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lundi 14 novembre 2016

La mauvaise éducation de Hollande : Une Bonne « Trump » à l’américaine !




Souvenez-vous, lorsqu’enfant, et alors que l’on vous avez fait promettre de ne pas recommencer la même bêtise : inlassablement vous la commettiez à nouveau pour le seul plaisir de faire la moue au premier haussement de ton paternel ;

Souvenez-vous, lorsque jeune adolescent, et alors que l’on vous avez fait promettre de ne jamais boire une seule goutte d’alcool, ni fumer la moindre cigarette : inlassablement, vous vous aventuriez à vos premières bières lors des pseudos après-midis de travail avec les copains de classe, au milieu des toussotements profanes, pour le seul plaisir de braver les interdits dont tout le monde se doutait qu’ils seraient violés ;

Souvenez-vous, lorsqu’arrivé aux portes de la faculté de droit, et alors que vos parents avaient investi un mois de leurs salaires pour vous offrir une préparation privée à un concours de prestige : inlassablement, et au lieu d’être le digne héritier de vos géniteurs, vous passiez votre temps à lézarder dans les jardins du parc du Luxembourg, en misant sur la chance du débutant ;

En principe, nous surpassons tous, ces étapes, avec succès, pour arriver à l’âge adulte, doté d’un certain sens des responsabilités, conjugué à une éducation où le respect de l’autre, de ses avis, et de ses convictions, jette le socle généralisé d’une société démocratique qui s’incarne dans les urnes.

Et très souvent, l’on vous apprend autant à perdre qu’à gagner, sans que cela ne vous fasse régresser au stade embryonnaire de la réflexion d’un enfant de 3 ans pour lequel aucune frustration n’est supportable.

Malheureusement, mai 1968 est passé par là : avec son lot d’imbéciles mal dégrossis dont Cohn-Bendit est une figure de proue, trouvant son corollaire dans les bourgeoises fortunées et décomplexées du MLF, la France a à souffrir de toute une génération d’individus dont l’éducation sociale, politique, religieuse et économique, se cantonne à l’apologie de la lâcheté, de l’hypocrisie, et d’un mépris de l’individu particulièrement virulent.
Le talent de toute cette génération, dont les adeptes de la Taqîya de l’islam1 seraient de pâles caricatures, réside en ce qu’ils sont capables d’utiliser les méthodes de culpabilisation les plus grossières pour vous faire croire que vous êtes dans l’erreur.
Leurs cibles privilégiées : la classe moyenne, les chefs d’entreprise, les ouvriers, les agriculteurs, les émigrés de seconde génération de préférence chrétiens, et pour ceux qui auraient le malheur d’être musulmans et/ou noirs, l’on brandit l’épée d’un passé colonialiste ou d’esclaves dont il leur serait interdit d’en sortir, de peur qu’ils deviennent nos égaux en droit.

Ce système se nomme communément le nazisme, qui trouve aujourd’hui, comme hier, un seul acteur digne de jouer ce premier rôle, j’ai nommé : la Gauche française et tous ceux qui s’en revendiquent.

Il faut avouer qu’en termes de trahison, les gauchistes appartiennent à une race où cette pratique est portée au rang d’un art où ils excellent et se font concurrence dans une surenchère que la bougie d’un commissaire-priseur ne saurait éteindre.

D’ailleurs, Hollande le premier, n’est-il pas celui, qui, au terme d’un roman fleuve de seconde zone récemment édité sous la dictée de deux héritiers gauchistes du Monde [des cons], avait affirmé que sa pseudo ministre de l’Éducation n’était pas une intellectuelle mais une spécialiste de la langue de bois ?

Magnifique pied de cochon à celle qui, sous couvert de leçons de pédagogie à une communauté d’écoliers dont le niveau de français baisse de façon dramatique, érige l’apprentissage de la langue arabe comme une priorité dans leur intégration à la culture française.
C’est très vilain d’être méchant avec sa petite camarade de classe !
Mais à ce jeu de celui qui prend le peuple français pour plus abruti qu’il ne l’est, il n’y a pas d’égalité.

Nous décernerons donc la Palme du César du meilleur acteur à Mr. Hollande qui ne cesse, depuis plusieurs semaines, de se distinguer par une mauvaise éducation, dont un petit garçon de 6 ans n’aurait pas à rougir.

D’ailleurs, il commencera très tôt dans son quinquennat, à faire ses preuves, en commençant ses prouesses de chef d’État par la livraison de croissants dans la rue du Cirque, qui soit dit en passant, est une voie sans issue.

Il n’en sortira jamais : accumulant tout au long de sa pièce de théâtre médiocre, les fautes politiques et diplomatiques, il réussit la performance de reléguer la France au dernier rang des cancres sur la scène nationale et internationale.

