Floris de Bonneville
Qui pourrait rester insensible devant ces
images terribles qui nous rappellent les pires moments de l’exode en
1940 ? Là, en Macédoine, c’est un train à destination de la Hongrie qui
est pris d’assaut par 2 ou 3.000 Syriens, lesquels se hissent dans les
wagons par les fenêtres. Ici, ce sont des hordes de réfugiés qui
marchent sur 80 kilomètres, épuisés, dans l’espoir d’atteindre la
Serbie. Là encore, on les voit débarquer de Zodiac flambant neufs dont
on se demande qui les leur a fournis (à 5 ou 20.000 euros pièce) !
Avez-vous vu cette photo d’un Zodiac débarquant, à Kos, une trentaine de
jeunes hommes de 20 à 30 ans, habillés et chaussés de neuf qui ont plus
l’air d’un commando que de misérables réfugiés ?
Et que dire de ces migrants qui se bagarrent entre eux, qui saccagent leur hôtel car il n’est pas assez confortable, qui manifestent pour plus de confort et une nourriture halal ?
Plus de 300.000 Moyen-Orientaux, selon le HCR, sont ainsi arrivés depuis janvier en Grèce, via la Turquie, trop heureuse de pouvoir, à moindres frais, déstabiliser l’Europe qui ne veut pas d’elle.
Chaque jour, ils sont donc des milliers à accoster sur les îles du Dodécanèse, fuyant une guerre que les Occidentaux ne semblent pas vraiment vouloir arrêter. Chaque jour, en Méditerranée occidentale, ce sont, là aussi, des milliers d’Africains qui débarquent en Italie, à Malte, en Espagne, avec l’aide – pour ne pas dire la complicité – de l’Union européenne. Rien qu’en juillet, ils seraient plus de cent mille migrants à avoir réussi leur transhumance ! Ils seront plus d’un million à la fin de l’année.
Ce flux ininterrompu de ceux que l’on désigne désormais sous le nom de « migrants » mais qui sont, en fait, des clandestins illégaux jusqu’à ce qu’ils obtiennent le statut de réfugiés, est un défi lancé à l’Europe et à ses frileux gouvernants. On peut se demander, avec juste raison, pourquoi rien n’est fait pour endiguer cette vague. Par faiblesse ? Par compassion ? Par calcul de remplacement ? Car il s’agit bien de cela.
Cette invasion n’est pas aussi pacifique qu’elle peut paraître. Elle risque, et très vite, de coûter paix et tranquillité à nos pays. On ne peut pas, surtout en période de crise économique telle que nous la vivons, accueillir toutes ces personnes sans conséquences sur notre vie quotidienne.
Demain, lorsqu’il seront arrivés à leur destination, que feront-ils ? Ils ne parlent pas notre langue, ne prient pas le même Dieu, n’ont pas la même culture, ni le mode de vie que nous connaissons depuis des siècles. Ils n’auront pas de travail et devront vivre de notre générosité, creusant un peu plus notre déficit.
Nombre d’entre eux s’enfermeront dans leur religion, nous provoqueront avec leurs coutumes, la charia. Combien sont-ils déjà à être des terroristes en herbe, une cinquième colonne endormie ?
Nous devons réagir aujourd’hui. Sur plusieurs fronts à la fois. Prendre la mesure du danger mondial que l’État islamique représente. Il faut mettre le paquet militairement pour anéantir ces terroristes, et plutôt que d’armer (ce qui est un comble) Al-Nosra, aider l’armée régulière syrienne (oui, oui, aider Assad, moins Führer que le sanguinaire calife Al-Baghdadi). Pas avec trois bombes lancées par-ci par-là. Avec l’armée, soutenue par les Casques bleus dont la mission sera de protéger les Syriens et les Irakiens chaque fois qu’un village ou une ville seront repris aux barbares. Et, sur notre continent, isoler ces immigrés dans des camps d’attente, ce qui permettra de prendre le temps de décider qui a le droit à un vrai statut de réfugiés, plutôt que de les voir s’éparpiller dans l’espace Schengen.
Ce n’est peut-être pas très politiquement correct, mais c’est l’un des moyens de sauver notre civilisation.
Et que dire de ces migrants qui se bagarrent entre eux, qui saccagent leur hôtel car il n’est pas assez confortable, qui manifestent pour plus de confort et une nourriture halal ?
Plus de 300.000 Moyen-Orientaux, selon le HCR, sont ainsi arrivés depuis janvier en Grèce, via la Turquie, trop heureuse de pouvoir, à moindres frais, déstabiliser l’Europe qui ne veut pas d’elle.
Chaque jour, ils sont donc des milliers à accoster sur les îles du Dodécanèse, fuyant une guerre que les Occidentaux ne semblent pas vraiment vouloir arrêter. Chaque jour, en Méditerranée occidentale, ce sont, là aussi, des milliers d’Africains qui débarquent en Italie, à Malte, en Espagne, avec l’aide – pour ne pas dire la complicité – de l’Union européenne. Rien qu’en juillet, ils seraient plus de cent mille migrants à avoir réussi leur transhumance ! Ils seront plus d’un million à la fin de l’année.
Ce flux ininterrompu de ceux que l’on désigne désormais sous le nom de « migrants » mais qui sont, en fait, des clandestins illégaux jusqu’à ce qu’ils obtiennent le statut de réfugiés, est un défi lancé à l’Europe et à ses frileux gouvernants. On peut se demander, avec juste raison, pourquoi rien n’est fait pour endiguer cette vague. Par faiblesse ? Par compassion ? Par calcul de remplacement ? Car il s’agit bien de cela.
Cette invasion n’est pas aussi pacifique qu’elle peut paraître. Elle risque, et très vite, de coûter paix et tranquillité à nos pays. On ne peut pas, surtout en période de crise économique telle que nous la vivons, accueillir toutes ces personnes sans conséquences sur notre vie quotidienne.
Demain, lorsqu’il seront arrivés à leur destination, que feront-ils ? Ils ne parlent pas notre langue, ne prient pas le même Dieu, n’ont pas la même culture, ni le mode de vie que nous connaissons depuis des siècles. Ils n’auront pas de travail et devront vivre de notre générosité, creusant un peu plus notre déficit.
Nombre d’entre eux s’enfermeront dans leur religion, nous provoqueront avec leurs coutumes, la charia. Combien sont-ils déjà à être des terroristes en herbe, une cinquième colonne endormie ?
Nous devons réagir aujourd’hui. Sur plusieurs fronts à la fois. Prendre la mesure du danger mondial que l’État islamique représente. Il faut mettre le paquet militairement pour anéantir ces terroristes, et plutôt que d’armer (ce qui est un comble) Al-Nosra, aider l’armée régulière syrienne (oui, oui, aider Assad, moins Führer que le sanguinaire calife Al-Baghdadi). Pas avec trois bombes lancées par-ci par-là. Avec l’armée, soutenue par les Casques bleus dont la mission sera de protéger les Syriens et les Irakiens chaque fois qu’un village ou une ville seront repris aux barbares. Et, sur notre continent, isoler ces immigrés dans des camps d’attente, ce qui permettra de prendre le temps de décider qui a le droit à un vrai statut de réfugiés, plutôt que de les voir s’éparpiller dans l’espace Schengen.
Ce n’est peut-être pas très politiquement correct, mais c’est l’un des moyens de sauver notre civilisation.
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