Avec son talent et sa verve, Philippe de Villiers raconte dans son dernier livre, Puy du Fou, un rêve d’enfance, l’épopée de ce haut lieu de la « mémoire vivante ».
« Sur une petite colline abandonnée des hommes, enfouie dans l’oubli, à fleurs de ruines où nichaient les mésanges, jaillissant des souvenirs d’enfance, un soir d’été, s’est levé le premier mot d’un vers. Un vers en forme d’hommage. Puis deux, puis trois. Puis le reste est venu. Un poème allégorique est né. »
Philippe de Villiers, très jeune déjà, voulait faire un hymne à la Vendée en reconnaissance d’une dette – une enfance heureuse – et en réparation d’un terrible génocide – 300.000 Vendéens exterminés pendant les guerres de Vendée et laissés sans sépulture.
C’est sans rien, sans argent, sans subvention, sans soutien qu’il a démarré. Comme, il le raconte, personne n’y croyait, et pourtant, son rêve et « ses pensées les plus folles » ont pris corps.
C’est une aventure humaine qui est racontée dans ce livre. Jamais on ne s’ennuie, sans cesse on veut savoir comment cela a été possible. Le récit est haletant, Philippe de Villiers révèle comment les obstacles ont été levés les uns après les autres, pour permettre qu’aujourd’hui, le Puy du Fou soit hissé sur « le toit du monde » et ait les plus grandes récompenses et reconnaissances internationales.
Il n’a reculé devant rien, apprenant même à cracher le feu alors qu’il était encore élève de l’ENA. Il n’a pas écouté les objections, les prudents, sans cesse poussé par son rêve et laissant déborder sa créativité.
Cette histoire empreinte de poésie, cette épopée donneront aux lecteurs de l’espoir, une envie d’entreprendre, d’espérer. Comme l’écrit Philippe de Villiers : « Ne cherchez pas à plaire. Et ne réfrénez pas vos rêves, vous les accomplirez. La preuve : quand j’étais enfant, je faisais un rêve de musique, de couleurs, de panache et de grandeur. Ce rêve a été accompli. »
« Sur une petite colline abandonnée des hommes, enfouie dans l’oubli, à fleurs de ruines où nichaient les mésanges, jaillissant des souvenirs d’enfance, un soir d’été, s’est levé le premier mot d’un vers. Un vers en forme d’hommage. Puis deux, puis trois. Puis le reste est venu. Un poème allégorique est né. »
Philippe de Villiers, très jeune déjà, voulait faire un hymne à la Vendée en reconnaissance d’une dette – une enfance heureuse – et en réparation d’un terrible génocide – 300.000 Vendéens exterminés pendant les guerres de Vendée et laissés sans sépulture.
C’est sans rien, sans argent, sans subvention, sans soutien qu’il a démarré. Comme, il le raconte, personne n’y croyait, et pourtant, son rêve et « ses pensées les plus folles » ont pris corps.
C’est une aventure humaine qui est racontée dans ce livre. Jamais on ne s’ennuie, sans cesse on veut savoir comment cela a été possible. Le récit est haletant, Philippe de Villiers révèle comment les obstacles ont été levés les uns après les autres, pour permettre qu’aujourd’hui, le Puy du Fou soit hissé sur « le toit du monde » et ait les plus grandes récompenses et reconnaissances internationales.
Il n’a reculé devant rien, apprenant même à cracher le feu alors qu’il était encore élève de l’ENA. Il n’a pas écouté les objections, les prudents, sans cesse poussé par son rêve et laissant déborder sa créativité.
Cette histoire empreinte de poésie, cette épopée donneront aux lecteurs de l’espoir, une envie d’entreprendre, d’espérer. Comme l’écrit Philippe de Villiers : « Ne cherchez pas à plaire. Et ne réfrénez pas vos rêves, vous les accomplirez. La preuve : quand j’étais enfant, je faisais un rêve de musique, de couleurs, de panache et de grandeur. Ce rêve a été accompli. »