Auran Derien ♦
Universitaire.
Les technologies de la block-chain et des crypto-monnaies entrent dans un cadre similaire. Après les mensonges habituels du monde de la finance, affirmant que cela n’avait aucun intérêt, Christine Lagarde, au FMI et les principales banques, Goldman Sachs en premier lieu, y travaillent avec acharnement.
Le penseur libéral Brandon Smith explique que le chaos économique est créé par les banques centrales contrôlées par une mafia financière très homogène qui manipule les taux d’intérêt et l’émission de monnaie selon les principes de l’accordéon : elle gonfle des bulles (des créances) puis les dégonfle. Le résultat, chaque fois, est l’augmentation de la concentration de la richesse mondiale entre les mains de quelques ploutocrates au détriment de toute l’humanité.
Selon Smith,Donald Trump est le personnage idéal pour faire supporter la responsabilité à venir à des politiques “de bien commun pour les américains” et non à l’internationale des banksters. Quand il y aura chute de la bourse, crise des dettes ou encore un conflit enfin obtenu par l’Etat d’Israel, le reset aura lieu avec comme nouvelle base monétaire la (les) crypto-monnaie(s) légale(s) et obligatoire(s) du FMI et des banques. Car le dollar est un obstacle à la tyrannie globalitaire. Il incarne la prédation des banquiers anglo-saxons. Mais l’idéal reste le monde unique, dirigé par un soviet de financiers à partir d’une seule monnaie et d’organismes peu nombreux qu’ils contrôlent en coulisse. Les esprits curieux ont remarqué l’appui des financiers au système chinois , dans le but de réaliser une fusion entre la “global-invasion” et le contrôle social des populations. Il est peu probable que l’élite chinoise ait oublié les crimes commis à son encontre par les anglo-saxons. Elle développe ses propres instruments de puissance, dont l’internationalisation du yuan à travers notamment un nouveau marché pétrolier en yuan et sa participation au FMI. Une crise, une guerre, un défaut de paiement généralisé permettrait de chercher ensemble la nouvelle solution.
Le Vénézuela est un pays en grande difficulté économique qui souhaite vendre son pétrole en “petro” une crypto-monnaie appuyée sur les réserves en cette matière première. Des responsables vénézuéliens visitent divers pays pour les inciter à acheter leur pétrole à un prix avantageux, car il convient d’amorcer l’utilisation du petro. L’Inde a été démarchée.
L’Iran souhaite aussi éviter l’utilisation du dollar et remplacer le système SWIFT. A l’occasion d’un déplacement en Russie un responsable iranien, M.Purebrahimi a rencontré le Comité de politique économique de la Douma et le sénateur D.Mezentsev qui a confirmé l’importance de développer les liens horizontaux entre les banques des deux pays. Un groupe de travail pour la coopération financière et interbancaire russo-iranienne doit se réunir le 5 juillet à Téhéran. Utiliser une cryptomonnaie pour mesurer les échanges commerciaux serait un pas important dans la capacité de se défendre contre la tyrannie des trafiquants anglo-saxons. Mais le problème non résolu consiste à savoir quelle conception de la monnaie doit être privilégiée.
Il est fondamental de comprendre que la monnaie sert d’abord à faciliter les échanges, ce qui impose une émission par une instance légitime, reconnue par toutes les parties prenantes. Les crypto-monnaies reposant sur la technologie des blockchains sont assimilées à des biens, à la monnaie-marchandise qui nous infecte depuis la pensée scolastique, accaparée par des trafiquants privés qui voudraient faire croire, à la manière de Augustin Carstens, chef de la BRI, qu’ils incarnent le bien commun.
Si
l’Iran, le Vénézuela, la Russie et d’autres pays prennent en charge le
minage de crypto-monnaies et les utilisent pour la circulation des biens
et non comme réserve de valeur, alors un système de métamonnaie, une
unité ce compte pourra être mise en service entre différents pays pour
calculer la valeur de leurs échanges réciproques.
Il est possible que ce soit illusoire à l’heure actuelle. Cependant nous affirmons que les humains ne sont pas condamnés à rester dans l’obscurité de la monnaie-marchandise et que des forces se lèveront un jour pour briser les chaînes de l’esclavage imposé par les soviets contemporains.
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Universitaire.
Les innovations technologiques, depuis toujours, offrent des opportunités qui peuvent détruire ou sauver, assurer une suprématie ou la rogner.
Ainsi, les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication avaient-elles commencé par offrir une bouffée d’air frais face à la puissance des médias. Mais les petits fonctionnaires imposés en Europe par les partisans de la “global-invasion” n’ont rien fait pour protéger des monopoles GAFA. Bien au contraire, ils en sont devenus des collabos. Nous avons signalé ces horreurs, en comparant avec la Chine, qui n’a pas accepté que le goulag s’abatte sur elle.Les technologies de la block-chain et des crypto-monnaies entrent dans un cadre similaire. Après les mensonges habituels du monde de la finance, affirmant que cela n’avait aucun intérêt, Christine Lagarde, au FMI et les principales banques, Goldman Sachs en premier lieu, y travaillent avec acharnement.
