Bernard Plouvier
Passant par la Bretagne, Grand Président, qui semble succomber à la magie de la musique noire, a évoqué la « lèpre populiste ». Et comme à son habitude, Grand Président se moque de la Nation.
Il
est exact que dans le continent d’un Vivaldi, d’un Mozart, d’un Brahms
ou d’un Wagner, nous avons besoin de recevoir des leçons de joueurs de
tam-tam. Il en faut pour tous les goûts, même pour le mauvais.
Grand
Président n’aime pas les populistes. Il oublie qu’on peut être
populiste sans être raciste (mais pour un môssieur sorti de l’ENA,
Antonio Salazar ou Juan Péron doivent être des inconnus).
De
fait, nos merveilleux immigrationnistes oublient qu’en favorisant
l’afflux d’une délirante quantité d’individus provenant d’autres
continents, ils importent du racisme antiblancs, celui là même que les
citadins Français de souche doivent affronter quotidiennement depuis les
années 1980… qui a passé sa jeunesse à Roubaix, puis exercé à Lille et à
Douai en connait un rayon en matière de racisme antiblancs. Mais Grand
Président et sa suite ne sont jamais qu’au contact de « gentils
z’immigrés », qui brossent les puissants dans le sens du poil.
Car
Grand Président, s’il se penchait trois minutes sur les réalités
triviales de la vie quotidienne des Blancs de la région parisienne, ou
de la région de Marseille, de la Lyonnaise, ou du triangle
Lille-Roubaix-Tourcoing, saurait que le « Bon Peuple » est quelque peu
excédé.
Si
Grand Président a peur de la lèpre (il a tort : dans une société comme
la nôtre, c’est une maladie qui se diagnostique tôt et se traite bien ;
la lèpre mutilante, ça n’existe plus que chez les sous-évolués, les
populations à la traîne), la Nation française, elle, ne veut pas mourir
du cancer aux noms multiples : substitution de population (rappelez-vous
ce que les Britanniques ont fait en Amérique du Nord, en Australie et
en Nouvelle-Zélande), métissage universel, islam djihadiste, violences
urbaines quotidiennes.
La
vie en France, dans les années qui ont précédé le décret de
regroupement familial des Giscard et Chirac, n’était peut-être pas
idyllique – dans ce que les théologiens juifs et chrétiens nomment une
« vallée de larmes », on aimerait savoir où et quand la vie a été une
idylle entre doux humains et bonne nature -, mais nous étions chez nous
et entre nous.
Pour
changer de statut, c’est-à-dire pour passer d’un pays d’Europe
occidentale à un gourbi africain ou proche-oriental, il faut au moins
consulter le bon peuple. Il est possible qu’une majorité de Français
veuillent vivre dans un État régi par la Charî’a et se fondre dans une
espèce de race globale, mais il faut au moins, Grand Président, leur
demander leur avis. C’est cela que l’on nomme démocratie.
Et il est probable que le bon peuple de France ne puisse connaitre de démocratie que grâce au Populisme.
Le commander cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là