Ce petit mal élevé, avait donc besoin d’une bonne fessée : mais eu égard à son âge avancé, c’est d’une bonne TRUMP [référence métaphorique à la « trempe » pour les gauchistes ignares qui sont légions] qui lui sera asséné.

La correction fut sévère, tellement ce petit sauvageon, comme l’aurait affectueusement nommé celui à qui il manque une vieille case [onomatopée élaborée pour Cazeneuve toujours pour les mêmes gauchistes ignares], ne s’attendait pas à un sursaut du peuple, de surcroît américain !

Comment fut-ce envisageable que M. le Président Trump soit élu avec les voix… des communautés noires et mexicaines ???
Comment cette tranche de la population, au passif psychologique et transgénérationnel si lourd, a-t-elle pu échapper aux méthodes de manipulation si finement ciselées de la gauche corrompue de la vieille Hillary, qui, frappée d’un Alzheimer brutal, ne se souvient pas des 600.000 mails envoyés et contenant des informations classées Secret Défense ?

Comment des minorités peuvent-elles voter à droite, et de plus fort, à l’extrême droite ?

Mais Bon Dieu, d’urgence, il faut les faire revenir à leur statut de victime et surtout étouffer dans l’œuf ce mouvement naissant d’éveil si menaçant pour les sièges et les rémunérations des gauchistes répudiés comme les malpropres qu’ils sont.
Alors, comme on est un petit con mal élevé, on n’envoie pas de message de félicitation au premier de la classe : on préfère le bouder, pour aller consoler la petite racaille des cités fortunées américaines qui met 12 heures, une boule dans la gorge, pour accepter sa nullité absolue.

Et comme on est toujours un petit con mal élevé sans envergure, on pousse la provocation à l’injonction de parler en premier au plus fort que soi pour lui dire que le plus fort, c’est quand même le plus nul des nuls.

Et bien, c’est à ce moment là qu’il faut se prendre une bonne TRUMP en plein visage.

Non content d’avoir manqué à tous ses devoirs protocolaires les plus élémentaires, Hollande s’est cru autorisé à inviter son victorieux homologue américain, à discuter dans les plus brefs délais pour convenir des bases d’une future collaboration.
La réponse cinglante ne s’est pas fait attendre : Hollande, tu n’es pas une priorité, car tu n’es qu’un nul, et tu attendras de passer en dernier, comme le dernier des derniers que tu es.

Alors, en termes d’ego, la claque TRUMP, est un camouflet d’une violence exceptionnelle pour un président qui pense encore avoir une importance quelconque devant la première puissance économique mondiale.

Il faut être particulièrement mal élevé pour croire qu’en ne respectant pas un individu, l’on se verra témoigner un quelconque respect en retour : cela étant, et à sa décharge, cela a marché si longtemps qu’on pense le système inscrit dans les engrammes de la génétique humaine.

Mais, c’était sans compter sur une mutation aberrante des consciences venues s’incarner dans la blondeur vénitienne d’une mèche rebelle, telle la chevelure de Samson dont il tirait toute sa force.

Mais enfin, cela ne serait pas grave si cela s’était cantonné à la seule personne d’un clown livreur de croissants dans une impasse pour une trapéziste qui n’a jamais eu aucun talent : le drame réside dans le fait que le Premier Magistrat a été élu par une bande de mal élevés comme lui, et représente aujourd’hui une majorité qui l’exècre à 96%.

C’est dire que son quinquennat aura eu le mérite de donner une bonne leçon à une génération qui, par facilité, aura cédé aux sirènes létales des idéologues arrivistes, ratés, aux mœurs dénationalisées, dans une Nation qui n’en porte plus que le nom.

Le prix de cette leçon d’éducation à la française sera lourd : près de 300 morts, et autant de familles brisées.

Mais il n’y a que l’Amérique qui aura pu donner à Hollande sa première et vraie leçon d’éducation : et en attendant la phase de redressement obligatoire, quelques autres bonnes TRUMP ne lui feront pas de mal.

Notes

1 Le mot taqîya (on trouve parfois les orthographes taqiyya ou takia) est lié aux mots tuḳan, tuḳātan, taḳwā ou ittiḳāʾ signifiant prudence, crainte ou kitmān, soi l’« action de dissimuler, voiler », opposé à idhāʿa, qui est la divulgation et la révélation ». Taqîya désigne la pratique consistant à dissimuler sa foi en milieu non-musulman en vue d’infiltration ou de conquête. En ce sens, je préfère le terme d’occultation qui souligne mieux son côté hostile et temporaire. Mis en avant par Al-Qaïda, puis par DA’ECH, elle permet de s’affranchir, jusqu’au mépris ostensible des règles cultuelles et morales musulmanes, comme moyen stratégique. NdlR.