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jeudi 7 juin 2018

Affaire Théo: la prétendue victime des policiers en 2016, arrêtée pour escroquerie au blanchiment en bande organisée


Théo Luhaka, grièvement blessé lors d’une interpellation en 2017 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), et quatre membres de sa famille ont été interpellés et placés en garde à vue mardi matin [5 juin 2018] pour un possible détournement de subventions, a appris l’AFP de sources proches de l’enquête. L’enquête, confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, avait été ouverte mi-2016, soit plusieurs mois avant l’interpellation de Théo, grièvement blessé dans la zone rectale. Quatre policiers ont été mis en examen, dont l’un pour viol, dans cette affaire qui avait connu un gros retentissement. Source La Provence
En janvier 2018 trois des quatre policiers ont été réintégrés, seul le quatrième était dans l’attente de son procès bien qu’une vidéo de surveillance ait « rétabli la vérité »  « Elle démontre que le dénommé Théo a menti sur les faits et qu’il a manifesté une attitude particulièrement violente à l’encontre des policiers lors de son interpellation », ajoute le syndicat, pour qui les conditions d’intervention, « très difficiles », prouvent « l’absence totale de volonté » des policiers de le blesser. » selon la police.
Escroquerie aux subventions publiques portant sur des centaines de milliers d’euros
Mais François Hollande s’était empressé de se rendre au chevet du délinquant avant même que l’enquête ait pu démarrer. Mais à l’époque les policiers étaient présentés comme des monstres, tandis que le « jeune Théo » était présenté comme un ange et une innocente victime.

Une information judiciaire a été ouverte début août 2017 contre X pour «escroquerie en bande organisée au préjudice d’un organisme chargé d’une mission de service public, abus de confiance, blanchiment ». L’enquête a débuté après un signalement en 2015 de l’Inspection du travail concernant une association de médiation, Aulnay Events, présidée par un frère de Théo et basée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Une deuxième association, domiciliée dans le XVIIIe arrondissement de Paris a également fait l’objet d’un signalement, en avril 2017.
Les inspecteurs du travail ont relevé des irrégularités sur l’utilisation de subventions pour l’embauche de contrats aidés notamment. Les enquêteurs s’interrogent sur la réalité de ces emplois et sur des versements à destination des membres de la famille, dont Théo, selon une autre source proche de l’affaire. Les sommes engagées pourraient s’élever à des centaines de milliers d’euros.
Et après cela on se demande où passe l’argent des contribuables distribué à profusion pour l’adaptation des jeunes des quartiers dits défavorisés, pour des résultats invisibles ? On peut se demander aussi, pourquoi Théo et sa bande familiale ont bénéficié de deux ans de répit avant d’être arrêtés, la justice est beaucoup plus prompte pour les Français lambda ou pour les adversaires politiques d’Emmanuel Macron comme François Fillon ou Marine Le Pen. Cette lenteur judiciaire, serait-ce pour laisser le temps à François Hollande de ne pas perdre complètement la face ? Ou pour que l’affaire soit tombée dans l’oubli ? Emmanuel Macron lui-même s’est empressé récemment de naturaliser un clandestin sans papier sur la simple foi d’une vidéo.

Propagande immigrationniste 

L’affaire Théo comme l’affaire Mamoudou Goussama ont en commun d’avoir pour héros des personnes issues de l’immigration. Voilà la véritable raison qui motive à chaque fois la précipitation des deux derniers présidents de la République et des médias pour hisser sur le pavois ces personnes sans attendre les enquêtes. Tout cela pour blanchir la réputation des immigrés, -ou issus de l’immigration- ternie par les attentats islamistes, et la prolifération des affaires de droit commun dont nombre d’entre eux sont coupables.




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