Le penseur libéral Brandon Smith explique que le chaos économique est créé par les banques centrales contrôlées par une mafia financière très homogène qui manipule les taux d’intérêt et l’émission de monnaie selon les principes de l’accordéon : elle gonfle des bulles (des créances) puis les dégonfle. Le résultat, chaque fois, est l’augmentation de la concentration de la richesse mondiale entre les mains de quelques ploutocrates au détriment de toute l’humanité.
Selon Smith,Donald Trump est le personnage idéal pour faire supporter la responsabilité à venir à des politiques “de bien commun pour les américains” et non à l’internationale des banksters. Quand il y aura chute de la bourse, crise des dettes ou encore un conflit enfin obtenu par l’Etat d’Israel, le reset aura lieu avec comme nouvelle base monétaire la (les) crypto-monnaie(s) légale(s) et obligatoire(s) du FMI et des banques. Car le dollar est un obstacle à la tyrannie globalitaire. Il incarne la prédation des banquiers anglo-saxons. Mais l’idéal reste le monde unique, dirigé par un soviet de financiers à partir d’une seule monnaie et d’organismes peu nombreux qu’ils contrôlent en coulisse. Les esprits curieux ont remarqué l’appui des financiers au système chinois , dans le but de réaliser une fusion entre la “global-invasion” et le contrôle social des populations. Il est peu probable que l’élite chinoise ait oublié les crimes commis à son encontre par les anglo-saxons. Elle développe ses propres instruments de puissance, dont l’internationalisation du yuan à travers notamment un nouveau marché pétrolier en yuan et sa participation au FMI. Une crise, une guerre, un défaut de paiement généralisé permettrait de chercher ensemble la nouvelle solution.
Quelques timides propositions
Puisque la réalité de la réalité c’est la prédation permanente, quelques francs-tireurs cherchent des alternatives selon le principe de l’innovation libératrice. La crypto-monnaie est mise en avant au Vénézuela, et récemment l’Iran a proposé à la Russie d’utiliser un tel système pour abandonner le dollar dans les échanges. De tels projets sont toutefois difficiles à réaliser.Le Vénézuela est un pays en grande difficulté économique qui souhaite vendre son pétrole en “petro” une crypto-monnaie appuyée sur les réserves en cette matière première. Des responsables vénézuéliens visitent divers pays pour les inciter à acheter leur pétrole à un prix avantageux, car il convient d’amorcer l’utilisation du petro. L’Inde a été démarchée.
L’Iran souhaite aussi éviter l’utilisation du dollar et remplacer le système SWIFT. A l’occasion d’un déplacement en Russie un responsable iranien, M.Purebrahimi a rencontré le Comité de politique économique de la Douma et le sénateur D.Mezentsev qui a confirmé l’importance de développer les liens horizontaux entre les banques des deux pays. Un groupe de travail pour la coopération financière et interbancaire russo-iranienne doit se réunir le 5 juillet à Téhéran. Utiliser une cryptomonnaie pour mesurer les échanges commerciaux serait un pas important dans la capacité de se défendre contre la tyrannie des trafiquants anglo-saxons. Mais le problème non résolu consiste à savoir quelle conception de la monnaie doit être privilégiée.
Peut-on sortir du primitivisme de la pensée monétaire ?
La question a été soulevée de nombreuses fois. La cryptomonnaie devrait permettre de séparer les fonctions monétaires et servirait de métamonnaie afin de réaliser le paiement des échanges entre zones à monnaie différente. Nous sommes toujours intoxiqués par l’idée que tout doit être concentré dans le même support. Or, la monnaie est un service rendu à la collectivité par une puissance publique légitime. Ce n’est pas simplement une marchandise avec valeur liée à la demande ou capable de transmettre un patrimoine.Il est fondamental de comprendre que la monnaie sert d’abord à faciliter les échanges, ce qui impose une émission par une instance légitime, reconnue par toutes les parties prenantes. Les crypto-monnaies reposant sur la technologie des blockchains sont assimilées à des biens, à la monnaie-marchandise qui nous infecte depuis la pensée scolastique, accaparée par des trafiquants privés qui voudraient faire croire, à la manière de Augustin Carstens, chef de la BRI, qu’ils incarnent le bien commun.
Si
l’Iran, le Vénézuela, la Russie et d’autres pays prennent en charge le
minage de crypto-monnaies et les utilisent pour la circulation des biens
et non comme réserve de valeur, alors un système de métamonnaie, une
unité ce compte pourra être mise en service entre différents pays pour
calculer la valeur de leurs échanges réciproques.Il est possible que ce soit illusoire à l’heure actuelle. Cependant nous affirmons que les humains ne sont pas condamnés à rester dans l’obscurité de la monnaie-marchandise et que des forces se lèveront un jour pour briser les chaînes de l’esclavage imposé par les soviets contemporains.
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