Gaël Diridollou
Soyons lucides. Le général de Gaulle a lui
même créé le monstre qui enterre aujourd’hui la France : la Ve
République. Le Général l’avait faite à sa mesure, grande, excessive dans
la concentration des pouvoirs, et finalement peu représentative de son
peuple malgré le mandat « représentatif » de ses élus. Mais le Général
était avant tout un militaire, un homme dont le parcours, hormis
peut-être la « question algérienne », n’a pas laissé de doute quant à la
hauteur qu’il pouvait prendre face à l’Histoire. La Ve République exige
des hommes qui peuvent comprendre que leurs décisions ne sont pas des
arrêtés municipaux sans grande conséquence. Elles engagent la nation et
son peuple pour des générations.
La plus grande des trahisons dans l’histoire récente de la France est la construction européenne. Elle est dirigée par des « commissaires » non élus (comme le Premier ministre en France) et impose ses directives et règlements à l’ensemble des gouvernements, tout au moins ceux qui obéissent docilement aux diktats de ce magma antidémocratique qu’est cette Union européenne. Et quoi de plus confortable pour des incompétents à la tête d’un pays que de savoir que, de toute façon, les grandes décisions sont prises à Bruxelles ? Et quand le peuple dit non au référendum, on le court-circuite grâce à ceux-là mêmes qui sont censés le représenter. Grandeur gaullienne et décadence sarkozyenne.
Reste les décisions de clocher, les petites magouilles entre amis. Pourtant, nos tripatouilleurs des quartiers ministériels font face à quelque chose qui les dépasse complètement : la guerre. La guerre face à l’islamisme fondamentaliste et obscurantiste. Et si le Général était un militaire, visionnaire de surcroît, la France doit se contenter de « nains » pour faire face au défi actuel de la guerre.
En prenant une position plus que prudente « sur les motivations » du terroriste du Thalys, M. Cazeneuve a fait preuve d’une naïveté criminelle, allant finalement presque même jusqu’à crédibiliser la défense insensée du tireur se présentant comme un petit détrousseur de diligence.
Et que dire des idées de réhabilitation « aidée » des jeunes en provenance de Syrie de Mme Taubira ? Le citoyen qui fait face à l’adversité et au chômage regrettera sans doute de ne pas faire l’objet d’autant d’attentions que le jeune apprenti terroriste haineux envers la terre de France. Manuel Valls, quant à lui, saura, n’en doutons pas, utiliser « sa » loi sur le renseignement d’abord contre ceux qui en veulent au fromage politique, et finalement moins contre les vrais ennemis de la France.
La survie de la France est menacée depuis longtemps, mais les derniers outrages lui sont infligés quotidiennement par un pouvoir inculte, égoïste et en complet décalage avec le défi de l’islamisme et la tyrannie de l’Europe supranationale. Il nous reste à espérer que certains esprits sauront se lever avant qu’il ne soit trop tard, car il est déjà très tard.
La plus grande des trahisons dans l’histoire récente de la France est la construction européenne. Elle est dirigée par des « commissaires » non élus (comme le Premier ministre en France) et impose ses directives et règlements à l’ensemble des gouvernements, tout au moins ceux qui obéissent docilement aux diktats de ce magma antidémocratique qu’est cette Union européenne. Et quoi de plus confortable pour des incompétents à la tête d’un pays que de savoir que, de toute façon, les grandes décisions sont prises à Bruxelles ? Et quand le peuple dit non au référendum, on le court-circuite grâce à ceux-là mêmes qui sont censés le représenter. Grandeur gaullienne et décadence sarkozyenne.
Reste les décisions de clocher, les petites magouilles entre amis. Pourtant, nos tripatouilleurs des quartiers ministériels font face à quelque chose qui les dépasse complètement : la guerre. La guerre face à l’islamisme fondamentaliste et obscurantiste. Et si le Général était un militaire, visionnaire de surcroît, la France doit se contenter de « nains » pour faire face au défi actuel de la guerre.
En prenant une position plus que prudente « sur les motivations » du terroriste du Thalys, M. Cazeneuve a fait preuve d’une naïveté criminelle, allant finalement presque même jusqu’à crédibiliser la défense insensée du tireur se présentant comme un petit détrousseur de diligence.
Et que dire des idées de réhabilitation « aidée » des jeunes en provenance de Syrie de Mme Taubira ? Le citoyen qui fait face à l’adversité et au chômage regrettera sans doute de ne pas faire l’objet d’autant d’attentions que le jeune apprenti terroriste haineux envers la terre de France. Manuel Valls, quant à lui, saura, n’en doutons pas, utiliser « sa » loi sur le renseignement d’abord contre ceux qui en veulent au fromage politique, et finalement moins contre les vrais ennemis de la France.
La survie de la France est menacée depuis longtemps, mais les derniers outrages lui sont infligés quotidiennement par un pouvoir inculte, égoïste et en complet décalage avec le défi de l’islamisme et la tyrannie de l’Europe supranationale. Il nous reste à espérer que certains esprits sauront se lever avant qu’il ne soit trop tard, car il est déjà très tard.
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