Sur le devant de la scène depuis qu’ils ont sorti leur deuxième album en 2016, Boisson Divine se fait un nom dans le milieu rock-metal. Avec un penchant traditionnel, ils font rayonner la Gascogne jusqu’au Japon, en janvier 2017. Alternant les chansons dans la langue régionale et en Français, rencontre avec le chanteur et guitariste du groupe : Baptiste Labenne.
Baptiste Labenne, vous êtes le chanteur/guitariste de Boisson Divine, pouvez vous vous présenter et présenter votre groupe ?
Boisson Divine est un de groupe de rock metal gascon né en 2005 de la rencontre entre Adrian Gilles (batterie, choeurs) et moi-même. Nous nous sommes retrouvés dans la même classe au collège de Riscle en 4ème. Nous nous sommes vite rendu compte que nous avions des affinités musicales, identitaires et rugbystiques. Nous avons donc commencé à jouer ensemble quelques reprises de Heavy Metal et très vite composé nos propres chansons. Inconsciemment, nous nous sommes orientés vers des thèmes que nous connaissions, qui rythmaient et rythment toujours notre vie quotidienne : vin, rugby, fêtes de village, armagnac, histoire locale, mythologie pyrénéenne, contes et légendes. Nous chantions au tout début en Français car il faut savoir que le langage Gascon — s’il est toujours vivant — n’est plus très usité dans notre coin. Nous ne le connaissions que très peu, bien qu’il soit partout dans les nom de rues, de familles, de villages, dans l’accent, certaines expressions et sur les lèvres des anciens. Nous avons plus tard fait le choix de ne plus chanter qu’en Gascon. C’était la suite logique de notre démarche, cela nous faisait tout simplement plaisir de le faire résonner sur des sons plus modernes et nous avons réalisé que sa mélodicité s’adaptait parfaitement à notre style de musique.
Boisson Divine est un de groupe de rock metal gascon né en 2005 de la rencontre entre Adrian Gilles (batterie, choeurs) et moi-même. Nous nous sommes retrouvés dans la même classe au collège de Riscle en 4ème. Nous nous sommes vite rendu compte que nous avions des affinités musicales, identitaires et rugbystiques. Nous avons donc commencé à jouer ensemble quelques reprises de Heavy Metal et très vite composé nos propres chansons. Inconsciemment, nous nous sommes orientés vers des thèmes que nous connaissions, qui rythmaient et rythment toujours notre vie quotidienne : vin, rugby, fêtes de village, armagnac, histoire locale, mythologie pyrénéenne, contes et légendes. Nous chantions au tout début en Français car il faut savoir que le langage Gascon — s’il est toujours vivant — n’est plus très usité dans notre coin. Nous ne le connaissions que très peu, bien qu’il soit partout dans les nom de rues, de familles, de villages, dans l’accent, certaines expressions et sur les lèvres des anciens. Nous avons plus tard fait le choix de ne plus chanter qu’en Gascon. C’était la suite logique de notre démarche, cela nous faisait tout simplement plaisir de le faire résonner sur des sons plus modernes et nous avons réalisé que sa mélodicité s’adaptait parfaitement à notre style de musique.
