Le docteur Jean Pierre Poinsignon
En tant que Médecin, j’ai le pénible devoir d’accuser les industriels de participer, très activement, à :
1. Favoriser, par des techniques de communications ressassées, la surconsommation alimentaire, au-delà des nécessités physiologiques, en oubliant la notion de « frugalité », et le précepte socratique : « il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » et à susciter par une publicité visuelle, de chaque instant, le grignotage en faisant oublier le processus de la sensation de faim qui devrait indiquer, à chaque individu, le moment de manger.
2. Industrialiser l’alimentation humaine à des fins uniquement mercantiles, sans se soucier de la Santé des Hommes, inventer des molécules qui n’existent pas dans la Nature et les intégrer, sans aucune précaution, à l’alimentation humaine.
3. Colorer chimiquement notre nourriture pour la rendre plus attractive et nous tromper par le sens visuel : l'addiction aux sucres colorés se fait dès la prime enfance avec toutes les bonbonneries multicolores attractives que l’on offre aux regards curieux et naïfs des enfants.
4. Inventer des molécules olfactives, simulant, artificiellement, les molécules naturelles sans mesurer les conséquences sur la santé humaine (goût de truffe sans truffes, goût de vanille sans vanille, le goût de framboise sans framboises, etc.).
5. Faire croire que « le sucre » issu de la betterave sucrière ou de la canne à sucre (appelé également « saccharose », constitué chimiquement par une molécule de glucoselié à une molécule de fructose) est un « poison » alors qu’il est simplement trop épuré de ses fibres, et le remplacer par des vrais poisons « édulcorants » : aspartame, saccharine et dérivés.
6. Faire du lait animal et de tous ses produits dérivés, des bases alimentaires pour l’être humain sous prétexte d’abondance en calcium et en protéines de « croissance », alors que le calcium laitier animal est peu assimilable et que lesdites protéines de croissance sont en fait des hormones de croissance pour les petits mammifères à croissance rapide. Ces hormones animales de croissance possèdent des effets redoutables pour l’être humain, quel que soit son âge.
7. Modifier par « hydrogénation » les structures moléculaires naturelles des lipides liquides végétaux pour mieux les transporter et les conserver. Ces huiles raffinées, trafiquées et solidifiées perdent non seulement tout intérêt nutritionnel, mais deviennent toxiques par la création des formes moléculaires « trans ».
8. Surcharger en SEL (chlorure de sodium) nos aliments pour mieux les conserver (le sel inhibe la prolifération bactérienne) en favorisant ainsi l’hypertension artérielle et la fuite du calcium de l’organisme.
9. Dénaturer (au sens littéral : Dé-Naturer) les molécules alimentaires par la cuisson à haute température ou au micro-ondes, créant ainsi les « molécules de Maillard » indigestes et toxiques et de nombreuses autres molécules carcinogènes.
10. Inventer le concept des « alicaments », néologisme formé à partir d’aliments et de médicaments en rajoutant des vitamines de synthèse, et d’autres molécules vertueuses à des « aliments » aux piètres qualités nutritionnelles, pour les transformer, marketing oblige, en aliments soi-disant « excellents pour notre santé ».
S’il faut reconnaître à l’industrie agroalimentaire la production d’une quantité suffisante pour « nourrir » la population occidentale, il faut aussi admettre que la qualité n’y est pas ! L’épidémiologie des cancers, de l’obésité, du diabète, des maladies dégénératives du système nerveux central tel que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer prouve que l’alimentation « moderne » doit être modifiée, si nous voulons vivre vieux et en bonne santé.
1. Favoriser, par des techniques de communications ressassées, la surconsommation alimentaire, au-delà des nécessités physiologiques, en oubliant la notion de « frugalité », et le précepte socratique : « il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » et à susciter par une publicité visuelle, de chaque instant, le grignotage en faisant oublier le processus de la sensation de faim qui devrait indiquer, à chaque individu, le moment de manger.
2. Industrialiser l’alimentation humaine à des fins uniquement mercantiles, sans se soucier de la Santé des Hommes, inventer des molécules qui n’existent pas dans la Nature et les intégrer, sans aucune précaution, à l’alimentation humaine.
3. Colorer chimiquement notre nourriture pour la rendre plus attractive et nous tromper par le sens visuel : l'addiction aux sucres colorés se fait dès la prime enfance avec toutes les bonbonneries multicolores attractives que l’on offre aux regards curieux et naïfs des enfants.
4. Inventer des molécules olfactives, simulant, artificiellement, les molécules naturelles sans mesurer les conséquences sur la santé humaine (goût de truffe sans truffes, goût de vanille sans vanille, le goût de framboise sans framboises, etc.).
5. Faire croire que « le sucre » issu de la betterave sucrière ou de la canne à sucre (appelé également « saccharose », constitué chimiquement par une molécule de glucoselié à une molécule de fructose) est un « poison » alors qu’il est simplement trop épuré de ses fibres, et le remplacer par des vrais poisons « édulcorants » : aspartame, saccharine et dérivés.
6. Faire du lait animal et de tous ses produits dérivés, des bases alimentaires pour l’être humain sous prétexte d’abondance en calcium et en protéines de « croissance », alors que le calcium laitier animal est peu assimilable et que lesdites protéines de croissance sont en fait des hormones de croissance pour les petits mammifères à croissance rapide. Ces hormones animales de croissance possèdent des effets redoutables pour l’être humain, quel que soit son âge.
7. Modifier par « hydrogénation » les structures moléculaires naturelles des lipides liquides végétaux pour mieux les transporter et les conserver. Ces huiles raffinées, trafiquées et solidifiées perdent non seulement tout intérêt nutritionnel, mais deviennent toxiques par la création des formes moléculaires « trans ».
8. Surcharger en SEL (chlorure de sodium) nos aliments pour mieux les conserver (le sel inhibe la prolifération bactérienne) en favorisant ainsi l’hypertension artérielle et la fuite du calcium de l’organisme.
9. Dénaturer (au sens littéral : Dé-Naturer) les molécules alimentaires par la cuisson à haute température ou au micro-ondes, créant ainsi les « molécules de Maillard » indigestes et toxiques et de nombreuses autres molécules carcinogènes.
10. Inventer le concept des « alicaments », néologisme formé à partir d’aliments et de médicaments en rajoutant des vitamines de synthèse, et d’autres molécules vertueuses à des « aliments » aux piètres qualités nutritionnelles, pour les transformer, marketing oblige, en aliments soi-disant « excellents pour notre santé ».
S’il faut reconnaître à l’industrie agroalimentaire la production d’une quantité suffisante pour « nourrir » la population occidentale, il faut aussi admettre que la qualité n’y est pas ! L’épidémiologie des cancers, de l’obésité, du diabète, des maladies dégénératives du système nerveux central tel que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer prouve que l’alimentation « moderne » doit être modifiée, si nous voulons vivre vieux et en bonne santé.
Notes:
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