Les nouvelles chroniques hebdomadaires de Philippe Randa
Chaque semaine apporte au Front national son lot de nouvelles recrues. De choix, de circonstances ou d’intérêts, c’est selon !
Pour ses dirigeants, c’est la preuve que leur dédiabolisation est un fait. Dédiabolisation tout autant que preuve qu’ils apparaissent comme les seuls, aujourd’hui, à défendre ces Français qui votaient UMPS auparavant et qui en ont ras leur bulletin de vote ! Au point de franchir le pas dans les urnes, mais aussi en se présentant aux élections sous leurs couleurs… au risque d’être brocardés opportunistes ou « un peu fragiles », comme est désormais présentée Céline Maillard, ex-suppléante du conseiller général socialiste Francis Lec en 2009 en Picardie, puis candidate estampillée communiste aux cantonales en 2011 (sans être encartée) et désormais candidate frontiste en bonne et due forme aux prochaines départementales dans le canton d’Amiens 3…
« La prochaine étape, c’est Daesh ? » s’interroge-t-on au PS… ou à l’asile comme préconisent certains « proches » de la Dame qui la décrivent à Libération quelque peu « fragile » et « un peu perdue » car « en instance de divorce avec cinq enfants »… et donc dans une « mauvaise passe ». Rien de moins ! Les mères de familles nombreuses ou en rupture d’union apprécieront !
À gauche, force est de constater que les recettes qui ont tant fait leurs preuves au temps du paradis soviétique sont toujours préconisées : le recours à la menace asilaire, il n’y a que cela de vrai, n’est-ce pas, Kamarad ?
Pour ses dirigeants, c’est la preuve que leur dédiabolisation est un fait. Dédiabolisation tout autant que preuve qu’ils apparaissent comme les seuls, aujourd’hui, à défendre ces Français qui votaient UMPS auparavant et qui en ont ras leur bulletin de vote ! Au point de franchir le pas dans les urnes, mais aussi en se présentant aux élections sous leurs couleurs… au risque d’être brocardés opportunistes ou « un peu fragiles », comme est désormais présentée Céline Maillard, ex-suppléante du conseiller général socialiste Francis Lec en 2009 en Picardie, puis candidate estampillée communiste aux cantonales en 2011 (sans être encartée) et désormais candidate frontiste en bonne et due forme aux prochaines départementales dans le canton d’Amiens 3…
« La prochaine étape, c’est Daesh ? » s’interroge-t-on au PS… ou à l’asile comme préconisent certains « proches » de la Dame qui la décrivent à Libération quelque peu « fragile » et « un peu perdue » car « en instance de divorce avec cinq enfants »… et donc dans une « mauvaise passe ». Rien de moins ! Les mères de familles nombreuses ou en rupture d’union apprécieront !
À gauche, force est de constater que les recettes qui ont tant fait leurs preuves au temps du paradis soviétique sont toujours préconisées : le recours à la menace asilaire, il n’y a que cela de vrai, n’est-ce pas, Kamarad ?