Il est mort trop tôt. Il ne paiera jamais l’amende de 2 millions d’euros pour fraude fiscale à laquelle il avait été condamné en première instance.
https://www.20minutes.fr/societe/2280535-20180530-deces-serge-dassault-amende-deux-millions-euros-jamais-payee
2 millions d’euros, une bagatelle. Amende non pas pour fraude fiscale mais pour blanchiment de fraude fiscale…. Il s’était acquitté d’un redressement fiscal de 19 euros et devait payer une amende pour le blanchiment… Mais la cour d’appel n’a pas pu trancher, il est mort trop tôt.
Il est mort trop tard. Il a eu le temps de participer activement à l’islamisation de la France.
Ce qu’il volait à l’Etat, donc au con-tribuable français, donc à vous et à moi, il l’offrait aux musulmans.
Facile. Et particulièrement odieux et lamentable. Impardonnable.
La partie visible de l’iceberg, c’est, entre autres, ce scandaleux don, sur sa fortune personnelle, de 2 millions d’euros, sous prétexte d’offrir un lieu de rencontre aux jeunes musulmans de Corbeil-Essonnes et de faire baisser la délinquance.
L’Association
culturelle des musulmans de Corbeil-Essonnes est fondée en 1996. Le
projet de mosquée débute en 1998 avec la recherche d’un terrain. Les
travaux durent de 2002 à 2004 et la première prière a lieu le 24
décembre de cette année1.
Les 2 millions d’euros
nécessaires pour financer les travaux ont été réunis de trois manières
différentes : par une collecte auprès des fidèles, grâce à un don en
provenance d’Arabie saoudite de la part d’un « bienfaiteur » inconnu et à l’aide du maire Serge Dassault qui fournit un don de 2 millions d’euros4 sur sa fortune personnelle une partie importante du coût total2.
La mosquée est inaugurée en tant que centre culturel islamique le en présence du maire et du président du CFCM Dalil Boubakeur. Le ministre de l’Intérieur, Dominique de Villepin, également convié, décline l’invitation2. Serge Dassault ne cache pas son désir de faire de ce lieu de culte un lieu de rencontre pour les jeunes musulmans de la ville, dans l’espoir d’aboutir à une baisse de la délinquance, et réfute l’idée de vouloir en retirer un bénéfice en voix dans les quartiers populaires pour l’élection municipale de 2008 (au cours de laquelle il sera effectivement réélu, puis destitué après l’invalidation du scrutin en 2009)2.
Les prisons regorgent de musulmans, la
carte des fichés S correspond à celle des mosquées. Dassault aurait
voulu nous faire prendre des vessies pour les lanternes. Mais il est
vrai qu’être élu, ré-élu… vaut bien une messe mosquée.
Mieux encore, non content de jouer les mécènes des barbus en 2005,
Dassault, comme Maire, cette fois, a permis l’extension de la mosquée en
2011… C’est qu’en quelques années elle était devenue trop petite…
Combien de centaines de millions en sus pour déplacer les sanitaires ?Comme de juste l’islamo-collabo Dassault assistait à la fête de l’égorgement avec ses ouailles musulmanes…
La scène
se passe le 6 novembre à Corbeil. Configurée pour 2 000 personnes, la
mosquée n’est pas assez grande pour accueillir tous les fidèles venus
célébrer l’Aïd et le gymnase situé en face est ouvert pour la prière.
Assistant à la fête, Serge Dassault annonce alors qu’il va agrandir la
mosquée. « Il a dit : Pas trop grand, mais juste ce qu’il faut », assure
un témoin.
« Oui, il a dit qu’il agrandirait, mais
officiellement on n’est au courant de rien. Ce n’est pas à notre
demande », réagit Yahia Kandouci, actuel président de l’Association des
musulmans de Corbeil, gestionnaire du lieu.
Bouche cousue sur le budget alloué par le milliardaireSerge Dassault n’était pas joignable cette semaine pour confirmer l’information. « Je ne suis saisi de rien », évacue de son côté son bras droit, Jean-Pierre Bechter, le maire UMP de Corbeil, qui rappelle que, de toute façon, cela ne le regarde pas. La loi interdit aux villes de financer la construction de lieux de culte. Dans cette histoire, un nom revient cependant : Aboubacar Djiba, présent au côté de Dassault le jour de l’Aïd. Conseiller municipal de la majorité de 2008 à 2010, ancien trésorier de la mosquée, celui-ci aurait été mandaté par l’industriel pour chapeauter le projet. L’intéressé confirme : « Je suis l’homme de confiance. Mais je ne gère pas les fonds. C’est Dassault qui valide l’avancée des travaux et qui paie. » Selon Djiba, le projet vise à déplacer les sanitaires et à les installer dans une future extension du bâtiment. Cela libérera de la place à l’intérieur du bâtiment existant. Un architecte est déjà au travail. Ses propositions, attendues pour janvier, seront soumises d’abord à Dassault « pour validation ». Bouche cousue cependant sur le budget alloué par le milliardaire.
Il est salué par une partie de la classe politique française12. Le président des Républicains, Laurent Wauquiez, salue le « grand capitaine d’industrie, à la tête d’entreprises qui font la fierté de notre pays »13. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, dans un communiqué officiel, affirme qu’« avec la disparition de Serge Dassault, la France perd un grand industriel » ; il dit saluer « la mémoire de cet industriel d’exception »14. L’ancien Premier ministre socialiste Manuel Valls dit que « son nom, celui de son père, rayonne depuis des décennies en France et dans le monde entier » et que c’est « avec beaucoup de tristesse »qu’il a appris sa mort15.
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