PARIS (Reuters) - Manuel Valls a jugé dimanche que
les élections européennes étaient un choix décisif pour l'avenir de la
France et de l'Europe et a dit ne pas se résoudre à voir le Front
national arriver en tête du scrutin.
Le Premier ministre a estimé que "ces populismes cette extrême droite qui prospèrent en Europe sur fond de rejet de l'Europe, c'est faire sortir la France de l'Histoire".
"Si la France sortait de l'euro comme le propose par exemple Marine Le Pen, cela serait le retour de l'inflation, la perte de pouvoir d'achat, et pire, l'isolement de la France", a-t-il dit, invité du journal de TF1.
Manuel Valls a affirmé sa volonté à s'engager même si on lui "conseille parfois de se tenir à l'écart" d'une campagne où "il n'y a que des coups à prendre" compte tenu de la forte abstention prévue et des mauvais sondages pour le PS.
"Et je sais par ailleurs le scepticisme de beaucoup de nos compatriotes: l'Europe passoire, l'Europe loin des peuples, l'Europe qui n'est pas efficace notamment dans la lutte contre le chômage", a dit le Premier ministre.
"Et pourtant parce que je suis patriote, parce que je suis profondément français, parce que j'aime mon pays et parce que j'aime l'Europe, chacun d'entre nous doit s'engager. D'abord pour que les Français votent", a-t-il ajouté.
(Gérard Bon)
Le Premier ministre a estimé que "ces populismes cette extrême droite qui prospèrent en Europe sur fond de rejet de l'Europe, c'est faire sortir la France de l'Histoire".
"Si la France sortait de l'euro comme le propose par exemple Marine Le Pen, cela serait le retour de l'inflation, la perte de pouvoir d'achat, et pire, l'isolement de la France", a-t-il dit, invité du journal de TF1.
Manuel Valls a affirmé sa volonté à s'engager même si on lui "conseille parfois de se tenir à l'écart" d'une campagne où "il n'y a que des coups à prendre" compte tenu de la forte abstention prévue et des mauvais sondages pour le PS.
"Et je sais par ailleurs le scepticisme de beaucoup de nos compatriotes: l'Europe passoire, l'Europe loin des peuples, l'Europe qui n'est pas efficace notamment dans la lutte contre le chômage", a dit le Premier ministre.
"Et pourtant parce que je suis patriote, parce que je suis profondément français, parce que j'aime mon pays et parce que j'aime l'Europe, chacun d'entre nous doit s'engager. D'abord pour que les Français votent", a-t-il ajouté.
(Gérard Bon)
Remarque de la Rédaction de Voxnr: il faudra pourtant bien ...
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Reuters via Yahoo