Monsieur le Président, cessez donc de vouloir faire la morale à des
dirigeants et à des peuples qui se portent, désolé, très bien. Comme
ceux, par exemple, de Pologne, de Hongrie, de République tchèque, de
Slovaquie et d’Autriche.
Monsieur le Président,
Ainsi, il aura fallu attendre que vous fouliez le sol de Bretagne pour
venir nous réciter votre cantique larmoyant en faveur de l’immigration
et contre les méchants populistes qui menaceraient l’Europe.
« La lèpre populiste qui monte », avez vous dit,
devant une assemblée de caniches triés sur le volet qui se sont bien
gardés de poser la moindre question qui fâche.
Et bien sachez que les lépreux, qui sont des dizaines de millions dans
toute l’Europe, vous saluent. Ils rêveraient tous de vous embrasser,
pour vous transmettre l’identitarovirus. Mais il est vrai que Madame
Buzyn doit vous avoir vacciné à la naissance contre le respect, la
transmission et l’amour porté à vos ancêtres et à votre terre.
Vos accusations de « nationalisme rétrograde », de « menace pour
l’Europe », sont horripilantes. Notre amour de l’Europe et de sa
civilisation est bien réel. Nous sommes chez nous de Brest à
Vladivostok, et à l’étranger sitôt passé la Méditerranée ou le
Bosphore. Votre Europe, c’est l’amour des banquiers, des soirées
mondaines, de la religion des droits de l’homme et du CAC40, mais aussi
d’une petite oligarchie, cette classe médiatique et politique que vous
appelez de vos vœux en indiquant qu’elle aurait une « responsabilité » à
« éduquer les masses ».
Cessez donc de vouloir faire la morale à des dirigeants et à des peuples
qui se portent, désolé, très bien. Comme ceux, par exemple, de Pologne,
de Hongrie, de République tchèque, de Slovaquie et d’Autriche.
Car ces lépreux, comme vous les nommez, permettent à des jeunes et moins
jeunes femmes de se promener tard dans les rues de leurs métropoles
sans avoir la peur d’être violées, d’être agressées, ou pire encore…
Cette « lèpre » protège les peuples contre leur remplacement
démographique programmé. Elle les protège des « joies » de la société
française, de ces policiers attaqués dans leur commissariats, de ces
violentes agressions gratuites pour une cigarette ou un regard, de ces
pompiers caillassés en sauvant des vies, de ces images sales ou
violentes mises dans la tête de nos têtes plus si blondes que cela dès
le plus jeune âge.
Ces lépreux enseignent à leurs enfants à l’école d’où ils viennent et
qui ils sont, pendant qu’en France on ne leur enseigne plus ni
l’histoire ni la culture de leur peuple, préférant les bercer d’exotisme
et de repentance.
Ces lépreux qui vous effraient tant évoluent dans des sociétés où aucun
islamiste fraichement arrivé en Europe (ou bien nés ici de parents
arrivés il y a une ou deux générations) ne tire à la kalachnikov sur les
passants ou sur les participants à un concert. Ils n’ont pas envie que
par votre folie migratoire, leurs femmes et leurs enfants se retrouvent
plongés dans la société dont ils ne veulent pas et qu’ils voient
parfaitement quand ils voyagent et qu’ils arrivent dans les rues de
Paris, de Marseille ou de Lille.
Sachez aussi qu’en France, des millions de lépreux habitent, vivent,
votent, construisent, travaillent, paient des impôts. Ils voient ce
qu’ils passent. Ils subissent vos déclarations et vos renoncements,
comme ceux de vos prédécesseurs. Ils veulent rester fidèle à leur
culture, ils veulent transmettre à leurs descendants le pays qu’ont bâti
au fil des siècles leurs ancêtres. Et, contrairement à vos déclarations
mensongères, l’Europe – qui ne saurait se confondre avec l’Union
européenne – n’effraie pas les lépreux. Sachez en tout cas qu’ils sont
de plus en plus nombreux, la propagation du identitarovirus étant
rapide, à vouloir vous faire un doux baiser gluant.
Si la Peste noire a ravagé l’Europe, alors la Lèpre blanche la sauvera !
Julien Dir. pour breizh-info.com
