Tristan Quinault Maupoil
Après Julien Dray, le député Alexis Bachelay
plaide en faveur d'une élection interne pour désigner le candidat du PS
à la présidentielle de 2017.
Bien que François Hollande soit à l'Elysée, la rue de Solférino organisera-t-elle une primaire pour désigner son candidat en 2017? Le député PS des Hauts-de-Seine, Alexis Bachelay, y est favorable.
«Je ne suis pas opposé à ce qu'on ouvre le débat, pourquoi ne pas ouvrir cette possibilité?», a-t-il demandé mercredi sur RMC lors des Grandes Gueules. «On ne peut pas aller au bout d'un exercice démocratique (en 2011. NDLR) et revenir en arrière. Donc pourquoi pas», a précisé le parlementaire socialiste, co-fondateur de la gauche forte qu'il anime avec Yann Galut.
Alexis Bachelay n'est pas le premier à vouloir imposer une primaire à François Hollande. Avant lui, Julien Dray s'est aussi prononcé dans ce sens. «C'est ce que font les Américains, le parti démocrate fait des primaires même avec un président sortant», avait-il affirmé sur BFM-TV et RMC.
Toutefois, le nouveau premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis a assuré qu'un tel scénario n'est pas à l'ordre du jour. «La question pour la présidentielle de 2017 ne se posera que si le président ne se représente pas», a expliqué le député PS de Paris au Parisien.
Un cas de figure plausible ? Longtemps présentée comme naturelle, la candidature du président sortant semble désormais liée à sa capacité à redresser le pays. L'intéressé lui-même qui a assuré vendredi qu'il ne serait pas candidat à sa réélection si le chômage ne baisse pas.
Bien que François Hollande soit à l'Elysée, la rue de Solférino organisera-t-elle une primaire pour désigner son candidat en 2017? Le député PS des Hauts-de-Seine, Alexis Bachelay, y est favorable.
«Je ne suis pas opposé à ce qu'on ouvre le débat, pourquoi ne pas ouvrir cette possibilité?», a-t-il demandé mercredi sur RMC lors des Grandes Gueules. «On ne peut pas aller au bout d'un exercice démocratique (en 2011. NDLR) et revenir en arrière. Donc pourquoi pas», a précisé le parlementaire socialiste, co-fondateur de la gauche forte qu'il anime avec Yann Galut.
Alexis Bachelay n'est pas le premier à vouloir imposer une primaire à François Hollande. Avant lui, Julien Dray s'est aussi prononcé dans ce sens. «C'est ce que font les Américains, le parti démocrate fait des primaires même avec un président sortant», avait-il affirmé sur BFM-TV et RMC.
Toutefois, le nouveau premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis a assuré qu'un tel scénario n'est pas à l'ordre du jour. «La question pour la présidentielle de 2017 ne se posera que si le président ne se représente pas», a expliqué le député PS de Paris au Parisien.
Un cas de figure plausible ? Longtemps présentée comme naturelle, la candidature du président sortant semble désormais liée à sa capacité à redresser le pays. L'intéressé lui-même qui a assuré vendredi qu'il ne serait pas candidat à sa réélection si le chômage ne baisse pas.
Source |
Le Figaro