Chaque
fiche présente la situation, les principes juridiques, des exemples et
des conseils d'action. Celle sur le port de signes ou de tenues
manifestant une appartenance religieuse rappelle par exemple que pour le
Conseil d'État, le port d'un sous-turban sikh par un élève peut être considéré comme une manifestation ostensible de son appartenance religieuse, tout comme le port d'un bandana par une jeune femme qui refuserait systématiquement de l'enlever. Et le port du voile islamique.
Le
vade-mecum s'intéresse aussi au cas des agents de l'Éducation nationale
qui refusent de serrer la main d'un collègue ou d'un usager sous
prétexte qu'il s'agit d'une femme...