L’aveuglement notoire de l’OTAN devant le retrait des troupes russes d’Ukraine !
Au terme d'une rencontre avec le président de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), le suisse Didier Burkhalter, le 07 mai, le président Vladimir Poutine a indiqué que la Russie avait retiré ses troupes de sa frontière avec l'Ukraine. « On nous a toujours exprimé une préoccupation face à la présence de nos troupes près de la frontière ukrainienne. Nous les avons retirées, elles ne se trouvent plus à la frontière ukrainienne, mais dans les lieux où ils organisent leurs exercices réguliers, sur un polygone », a déclaré M. Poutine.
Adoptant un ton conciliant, le président russe a proposé la voie du dialogue et prévu l'arrêt de l'opération militaire en cours dans le sud-est de l’Ukraine (Donetsk) en échange d'un report du référendum annoncé le 11 mai sur une « déclaration d'indépendance » de la République autoproclamée de Donetsk. En contrepartie, Vladimir Poutine a demandé aux « autorités de Kiev, d'arrêter immédiatement toutes les opérations militaires et punitives dans le sud-est ». Selon M. Poutine, la présidentielle ukrainienne du 25 mai est une « progression dans la bonne direction », bien que Sergueï Lavrov la qualifie d’ « illogique tant que l'opération militaire continue dans le pays. »
Le Secrétaire général de l'OTAN, Anders Fogh Rasmussen, a refusé d'admettre le retrait des troupes russes et a répondu à la déclaration du président Vladimir Poutine en ces mots : « Nous ne voyons aucun indice de retrait des forces russes de la frontière ukrainienne ! ».
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a salué « le ton constructif » du président russe Vladimir Poutine et déclaré : « Nous sommes peut-être à un moment décisif. La situation est très critique mais il existe encore une chance que nous parvenions par des moyens diplomatiques à éviter une nouvelle escalade de la violence et la perte totale de contrôle dans l'est de l'Ukraine ».
La Russie se distingue par sa volonté de régler la crise ukrainienne de façon pacifique pendant que les pays de l’OTAN recourent, une nouvelle fois, à leur dialectique belliqueuse. L'OTAN envisage de déployer sur une base permanente, d'importants contingents militaires en Europe de l'Est alors qu’objectivement, elle n'en a pas la capacité financière…
Au terme d'une rencontre avec le président de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), le suisse Didier Burkhalter, le 07 mai, le président Vladimir Poutine a indiqué que la Russie avait retiré ses troupes de sa frontière avec l'Ukraine. « On nous a toujours exprimé une préoccupation face à la présence de nos troupes près de la frontière ukrainienne. Nous les avons retirées, elles ne se trouvent plus à la frontière ukrainienne, mais dans les lieux où ils organisent leurs exercices réguliers, sur un polygone », a déclaré M. Poutine.
Adoptant un ton conciliant, le président russe a proposé la voie du dialogue et prévu l'arrêt de l'opération militaire en cours dans le sud-est de l’Ukraine (Donetsk) en échange d'un report du référendum annoncé le 11 mai sur une « déclaration d'indépendance » de la République autoproclamée de Donetsk. En contrepartie, Vladimir Poutine a demandé aux « autorités de Kiev, d'arrêter immédiatement toutes les opérations militaires et punitives dans le sud-est ». Selon M. Poutine, la présidentielle ukrainienne du 25 mai est une « progression dans la bonne direction », bien que Sergueï Lavrov la qualifie d’ « illogique tant que l'opération militaire continue dans le pays. »
Le Secrétaire général de l'OTAN, Anders Fogh Rasmussen, a refusé d'admettre le retrait des troupes russes et a répondu à la déclaration du président Vladimir Poutine en ces mots : « Nous ne voyons aucun indice de retrait des forces russes de la frontière ukrainienne ! ».
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a salué « le ton constructif » du président russe Vladimir Poutine et déclaré : « Nous sommes peut-être à un moment décisif. La situation est très critique mais il existe encore une chance que nous parvenions par des moyens diplomatiques à éviter une nouvelle escalade de la violence et la perte totale de contrôle dans l'est de l'Ukraine ».
La Russie se distingue par sa volonté de régler la crise ukrainienne de façon pacifique pendant que les pays de l’OTAN recourent, une nouvelle fois, à leur dialectique belliqueuse. L'OTAN envisage de déployer sur une base permanente, d'importants contingents militaires en Europe de l'Est alors qu’objectivement, elle n'en a pas la capacité financière…
| Source |
Parti Anti Sioniste
